Infirmier Improviser
Un jeune garçon entra dans la pièce, observant un kacchan évanoui. Il ne semblait pas vraiment méchant au premier abord mais il avais déjà lu sont fulgurant dossier, et il savait à quel point c'était une tête brûlé et qu'il avait un don pour s'attirer les foudres des autres.
Tobu détailla toute les parties de son corps, une a une. Son buste était magnifiquement sculpter, ses bras était modérément musclé et ses jambes semblaient puissante.
Bon dieu qu'il était beau.
Mais il fit vite réveiller de son rêve par le sang qui s'écoulait de centaines d'aiguilles planter en lui, et il se rappelait de ce qu'il faisait finalement ici.
Soigner katsuki.
Il prit alors une imposante trousse de soins avec pince en fer, puis une aiguille tranquillisante au cas où il se réveillerais et se déchaînerait sur ce pauvre Tobu.
Il déposa tout son attirail près du blessé, pris ensuite un trousseau de clefs pour détacher ce pauvre Bakugo de ses chaînes d'acier, qui retenaient ses poignets maintenant rouges, enflés et quelque peu égratignés à cause de la lutte acharnée qu'il avait mené contre celles-ci.
Le prisonniers tombât au sol comme un poids qu'on lancerais au fond de la mer. Kuusouka fit attention à ne pas planter encore plus les aiguilles lors de la chute de ses bras de sorte qu'il puisse les retirer facilement.
Le silence était pesant, sauf la respiration lente et régulière du blond se faisais entendre.
Il commença par retirer la source de son évanouissement, la visse sur son biceps droit. Puis on entendais alors la chair qui se disloquais -une fois de plus- lorsque le dit infirmier daigna retirer la visse en la saisissant avec sa pince de fer. Un flot de sang ruisselât sur son bras, il agrippa alors une compresse imbiber de désinfectant et la posa fermement sur la plaie le temps de choper un pansement.
Il fit à peut près pareil pour toute les aiguilles renouvelant sa compresse le plus souvent possible pour éviter les infections. Il remarqua qu'à un endroit au il y avais plus d'aiguille, ses jambes, il y en avais un nombres incalculables.
Tu fait chier izu.
Il y en avais aussi beaucoup au articulations du cendré comme les coudes et les genoux.
Outch, ça a du être douloureux !
Il répéta son action jusqu'à que plus une seule aiguille ne sois en contact avec la chair du détenu. Il banda alors ses jambes et ses bras « par précaution » pensait-il en posant frénétiquement les bandages sur les zones sensibles.
Maintenant qu'il avais enfin fini que réparer l'autre explosif, il devait le rattacher à ses chaînes. Il posa l'aiguille tranquillisante à porter de main.
Il allais prendre lui prendre les bras lorsque le hero poussa un grognement.
Il est réveiller ! Et merde, et merde, et merde !
Ses yeux carmins s'ouvrirent et se plantèrent dans le regard profond du soigneur. Il avait les yeux d'un fauve près à sauter sur sa proie. Un sourire vicieux s'installa sur son visage,
Je vais crever.
Mais le télépathe s'empressa de prendre le tranquillisant et se mit sur la défensive.
- Un mouvement et tu pars dans le monde des rêves.
- ...
Kacchan savais qu'il avait facilement l'ascendant sur ce mec au cheveux pêche.
Mais si il lui fait du mal quelqu'un débarquerais vite et lui ferais la peau, et il s'en suivrait d'une autre séance de torture avec l'autre taré.
Et surtout, il n'était pas en état de se battre.
Et de plus s'il s'approche il risque de se prendre la seringue et va savoir ce qu'il y a dedans.
Et il ne le connais pas peut être qu'il pourrais se servir de lui pour sortir de ce trou non ?
Le blond pris sur lui et demanda:
- Comment tu t'appelle ?
Tobu lui, qui s'apprêtait à rendre l'âme, fut stupéfait.
- Quoi ?
- C'est quoi ton putain de nom ?
- Tobu, Tobu Kuusouka
- ... Moi c'est ka—
- Katsuki Bakugo, je sais, j'ai longuement étudier ton dossier. Mais j'ai pas le temps de faire la conversation, laisse moi te rattacher.
