chapitre 29 : l'amour c'est pensé à l'autre en souriant..
Précédemment dans missing spies :
Touchée par cet homme que je détestais pourtant il y a quelques jours, je m'approche et enserre sa taille entre mes bras. Il semble d'abord surpris mais il prend ensuite ma tête délicatement contre son torse et renifle avant de murmurer avec le poids de la culpabilité : "Comment peux tu encore vouloir me consoler alors que tout ça est de ma faute. Je suis un monstre....je détruis toutes les personnes qui comptent pour moi. Je te demande pardon, pardon..."
Ne voulant pas laisser cet homme se détruire, je lui murmure : "Vous n'êtes pas un monstre. Je vous ai pardonné, maintenant c'est à vous de vous pardonnez. Le mal est fait, vous le regrettez, mais maintenant il faut avancer. On va les retrouver ensemble, et on les retrouvera parce qu'on les aime, je vous le promets"
___________________________
PDV inconnu
Ploc...Ploc... Ploc...
L'eau s'écoule par petites gouttes de façon régulière du robinet depuis le temps que nous sommes ici. Le temps s'écoule aussi lentement que l'eau. Les secondes paraissent des minutes et les minutes, des heures entières.
Je ne saurais dire exactement depuis combien de temps nous sommes enfermés ici, 1mois, 6 mois, 1an, plus, je ne sais pas. Nous avons perdu la notion du temps depuis que nous ne voyons plus que les quatre murs de la pièce qui nous retient prisonnière et qui ne possède qu'une simple ouverture condamnée par de solides barreaux de métal.
Je suis allongé sur le lit et la personne qui partage ma vie depuis quelques années déjà a sa tête posée sur mon torse. Je regarde fixement les fissures du plafond que je connais dorénavant par coeur, bercé par la respiration régulière de ma femme.
Notre "cellule" n'est ni insalubre ni complètement confortable. Les repas que l'on nous sert subsistent à nos besoins. Ce sont l'attente et la pression qui sont les plus dur à supporter, et...
"FRANCESCA!",hurle ma femme en se redressant subitement. Elle tremble violemment et éclate en sanglots. Je me redresse et la presse contre moi en caressant ses longs cheveux bruns ondulés identiques à ceux de ma fille.
Je voudrai pouvoir lui dire que tout ira bien et de ne pas s'en faire mais ce serait lui mentir. Car en réalité ses craintes sont aussi les miennes et elles sont fondées. Car notre bébé est en danger par notre faute.
Après l'avoir doucement bercée, ma femme se calme et se rendort lentement contre moi. Je la tiens fermement dans un geste protecteur et je me remets à fixer le plafond en repensant à ma fille. Nous nous étions toujours dis avec Jessica que nous n'aurions jamais d'enfant, ceci étant pour nous, trop incompatible avec notre métier beaucoup trop dangereux.
Mais voilà, Francesca est arrivée sans que rien ne soit prévu, et tout à changer. Jessica aurait très bien pu avorter mais nous avons vu notre bébé comme une deuxième chance. Celle d'avoir une vie de famille normale, celle de vivre une vie normale.
Elle a toujours été notre princesse, la chose la plus précieuse que l'on avait sur cette terre et c'est en quoi Francesca est à la fois notre plus beau cadeau et notre pire malédiction.
Car s'il lui arrivait quelque chose j'en mourrais de chagrin et de culpabilité. Et les choses ont changé, notre passé ne nous a jamais vraiment quitté et si aujourd'hui elle est en danger c'est de notre faute. On a toujours voulu lui épargner l'entrée dans notre monde mais notre bêtise l'y a jeté violemment.
Je ferme les yeux et je prie comme je ne l'ai jamais fait avant. Car si il l'attrape, s'en est fini de nous, d'elle et du secret qu'elle renferme en elle...Mais je prie aussi pour qu'un jour elle nous pardonne pour tout ça et qu'on puisse enfin avoir une vie tranquille...si un jour on s'en sort...
