Chapter VIII: Elle va faire des ravages.
4.
C'est le nombre de robes dans lesquels à investie ma mère pour notre prochain gala.
Elle me raconte qu'il faut que mon retour sur le devant de la scène soit impressionnant.
Que la presse voit en moi la merveilleuse petite Jen Mill encore innocente et incroyablement intelligente.
Moi: Ils veulent que je trouve un homme... Que j'honore notre nom. Non mais tu te rend compte ? Je n'ai jamais voulu de cette vie, me balader je ne sais où au bras d'un homme que je ne connais pas pour faire la une des journaux.
Me plains-je auprès de Nate.
Je n'ose même pas imaginer toutes les idées que leurs à donné ce voyage. Aprés ce putain de gala j'aurais droit à quoi ? Rentrer à Paris ?? Même pas en rêve ! Si c'est en plus pour être opresser par deux garde du corps pendant mes sortis en publique...
Nate: Il veulent te protéger, tu reste leur fille malgrés leurs obligations et leurs déplacement. Ton père n'est que le PDG d'une marque de voiture, ce n'est pas le président des États-Unis.
Moi: Tu dis ça comme si ce n'était rien, ma mère représente le chic et l'élégance à la française depuis qu'elle est jeune. Les gens s'entasse derrière elles et s'arrache les cheveux pour avoir un autographe. Nous sommes toujours rester éloigner de tous ça et nous vivons dans un espèce de cirque de cette société, en France nous étions de simple bêtes de foire et je suis bien heureuse d'avoir quitter cet enfer.
Dis-je en rangant le fameux sac de cuir sous mon lit.
Nate: Si mes souvenirs sont bon ça fait longtemps qu'on entend plus parler de toi, que ce soit chez toi ou ici.
Moi: Parce que tu t'es renseigner sur moi ?
Lui demandais-je partager entre l'étonnement et la colère.
Nate: Peut être bien, je ne suis pas vraiment l'actualité française tu ne m'en voudras pas.
Me dit-il en imitant notre merveilleux accent.
Moi: Si par "chez moi" tu veux dire en France, je suis au courant.
Soupirais-je.
C'est pour ça que ma mère tient autant à ce que mon "grand retour" nous remette au devant de la scène.
Nate: Ta vie ressemble à celle d'une héroïne de film dramatique.
Me confit-il.
Moi: Et encore tu n'as pas tous vu.
Grognais-je.
•
Quesque...
Je m'approche prudemment du petit paquet qui m'attendait passiament sur le rebord de ma fenêtre.
C'est bien une manière étrange de reçevoir un coli.
C'est une petite boîte enrobée de papier kraft avec mon nom gribouillée en gros, on ne peut pas douter de l'identité du destinataire.
Peut-être est ce Nate qui me fait une blague.
J'attrape doucement la boîte plus légère que je l'imaginais et m'assois sur mon lit avant de l'ouvrir délicatement.
La boîte ne possède aucune indication, mais quesque tu es entrain de faire Jen ?
J'ouvre la boîte noire méfiante mais un simple papier blanc plier en deux trône dans la boîte recouvrant un papier de soi rouge sang.
Mes doigts glisse sur le papier et ouvre la lettre qui semble m'être destiné.
"Bonjour mon ange;
Si tu savais comme tu me manque, toi et ton merveilleux petit corps... J'aimerais pouvoir sauter dans ma voiture et rouler jusqu'à chez toi pour te montrer à quel point je t'aime, te faire subir tant de choses et faire de ton corps ce que je veux mais je dois m'y résigner.
Je suis informée de tous, tu es observés.
T'es parents sont de retour et je préférée que ce genre de scène reste entre nous...
J'imagine que tu as également regarder les informations ? C'est officielle, je suis passé de l'autre côté des barreaux !
Heureuse d'être à nouveau une star ?
En attendant de pouvoir sentir ta peau contre la mienne je t'envois un petit cadeau, le premier d'une longue liste.
Je ne peux malgrés tout m'empêcher d'imaginer ton corps innocent compresser dans ce tissu. J'espère pour toi que tu le porteras la semaine prochaine car je ne compte pas te laisser une segonde de répit.
Je t'embrasse trés fort ma belle Jeanne.
Sean T.
Ton homme."
Ne pouvant empêcher l'adrénaline de fuser dans mon corps, je pose la lettre sur mon lit et retire brusquement les diverse feuille de papier de la boîte à la fois curieuse et désespérée.
