X: J'espère que le petit ressemblera à sa mère.

{Alerte: Caractères sexuels/violence entre les symboles "⚠️", Âmes sensibles s'abstenir.}


Lui: Pour de vrai ?
Me demande t-il ne pouvant contenir un petit rictus au coin de ses lèvres.

Moi: Pour de vrai.
Lui répondis-je en riant doucement.

Alors ?
Demandais-je curieuse comme je suis.

Lui: Alors quoi ?

Moi: Tu comptes t'occuper de moi ou... ?
Lui demandais-je le faisant décompresser et même lâcher un rire franc probablement du à ma manière de dire les choses.

Lui: Jen on est au lycée.
Me dit-il, comme si c'était une bonne raison.

Moi: Et alors ?

Lui: Ça ne serait pas raisonnable, surtout vu ce que les autres disent depuis ce matin.
Se justifie t-il.
Je soupire et pose ma tête sur son épaule n'ayant pas la motivation de le convaincre.
Nate me fait descendre et me laisse arranger rapidement mes vêtements.

Moi: Juste une chose,
Rajoutais-je le voyant s'approcher de la porte.

Est-ce que c'est nécessaire que tous le monde soit au courant ?

Lui: Tu n'en a pas envie ?
Me demande t-il en fronçant à nouveau les sourcils.

Moi: Ça risque de compliqué les choses, l'information risque de circuler au delà du lycée et...
Commençais-je difficilement sans vouloir le vexer.

Lui: Je comprends, pas de soucis.
Me répond t-il en affichant un sourire qui semble sincère.
Je lui embrasse chastement les lèvres comme pour un au revoir avant de quitter les toilettes avec mon sac et mes livres.

Ça faisait quelques jours qu'on ne s'était plus vu seul à seul.
Quelques jours qui n'ont pas effacer sa présence, ils m'ont plutôt permis de me poser des questions.
Comment se fait-il que personne ne s'est rendue compte de sa véritable identité ?
Comment le proviseur est il passé à côté de ça ?
Combien de temps compte il rester à ce poste ? Ce poste qui est de loin un suicide pour une personne comme lui.
Comment fait-il pour paraître normal durant ses heures de cours ?
Pourquoi personne ne l'a encore retrouvé et remis derrière les barreaux ?

Ces quelques jours ont pourtant été bien court, mais suffisant pour que je me dise enfin qu'il serait temps que je réagisse.
C'est pourquoi pour la première fois de ma vie j'attends de me retrouver seule face à lui, priant pour que les aiguilles de l'horloge avance plus vite.
Le principal concerné ne se gêne pas pour me jeter quelques regards malsains me rappelant constamment toutes les choses qu'il désire me faire.

Ma dernière heure touche à sa fin rapidement contre toute attente. Je tarde comme toujours laissant tous les autres étudiants fuir le lycées et rejoindre leur voiture.
Sean se lève et tourne le verrou de la porte comme à son habitude puis s'appuie contre son bureau me faisant signe de me lever et le rejoindre.
Ce que je fais d'une démarche plus ou moins assurer.

Lui: Tu as bien aimer mon cadeau ?
Me demande t-il en gardant son sérieux.

Moi: Aimer n'est peut-être pas le bon mot.
Répondis-je calmement.

Lui: Elle parle.
Constate t-il.

Ça faisait longtemps.
Me dit il en se redressant et en s'avançant à mes côtés.

Je vois que tu ne porte pas la dentelle que je t'ai offert...
Observe l'homme de mes cauchemars avec attention.

Moi: Il faut qu'on parle.
Lui dis-je prenant un peu plus confiance en le regardant.

Lui: De quoi veux tu parler ?
Demande t-il tout ouïe.

Moi: De ce que tu me fais.
Continuais-je, il ne cache pas sa surprise et m'incite d'un geste à poursuivre.

J'aimerais que tout ça cesse.
Poursuivais-je.

Lui: Que tout ça cesse ?
Répète t-il. J'hoche la tête pour confirmer ses mots, malgré la tension de plus en plus importante qui s'installe entre nous.

Il en ai hors de questions.
Termine t-il face à moi.

Moi: Pourquoi ?
Demandais-je en déglutissant, je veux prendre le temps d'avoir des réponses mais celui-ci ne semble pas être du même avis et ricane avant de me répondre. Soudain je me rends compte que ma courageuse demande ne tiens plus et que la panique la remplace peu a peu.