PDV de Francesca
Le trajet pour nous rendre au lycée a été accompagné par un silence de chapelle ardente. Ni Quentin ni moi, n'avons pris la parole pour nous expliquer. Ma foutue fierté et son détestable orgueil ne font pas bon ménage j'ai l'impression.
Nous avons retrouvé Diego à midi et nous avons tout fait pour qu'il ne se doute pas de la tension qui régnait entre nous. Et je peux dire que nous sommes des acteurs assez convaincants. J'aurai pu me prendre au jeu si Quentin n'avez pas fui mon regard la plupart du temps.
Nous avons laissé Diego retourné en cours à 13h et actuellement, j'attends Monsieur pour notre répétition de danse mais celui est occupé à discuter avec une fille. Et je sens une haine intense prendre possession de moi. Elle tord mes tripes dans tous les sens et dieu que ça fait mal. La jalousie est vraiment perfide.
Là tout de suite je rêve de gifler fort cette fille et d'envoyer mon poing dans le visage de Quentin. Et pourtant, pourtant l'envie de me jeter dans ses bras est la plus forte. Connerie de sentiments à la con! Je jure que si j'attrape un jour ce cupidon je lui fais bouffer une à une toutes ses foutues flèches responsables de mon malheur.
Pourquoi l'amour n'est il jamais simple? Comment peut on à se point haïr et aimer une personne? Pourquoi suis-je aussi jalouse d'une fille à qui Quentin n'a jamais vraiment parlé avant? Je lui ferai bien manger ses cheveux qu'elle tortille dans tous les sens. De plus je sais que Quentin le fait exprès pour me faire rager. Et le pire c'est que ça marche très bien!!!
Ne supportant plus ce spectacle affligeant, je me dirige vers les toilettes pour me laver les mains. Je me perds dans mes pensées et l'eau qui coule de mes mains m'hypnotise autant que le regard de Quentin. Rahh mais pourquoi je pense à lui alors qu'il doit certainement bien rire avec sa pouffe en stan smith et jupe à ras les fesses.
Un raclement de gorge me sort de mes pensées et me fait relever la tête. Je regarde le miroir face à moi et je suis étonnée de voir Lila dans le reflet. Elle parait elle aussi fatiguée, ses traits sont tirés et elle n'a pas pris la peine de camoufler ses cernes sous son fond de teint. Elle porte un pull rose poudré et un jean clair le tout accompagné de palladium rose. Et je souris car encore une fois Lila me rappelle étrangement Rose car Rose...adorait le rose, aussi étrange que cela puisse paraitre.
Cependant cette scène me rappelle aussi celle un moi plus tôt, mais les places sont inversées et beaucoup de choses ont changé, cependant je n'oublierai jamais les mots blessants qu'elle m'a balancé à la figure :
"Non tu n'en as pas et tu n'as personne. Rappelle-moi où sont tes parents? Disparus? Moi je pense plutôt qu'ils sont partis volontairement. Qui voudrait de toi comme amie ou comme fille? Une fille qui vole les copains des autres et qui est incapable de se défendre? Tu es pitoyable Francesca..."
Inconsciemment je me tends légèrement, me demandant ce qu'elle me veut. Je vois son regard s'assombrir et elle dit : "Je ne te ferai plus rien Francesca. Je suis venue faire la paix une bonne fois pour toute".
Je me retourne et la regarde dans les yeux, cherchant un éclair d'hypocrisie dans son regard mais je n'y trouve qu'une sincérité débordante qui me fait légèrement baisser ma garde. Et j'ai une fois de plus l'impression qu'elle veut me dire quelque chose avec son regard.
"Je ne t'aurai pas sauvé la vie si je te détestais tant que ça."
Sa remarque finie d'achever mes craintes et je lui tends la main. Elle la prend et me la serre avant de me demander, hésitante : "Je peux... enfin je peux te serrer dans mes bras comme la dernière fois?"
Sa requête me déstabilise, je ne sais trop quoi répondre. Je voudrai accepter mais les blessures qu'elle m'a infligées restent gravées en moi, et même si elle m'a déjà pris dans ses bras sans mon accord, cette fois-ci c'est différent. Je veux lui montrer que je suis encore blessée par ses paroles. Devant mon manque de réaction, elle lâche ma main et détourne le regard. Je la vois se masser les tempes et glisser lentement le long de la porte.