Un tas de dentelle est présentée comme un bijou au fond de la boite.
Un soutient gorge en dentelle travaillé d'un noir presque ténébreux entre premièrement dans mon champ de vision, je le sors de la petite boite et l'observe avec attention.
Par la suite, j'en sors un tanga de la même couleurs assorti au haut. Celui ci, je l'imagine, est censée dévoilé presque toute mes fesses.
Ensuite, ce que je devine être un porte jartelle suivit d'une paire de bas.
Cet ensemble en plus de probablement valloir une fortune dépasse la limite du vulgaire le rendant carrément incandescent.
Ni une ni deux je balaye d'un geste cette offrande à terre horifée.
Mes mains rejoigne mon visage et cache mes yeux de ce cauchemars.
Je tente tant bien que mal de me calmer mais des larmes ravage mon visage m'emportant dans une longue et blessante crise d'angoisse.
Mon corps tremble en me souvenant de ces aveux inscrit sur ce papier, en imaginant les scène à venir de nos deux corps coller l'un contre l'autre par la force et le voir prendre du plaisirs à me regarder habiller d'une telle manière.
Et dire qu'il y à quelques heures ou peut être même quelques minutes, il était ici.
Je me lève toujours aussi tremblante et range grossièrement ce qu'il m'a envoyé dans sa boite et la jete dans mon dressing sans y prêter plus d'attention.
Je me précipite dans ma salle de bain et entre dans ma douche au pas de course.
Sans réfléchir une segonde plus j'allume celle-ci accueillant l'eau comme ci elle pouvait effacer tout ce qui est entrain de m'arriver, même si ce n'est pas possible...
●
Tous ces flashs, ces photographes, cette foule qui s'agitent, ces hommes habillés de noir et de blanc et ces femmes vêtue de robes hors prix se tenant bien droite pour garder bonnes figures face aux caméras.
Pour quelques minutes encore, les fenêtres teintée de la limousine nous fait face en attendant notre tour.
Je suis certainement la plus attendue de cette soirée car tous le monde le sait, c'est ma première apparition médiatique depuis prés de deux ans.
Les photographes s'excite auprès des barrières de sécurité. L'atmosphère oppressante que rejeté cet événement est de plus en plus effrayante.
On a raconté pendant plusieurs moiz aue j'avais quitter mes parents pour partir me marier avec un homme fortuné sur mes plages de Bora Bora. Celon la presse, c'était la raison pour laquelle je n'apparaisser plus en couverture de diverses magasines people français.
Un homme fortuné ? Un mariage ? Sur les plages de Bora Bora ? Même pour ma famille je ne m'abaisserais pas à ça.
Mon père me fait un signe de tête, c'est l'heure. Un homme semblables aux autres m'ouvre timidement la portière, celui-ci me prends par la main le temps de poser mes talons haut sur le tapis rouge. Tous les regards se posent sur nous et les commentateurs enchaîne leurs monologue.
Des journalistes étrangers me cri leurs questions en choeur au visage, j'arrive à comprendre quelques mots de français, d'espagnol et même de japonais.
Je porte un sourire assurer par dessus la couleur rouge de mes lèvres, je regarde droit devant et m'arrête quelques fois pour prendre la pause.
Arriver au bout, plusieurs animatrices accours vers moi et mes parents. Accompagné de leurs micro et caméraman, des femmes aux air joueurs et méprisants me demande principalement de confirmer la rumeurs à propos de mon supposé mariage que je contredis poliment, d'autres me demande quel créateur a eu l'honneur de confectionné ma robe ou encore si je compte débuter une carrière de mannequinat comme ma mère.
Une fois ce labyrinthe franchi, je m'avance dans la salle de bal, là où bien evidemment la presse n'a pas accés.
J'ai fais des retrouvaille et accompagné mes parents à écouter de longs discours barbant à mourrir.
Je prends également le temps de regarder les gens.
Plusieurs hommes et femmes vienne prendre un verre avec moi, mais un homme se démarque des autres. Pourquoi ? Tout simplement car mes parents s'approche de moi à ses côtés.
Mom: Jen ! Ma puce !
S'exclame ma mère en me prenant dans ses bras et Dieu cela faisait longtemps !
Moi: Maman...
Souriais-je gêner ne comprenant pas son petit manège.