Lui: Mais parce que tu m'appartiens Jeanne.
Murmure t-il en un soupire tandis que ses doigts s'amusent à glisser sur mes épaules et le long de mon bras.
Je recule lui faisant comprendre que je ne me laisserais plus faire.

Moi: Je ne t'appartiens pas, ni à toi ni à personne d'autre.
Lui répondis-je en pensant à Mr. Nickman qui aurait pu lui aussi dire ce genre de choses.

Lui: Ne raconte pas n'importe quoi mon ange.
Me dit-il doucement.

Bien sure que tu m'appartiens, que je sois ici ou enfermé derrière des barreaux pendant des années tu resteras miennes. Tu devrais en être heureuse.
Me sourit-il.

Moi: Qu'est-ce qui te dis que je n'ai personne dans ma vie ?
Lui demandais-je essayant de cacher le dégoût qui me tord les boyaux en ce moment même.

Lui: Oh mais ne t'inquiète pas je sais de quoi parle la presse. Ne crois pas que cet homme ou n'importe quel autre me fais peur.
Rigole t-il sarcastiquement.

Moi: Que veux tu dire ?

Lui: Et bien c'est simple.
Commence t-il avant de passer derrière moi et glisser deux de ses doigts contre ma tempe avant de poursuivre.

Je n'aurais qu'à me servir d'un de mes jouets et... boum.
M'explique Sean en imitant le bruit d'une balle contre ma tempe.

Moi: Boum ?
Répétais-je.

Lui: Je lui feraient sauté la cervelle.
Complète t-il avec un grin de je ne sais quoi dans sa voix, me transmettant la folie effarante de ce personnage.

Moi: Pourquoi tu ne me tue pas... ?
Lui demandais-je le faisant froncer à nouveaux les sourcils.

Lui: Parce que je t'aime bien sure.
M'annonce t-il comme si cette réponse est une évidence, une évidence qui me transperce le cœur et m'oblige à verser quelques larmes.

Ne pleure pas ma jolie.
Me dit-il en passant ses pouces sous mes yeux pour effacer toute trace de tristesse sur mon visage.

Tu es magnifique.
Murmure-t-il en déposant un baiser mouillé sur la peau de mon cou et sans que je ne m'y attende il passe sa main durement dans mon pantalon.

Moi: Que fais tu... ?
Lui demandais-je en étranglant un cris de surprise ayant baisser ma garde.

Lui: Chut.
Me dit-il.
Comme si "chut" était une réponse.

⚠️

Sa main se glisse grossièrement sous ma culotte et mon agresseur entre trois doigts en moi m'arrachant un hurlement de torpeur.

Reste silencieuse.
M'indigne t-il en poussant mon dos et plaque ma poitrine contre la surface de son bureau pour laisser un meilleure accès à sa main.
Une violente claque atterrit droit sur ma fesse gauche me faisant gémir de douleur et de dégoût, comme je l'imaginais mes larmes retrouvent de nouveau la peau rougis de mes pommettes.

Tu aimes ça hein ?
Me demande t-il comme si la réponse était elle aussi une évidence.

Moi: Arrête ça.
Lui demandais-je le plus calmement possible mais les tremblements de ma voix me trahissent.

Lui: Tais toi.
Me dit-il durement en prenant l'ensemble de mes cheveux au creux de sa main et en tirant dessus. De son autre mains il a quitté sa torture pour mon plus grand soulagement et fait je ne sais quoi.
Ce "je ne sais quoi" que j'aurais du prévoir et qui me fait hurler de douleur.
N'en prenant pas compte, Sean débutes de brutaux vas et viens dans... mes fesses ?
Des putains de vas et viens qui me déchirent littéralement de l'intérieur et me font crié des "stop" à tu tête tout en essayant de me contrôler pour ne pas vomir.

Je me débat et me rend compte de la violence de ses gestes, je profite que ce monstre ne m'a rien fait avalé et d'être alors libre de mes mouvements pour essayer comme je peux de fuir son étreinte.
Mais jugeant que je bouge trop il décide de me déshabiller entièrement et de me tenir de plus en plus brutalement pour coller son corps en sueurs contre le miens. Que puis-je faire fasse à un Homme de quasiment 2 mètres et d'un poids bien trop lourd à soulever pour moi... Maintenant qu'il peut continuer ses activités toutes horribles les unes que les autres sans que je puisse bouger.
Ses coups deviennent de plus en plus fréquent et dur, je ne peux empêcher mes cris de franchir la barrière de mes lèvres.
Une de ses mains se plaque sur ma joue pour m'immobiliser d'autant plus contre ce foutu morceau de bois.
Cette torture semble durer des heures et mes membres endolorie ainsi que les aiguilles de l'horloge me le prouve.