Et devant moi, la deuxième personne que je croyais solide comme un roc, s'effondre en larmes.
PDV de Lila
J'en peux plus...Je suis épuisée, je n'ai pas la force de continuer. Je suis vide. Je m'étais interdite de pleurer à nouveau et voilà que je suis entrain de le faire devant Francesca. Mais à quoi ça sert de continuer à faire semblant, je ne suis pas forte, je ne suis pas Lila, je ne suis même plus Rose. Je ne suis rien, j'ai perdu mon coeur quand mes parents sont morts, j'ai perdu mon âme dans la vengeance et les meurtres, j'ai perdu mon identité en essayant d'être quelqu'un que je ne serai jamais. Je ne suis qu'un corps dépourvu de vie, un pantin que l'on a manipulé, une poupée brisée par la vie.
Je voudrai que tout ça s'arrête. J'aimerai fermer les yeux et ne plus sentir cette douleur dans la poitrine. Je voudrai rejoindre mes parents. Il y a quelques années on m'a tout arraché en me laissant ma vengeance pour tenir. Mais dorénavant je n'ai plus rien, même plus l'envie de me venger. Juste l'envie de disparaître de ce monde pourri.
Mes sanglots déchirent ma gorge et mes pleurs m'empêchent de respirer normalement. Ma poitrine me fait mal. Je voudrai mourir maintenant, mourir de chagrin car je n'ai personne pour me réconforter. Je suis seule ...
Soudain, je sens quelque chose faire pression sur mon corps. Je relève la tête et j'aperçois une chevelure brune à travers mes larmes. Francesca me serre fort contre elle alors je me laisse aller contre sa poitrine et je sens un poids quitter la mienne. Je profite de cet instant, cette étreinte qu'elle avait l'habitude de me faire de par le passé. Ces câlins où elle m'écrasait dans ses bras comme si c'était la dernière fois qu'elle pouvait le faire...
Quand mes sanglots se calment et que je retrouve ma respiration, Francesca s'éloigne de moi mais j'attrape sa main et j'accroche mon regard dans le sien.
"-Francesca, je voulais te demander pardon encore une fois. Pardon pour tout. Je sais que je t'ai énormément blessée mais je voudrai que tu me laisses une chance. Une chance de me rattraper et de te montrer qui je suis vraiment et ce que je vaux. Tu acceptes?", je demande avec inquiétude.
Je la vois réfléchir et scruter mes yeux à la recherche de la vérité. Je sais qu'elle a cette capacité à comprendre ce que les personnes n'avoueront jamais à voix haute, alors je cris intérieurement tout ce que je veux qu'elle comprenne. Je la vois plisser des yeux et elle finit par hocher la tête.
Elle me tend la main pour m'aider à remonter et je la saisis. Je sais qu'il lui faudra du temps pour me faire à nouveau confiance mais je ferai tout pour. Il est temps que nous laissons toutes les deux le passé derrière nous et que nous avançons main dans la main, car au delà d'un rapport humain, c'est notre vie qui est en jeux.
PDV de Francesca
Je sors des toilettes à la suite de Lila ,qui, après m'avoir adressé un petit sourire, disparait dans la masse de lycéen. Et j'ai à peine le temps d'analyser ce qui vient de se passer que je vois Quentin approcher d'un pas vif. Il a l'air contrarier mais pas de chance pour lui je suis aussi en colère contre lui. Alors je tourne les talons et m'engage dans un couloir en direction des casiers.
"-Qu'est ce que tu faisais avec Lila dans les toilettes ?, me demande Quentin qui m'a rattrapé et qui marche derrière moi.
-On faisait du tricot en débattant sur l'âge de la reine d'Angleterre et..Attends mais ça ne te regarde pas, je réponds mauvaise en me retournant vers lui.
-Francesca attend je veux te parler, s'explique-t-il en se massant la nuque, signe de malaise chez lui.