Le télépathe resserra sa poigne sur la seringue et garda sa position de défense.
- Merci de m'avoir soigner.
- Derien, laisse moi te rattacher maintenant, s'il te plais. Je veux pas utiliser mon altère sur toi.
Et merde il avais oublier que les autres, eux, pouvaient utiliser leur altère. Putain fait chier.
Bakugo ne voulait pas rester attachée, il avait pas d'autre choix il devais agir. Il se releva lourdement et se jeta sur son rival. Mais il n'avait pas prévu qu'il ne tiendrais pas debout lui même et ses chaînes au pied ne lui permettont pas d'aller bien loin. Un pas de fait en sa direction et il était déjà au sol, il avais mal partout comme si des million d'aiguille lui transperçaient la peau. La douleur lui rappelait hier lors de séance de torture, et ses courbatures horribles partout a force de rester dans cette position.
Merde !
Tobu s'approchait lentement du blond qui se recroquevillait à cause de la douleur.
- Sumimassèn, Bakugo.
Il lui planta la seringue dans sa jugulaire externe, il ne vida pas toute le liquide, juste assez pour que le détenu soit shooter.
Il souleva kacchan doucement, il tanguait,
Il essayait temps bien que mal à lui rattacher les poignets. Pendant ce temps le cendré divaguait entre le rêve et la réalité.
- Dek.. Ku... Non... Revie... Non...
Il disais des trucs incompréhensible, il semblait appeler... Deku ?
Le supposer infirmier ignora ses paroles, de toute façon il était shooter celui là, ça ne servait à rien de chercher un sens à ses paroles.
Et enfin, Alléluia, il avait enfin réussi à rattacher l'autre fou.
Il prit toute ses affaires et s'en allait.
Mais il entendit quelqu'un l'appeler au moment où il allait franchir la porte d'acier.
- Nan, par pas ~~ Je — hum... dis à izu.. Deku que je l'ai... que je l'aime.. OUAIS. Il avait du mal à articuler, et a penser aussi apparement, à cause du tranquillisant.
Il croisa alors une fois de plus les yeux de katsuki qui peiner à rester ouvert, et il bougeais lentement comme s'il était au ralentit.
Il s'en alla pour de bon cette fois. Il traversait les long couloir jusqu'à son petit studio où il déposa tout son équipement près de son lit. Son studio était parfaitement ranger, il était un peu maniaque sur les bords oui.
Sur une étagère trônais une photo d'une femme, qui était sa mère, avant.
Il regarda la photo un moment avant de détourner le regard pour ne pas penser trop à elle, il ne s'en remettrais jamais.
Il quitta alors son chez lui et se dirigea vers le bureau du vert.
Il ouvrait alors la porte et fit surprit de voir son ami en larmes total. Il savait, il referma alors la porte et toqua avant d'entrée.
- Je peux ?
- Oui oui, vas-y. Dis Izuku, la voix encore tremblante.
Il avais complètement changer d'émotion il était joyeux maintenant. Tobu s'affalait alors sur le canapé en cuir avant de dire :
- Et bien, il a du en baver hier ce pauvre katsuki.
- Quoi ? C'était rien du tout ça !
Kuusouka planta son regard dans celui du vilain, il avais encore les yeux rouges d'avoir pleurer. Ça lui faisais mal de le voir comme ça mais il savait que son ami savait ce qui faisait en ramenant le blond ici, les cicatrices du passé, pensa Tobu. Midoriya baissa la tête.
Ils savaient et aucun ne voulait en parler.
- Il à marmonner un truc avant que je sorte.
- Il était dans son état normal ? Interrogea le vert avant de relever sa tête.
- A moitier, il a dit : « dit a deku que je l'aime »
Izu ferma les yeux.
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Alors voilà le 4e chapitre !
Rien de particulier à raconter à par
Que mon imagination par
Un peu en sucette x)
Alors, à votre avis, pourquoi Izuku pleure-t-il ?
Pas très compliquer mais je pose ça la quand même 😇
Bye bye ~~
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