78. La Pluie

Un paysage serien, calme, dans la paix, la joie, le bonheur et soudain.
Tout bascule.
Tout est chamboulé,
Trois mots prononcés,
Un cumulus de passage ?
Un prélude à l'orage ?
C'est la fin de ce paysage clément.
La pluie s'abat,
Suivie de ses amis la peine, la mélancolie, la tristesse toujours accompagnés par les larmes fidèles.
Ô, les lacrimales réagissent, ne peuvent plus cesser, la vague émotionnelle est lancé, lâché, rien y fait.
L'espoire est perdu.
Où vais-je ?
Où suis-je ?
Qu'es-ce qui m'attends ?
Mais qui ce moque de moi ?
Qui fait s'abattre ce déluge sur ma tête?
Suis-je donc maudit !
Ma peau mouillée, mes vêtements trempés, par mes larmes ? Par ce cumulus mécontent ? Rageux ? Ou par mes sinistres pensées ? Es-ce mon âme qui tente de ce faire comprendre ?

~
Un rayon lumineux perse.
Il est vaillant, fort, solide, fidel.
Il assèche les lacrimales, ramène la paix !
Mais l'odeur de l'herbe mouillé, tel la rosé du matin -après une nuit d'orage- nous rappel que nous sommes humain, nous ressentons des choses : les sentiments.

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