-Quoi Francesca ? Si c'est parler que tu veux ta pouffe pourra très bien le faire. D'ailleurs tu lui diras de ma part que les décolletés en V ne conviennent pas aux grosses poitrines car ça fait trop...courtisane. Attend encore...à non je crois que c'était l'effet recherché par cette charmante demoiselle, dis je, fière de ma pique.
-Fran...
-Oui c'est bien mon surnom, maintenant tu veux bien me laisser en paix car l'odeur de cette fille encore sur toi m'indispose, il faudrait lui dire d'en mettre moins pour vos futur rendez-vous."
Je tourne les talons, encore fière de ma repartis quand je sens mes pieds décollés du sol et ma tête se retrouve en bas : Quentin vient de me jeter comme un vulgaire sac à patate sur son épaule. Je me débats mais il tient bon et nous conduit dans la salle de danse.
Il me jette sur un banc et va fermer la porte à clé. Quand il revient vers moi je laisse éclater ma colère :
"-NON mais ça va pas? Tu t'es cru dans un film d'amour pourri où le mec embarque sa nana sur l'épaule comme un sac à patate! Mais reviens à la réalité mon gars, on est pas dans un putain de film et ne pense même pas à m'embrasser pour me faire taire car tu te prendrais une baffe magistrale et...
-Je t'aime", me coupe Quentin.
Bug. Clairement j'ai bugué. C'est la première fois qu'il me dit ce...mot et whaa mon coeur vient de faire les montagnes russes dans ma poitrine et j'en suis complètement bouleversée.
"-Je, mais il me laisse pas le temps de finir qu'il pose son doigt sur mes lèvres.
-Chut tigresse. Laisse moi parler. Je t'aime malgré que tu me casses les pieds, malgré que tu puisses être insupportable au possible et même si je ne comprends pas ton besoin de distance en présence de Diego, je le respecte parce que je sais que je t'aime, un peu plus chaque jour, et ça me fait perdre pieds. Alors maintenant je vais t'embrasser comme dans ces films à l'eau de rose bien pourri parce que j'en crève d'envie et tu ne vas pas me repousser car je sais que tu en a autant envie que moi et..."
Mais cette fois c'est moi qui lui coupe l'herbe sous le pied en l'embrassant. Parce que eh! on n'est pas dans un film et je ne vais pas le laisser décider pour moi. Puis je ne peux cacher que ses lèvres sont très très attirantes et qu'il parle trop.
Cependant je ne le laisse pas approfondir notre baiser, ayant besoin que l'on s'explique. Je le vois faire une grimace trop craquante quand je m'éloigne de lui et il me faut un gros self contrôle pour ne pas me jeter à nouveau à ses lèvres. Je ne suis pas désespérée à ce point, si?
"Quentin, imagines que je sorte avec Diego comment réagirais tu?", je lui demande pour essayer de lui faire comprendre.
Je le vois froncer les sourcils et après quelques secondes il me répond :
"-Mal. Très mal. J'en crèverai sûrement de jalousie mais pourquoi me dis-tu cela?
-Alors imagines toi que c'est ce que pourrai ressentir Diego.
-Mais il n'est pas amoureux de toi lui?, réplique-t-il, ce qui me provoque des papillons dans le ventre. Quentin est amoureux de moi ololo, je ne m'en remettrai pas...
-Non mais il va se sentir à l'écart quand même. On est les seules personnes avec qui il est ami dans ce lycée et si nous nous affichons ouvertement il risque de se sentir en trop, mal à l'aise et il va se renfermer. Moi je n'ai que vous deux et je ne veux en perdre aucun. Vous êtes trop important pour moi. Lui, car il me comprend comme un grand frère et, toi, parce que, parce que je t'aime" ., je réponds, me sentant soudain mal. Car se savoir amoureuse est une chose, savoir que l'on est aimé en est une autre mais l'avouer pour la première fois à la personne que l'on aime, eh bah je vous assure que ça fait vraiment bizarre.
Je vois Quentin analyser mes paroles puis il aborde son adorable sourire en coin et me dit:
"Tu as enfin avoué que tu étais amoureuse de moi."