Soudain... j'aperçois une faille. Sans attendre ou hésiter plus longtemps j'attrape son sac et lui jette au visage.
Pour la première fois j'ai suffisamment de force pour me débattre et m'échapper de son emprise. Je me réfugie dans un coin de la pièce essoufflée sans savoir quoi faire.
Qu'elle idiote !
Je me tourne et le vois rire de toutes ses dents, il fouille rapidement de son sac et en sort son fameux canif.

Lui: Tu te souvient de ça ?
Me demande t-il tout sourire.

Moi: S'il te plait Sean laisse moi !
Lui demandais-je suppliante en espérant que l'avoir appelé par son nom puisse l'attendrir.

Lui: Tu crois vraiment que je vais te laisser après ce que tu viens de faire ?
Rigole t-il bruyamment.
En peu de temps il m'attrape par les cheveux et m'étale sur son bureau. Pourquoi Dieu fallait-il que je sois aussi conne pour avoir fait une chose pareil ?
Celui-ci monte à califourchon au dessus de moi nu comme un vers rendant cette vision plus effrayante que jamais.

Mais ma belle, je n'ai même pas eu le temps de me vider les couilles.
Termine t-il me faisant pleurer de plus belle, ses mots crû me dégoûte profondément et empêche mon cerveau de fonctionner correctement.
L'homme de mes pires cauchemars s'empare à nouveau de moi et laisse sa lame de côté.
Sa main se plaque contre ma gorge et la tient fermement en m'écrasant de tous son poids.
Quand à mes mains, elles sont occupé à le pousser avec toute les forces qu'il me reste. Sauf que sans que je m'y attende ses muscles se tendent et son corps ralentit jusqu'à se figer dans un long gémissement.

Moi: Non non non...
Le suppliais-je mais il était trop tard, il venait de se finir en moi.
Mes larmes redoublent en le sentant descendre de la table.

Lui: Je crois que je t'ai un peu abîmer cette fois mon cœur.
Me confit-il en jetant un coup d'œil un peu plus bas sur mon corps. Je n'ai pas besoins de baisser les yeux, la douleur suffit pour me transmettre le message.
Mais par curiosités j'arrive tout de même à jeter un coup d'œil rapidement me faisant frémir, je dois rester consciente et ce n'est pas en regardant l'état dans lequel il m'a mise que ça va m'aider. Du sang coule sur la table jusqu'au sol et je lutte pour ne pas perdre connaissances.

Essai bébé numéro un, j'espère que le petit ressemblera à sa mère...
Me dit-il en déposant un baiser sur ma joue, je ne peux empêcher les tremblements incessant de mon corps tant la panique me ronge.

À genoux.
Commande t-il en me regardant droit dans les yeux. Même si je le voulais je ne le pourrais pas, bouger un petit doigt me fait un mal de chiens...
Voyant que je ne bouge pas d'un poil, Sean se rapproche de moi et me regarde avec tendresse.

Qu'est-ce que tu as ma puce ?
Demande t-il dans un élan de compassion.
Les tremblements de mes lèvres du a mes sanglots m'empêche de prononcer un mot, je me résigne donc à lever un de mes bras lentement et le poser à "cet endroit" en me rendant compte de se qu'il venait de faire.

Tu as mal ?
Continu t-il de me demander en me prenant la main. Même un aveugle aurait pu connaître la réponse mais je ne le relève pas à voix haute.
Tout aussi lentement je me redresse en fermant fortement les paupières pour canaliser la douleur et descend de la table les jambes tremblante. Je me demande comment je fais pour tenir encore debout...

Maintenant à genoux.
Répète Sean face à moi, je ne me fais pas prier et fais ce qu'il me demande. Je me jette alors sur le carrelage glacial de la salle de classe n'ayant plus la force de me tenir debout. Ce serait un miracle si je survit à cette nuit.