Je le regarde interdite, la bouche ouverte et lui réplique :
"-Attend, c'est la seule chose que tu as retenu de notre conversation?
-Non, j'ai compris ce que tu veux dire, on ne s'affichera pas en couple devant lui et on ne lui dira pas mais le plus important de ton discours c'est que tu m'as dis que tu m'aimais", il répond un énorme sourire accroché aux lèvres. Il a l'air tellement heureux que je me sens touchée et je ne peux me retenir de l'embrasser brièvement.
Il répond à mon baiser et l'approfondis. Ce mec embrasse divinement bien. Il attrape mes hanches avec ses mains et je passe les miennes dans ses beaux cheveux. Je me rappelle avec mélancolie quand je voyais mes parents s'embrasser et que je trouvais ça répugnant. Sauf que maintenant je trouve qu'embrasser est une chose merveilleuse qui fait complètement perdre pieds.
On se détache pour reprendre notre souffle et Quentin brise ce moment en disant :
"Bon il serait temps que l'on se mette à réviser car Halloween s'est vendredi."
Il n'aurait pas dû dire ça car maintenant je commence à stresser et une boule d'appréhension se forme dans mon ventre. Comment ai-je pu oublier ça?! Il va falloir que je danse devant tout le lycée sur la scène qui sera dressée en cet honneur. En plus, tout ça est la faute de ce crétin qui me sert de...petit ami.
Je m'assis par terre et me replie sur moi, luttant de toutes mes forces pour ne pas me mettre en position foetale. Je vais jamais y arriver, je vais tomber, je vais vomir sur scène, je vais forcément faire un truc de travers... Voyant que je commence à paniquer Quentin se met à genoux devant moi et relève mon visage doucement. Il caresse tendrement ma joue de son pouce ce qui réussit à me détendre légèrement.
"Tu vas y arriver Francesca, à nous deux on va se faire lever tout le lycée. Tu danses parfaitement, tu es parfaite, ça va aller. Avec moi mon amour?, me demande-t-il en me tendant sa main pour m'aider à me relever.
Je le regarde et un souvenir se superpose devant moi. Je nous revois il y a un moi, lui par terre et moi debout, lui tendant ma main pour l'aider à se relever après sa chute. Comme si il voyait exactement ce à quoi je pense, on lance en coeur :
"-Plutôt directe comme fille
-Plutôt directe comme garçon."
Et nous explosons de rire. Ma tension s'évapore dans la pièce comme nos rires. Je ris en coeur avec Quentin. Durant ce moment je me rends compte de la place énorme qu'a pris Quentin dans ma vie. Il arrive à me détendre, il m'apporte tellement. Il est le rayon de soleil qui éclaire ma vie et qui m'a permis de m'accrocher à elle. Il n'essaye pas de changer qui je suis, il comprend et respecte mes choix, il pardonne mes erreurs et mon mauvais caractère. Il me fait rire et se dissiper mes craintes. Il fait ressortir le meilleur de moi.
C'est sûrement ça l'amour vrai...
(A suivre...)
Hola mes amours voilà un chapitre qui j'espère vous plaira. J'ai mis énormément dedans. J'en ai eu les larmes aux yeux par moment ce qui ne m'arrive que très rarement quand j'écris. J'espère que ce chapitre vous touchera autant que moi.
J'ai essayé d'être au plus juste dans la retranscription des sentiments avec ce que je sais de l'amour. Partagez moi vos propres expériences et ressentiment pour que j'essaye d'être au plus juste de ce sentiment assez inconnu de ma personne.
Le titre du chapitre est néanmoins quelque chose dont je suis sur, car quand on est amoureuse on sourit en pensant à l'autre.
Si vous ne vous souvenez pas des répliques que s'échange Quentin et Francesca je vous propose un petit retour en arrière au chapitre 3 et au chapitre 16 qui sont vraiment pas très bien écris mdr😂
Je vous embrasse de tout mon coeur mes amours à moi.😙😘😚
JU ❤(qui découvre l'amour à travers sa propre fiction).
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top