Regarde moi.
Continu t-il. Je lève un peu la tête mais je n'ai pas le courage de le regarder dans les yeux et me contente de regarder droit devant. Comme je l'imaginais ça ne lui convient pas alors il passe ses doigts sous mon menton pour le monter et le regarder. Doucement il se met à mon niveau et me regarde fixement.

Ouvre la bouche.
Me chuchote t-il, ses doigts viennes appuyé sur ma mâchoire pour me l'ouvrir lui même et il crache sur ma langue me faisant sursauter puis me la ferme.

Avale.
Ce mot est prononcé comme un ordre, un ordre auquel je refuse d'obéir ce qui me vaut une gifle bruyante.

Avale tous de suite.
Répète Sean une deuxième fois, je fais se qu'il me demande une fois de plus et garde les yeux grand ouvert pour ne pas m'évanouir.

Alors comme ça on désobéi au Monsieur ? Tu mérite une bonne correction.
Poursuit t-il en partant derrière moi cherchant quelque chose, il revient seulement quelques secondes après avec une ceinture en cuire à la main.

Tiens toi bien droite.
Je fais ce qu'il me demande tout en sachant très bien ce qu'il va me faire, mais combien de temps ce calvaire va t-il durer ? Me demandais-je sans cesse.
Je ferme les yeux ne voulant pas regarder ce cauchemar. Le morceau de cuir claque sans pitié une première fois sur mon dos m'arrachant un grognement. Je reçois le deuxième coup cette fois ci sur mon ventre et serre les dents pour ne pas crier mais je sais tout aussi bien que je ne pourrais pas rester silencieuse indéfiniment. Le troisième coup beaucoup plus violent que les autres s'éclate sur mes seins me faisant crier. Le quatrième sur mon bras gauche. Le cinquième sur ma nuque. Le sixième dans le bas de mon dos. Tous ces coups deviennent de plus en plus violents, brutaux et animal m'obligeant à hurler sans retenu. Les prières s'enchaînent dans mon esprits ne sachant même pas si je finirais cette nuit en vie.

Moi: Pitié que ça s'arrête.
Chuchotais-je pour moi même.

Lui: À quatre pattes.
J'ouvre mes paupières à bout de souffle et fais ce qu'il me demande le corps tremblant.
Il ne me laisse pas le temps de me reposer et continu dans la foulée. Mes membres me brûlent et des gouttes de sang ne cesse de s'écouler des plaie et cicatrices encore fraîche situé le long de mes cuisses.

⚠️




Moi: SEAN
Me mis-je à hurler, le principale concerné ne me répond pas étant trop plongé dans la torture qu'il m'inflige de puis maintenant plusieurs heures.

JE T'EN SUPPLIE ARRÊTE !
Le priais-je mais rien à faire. Mes bras ne tiennent plus et je m'écroule sur le carrelage dans un bruit sourd. Sean lâche à terre sa ceinture et se jette sur moi sans que je ne m'y attende. Une rafale de coup s'écrasent sur mon corps sans que je puisse me défendre et j'observe avec effroi celui-ci qui ne cesse de se caresser fasse à la scène d'horreur dont il détient le contrôle, prêt à jouir des violences qu'il m'inflige.
Je suis trop faible pour riposter et rapidement mon corps et prit de violentes convulsions, et il adore ça.
Sean attrape mon visage en coupe et m'embrasse passionnément en me relevant à la force de ses bras.
Il me coince entre son bureau et son corps et c'est avec le peu de force qu'il me reste que je le retourne et attrape son canif derrière son dos.
Bien trop occupé à bouffer mes lèvres, il ne voit pas l'objet que je tiens entre mes mains.
Grosse erreur.
D'un coup sec je le plante avec rage dans son épaule droite le faisant hurler comme un animal.

Je profite de cet état pour attraper rapidement quelques affaires à la volée et courir jusqu'à la porte de sortie de secours qui elle n'était pas fermé.
Ses cris déchirent l'air et me force à courir le plus rapidement possible jusqu'à la sortie.
Je n'entend aucun pas derrière moi mais je m'efforce d'avancer sur mes jambes bien trop fragiles.
Je cours nue et loin.
J'arrive très vite dans un forêt en bordure d'une route et me cache derrière un tas de roche.
Je tape rapidement sur l'écran de mon portable malgré les larmes et la douleur qui lamine mon corps.








Camille L.

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