Mom: Mon petit ange je te présente Jack Nickman.
Lui: Enchantée Jen.
Sourit-il en tendant sa joue vers la mienne pour me faire la bise, chose qui était assez peu répandu dans ce genre d'endroit étant juger trop amical.
Moi: Moi de même Jack.
Lui répondis-je poliment.
Dad: Jack est directeur d'une agence de mannequinat londonienne renommée, et je dois dire qu'il est le meilleur dans son domaine.
Confirme mon père
Jack N: Merci Chace, vous me flattez !
Mom: Ma fille compte bientôt faire ses premiers pas dans le monde du mannequinat, comme sa mère à son âge !
S'exclame-t-elle.
Je tourne ma tête vers elle, mes yeux écarquiller doivent lui transmettre mon état d'esprit actuel.
Moi: Humm...
Débutais-je.
Mom: Elle est adorable.
Jack N: Elle fera des ravages.
Confirme t-il.
Mom: Je n'en doute pas... bien, nous allons vous laissez faire connaissance. Nous n'avons pas encore croiser Madame Messon.
Moi: Mam-
Mom: À plus tard ma chérie.
Sourit-elle malicieusement en me quittant sans me laisser rajouter un mot.
Jack N: Puis-je t'offrir une coupe de champagne ?
Me demande Jack ne se doutant pas dans quelle situation viens de me mettre ma mère.
Celui-ci ne compte pas lâcher l'affaire et affiche un grand sourrire comme toutes les personnes présente à ce foutu gala, tous aussi faux les uns des autres.
Moi: Avec plaisirs.
Cette scène n'était pas dans mes plans.
Je l'accompagne jusqu'au bar silencieusement, une fois notre objectif atteint nous décidons de s'assoir à une table pour se mettre un l'écart.
Une bonne heure est passée, la seule chose que j'ai retenue de cet homme c'est qu'il ne manque clairement pas d'assurance.
Nos discussions tourne autour de sa petite vie, celui-ci me raconte le travail qu'il fait au burot et ne cesse de mettre en avance mon "don" naturel pour le mannequinat que m'a mère m'a transmi.
Jack N: Et toi ? Que fais-tu dans la vie ?
Me demande t-il enfin.
Moi: Rien de bien intéressant, je suis lycéenne.
Jack N: Tu as réussis à te faire à la vie Californienne ?
Moi: Plus ou moins, c'est différent et je pense que c'est une simple question d'habitude.
Jack N: As-tu un petit ami ?
Me demande-t-il précipitamment me donnant l'impression que la réponse à cette question est la seule qui importe de la soirée.
Moi: Non.
Me contentais-je de répondre froidement, Jack affiche un sourrire franc. Pourquoi autant d'enthousiasme ?
Jack N: Écoute ma belle, je sais bien que ce genre d'événement est des plus barbant. Encore plus pour ton jeune âge et c'est aussi mon cas. Maintenant j'aimerai être direct avec toi.
Moi: Je vous en prie.
Lui dis-je pour le moins... perturber.
Jack N: As-tu envie d'une relation posé avec quelques avantages ?
Moi: Jack, mais de quoi me parlez-vous...?
Jack N: Je te parle d'argent, d'une bonne réputation et d'une relation stable avec un homme pleins aux as.
Affirme t-il.
Moi: Je suis beaucoup trop jeune.
Jack N: Ta mère a fait la même chose, comme toute les filles à papa tel que toi.
Et puis... tu rendrais tes parents fière.
Moi: Quel âge avez-vous ?
Je suis de plus en plus soucieuse face à cet homme et c'est véritables volontés.
Jack N: J'ai 32 ans Jen, comme on dit l'âge n'est qu'un chiffre qui ne devrait pas te freiner.
Me répond-t-il en s'approchant son visage du mien probablement pour m'intimider, derrière lui je croise le regard de ma mère au moin. Celle-ci affiche aux yeux de tous ses dents parfaitement blanche voyant que son plan marche à la perfection. Dans qu'elle merde je me suis encore foutue...
Moi: Vous vous foutez de moi ?
Dis-je dans un murmure, mais quel homme est-il pour me proposer une telle chose !
•
Le gala touche à sa fin, mes parents ayant du mal à tenir plus longtemps ont décidé de partir beaucoup plus tôt me laissant seule avec Jack.
Il est malgrés tout temp de rentrer et j'ai réussis a lui faire enfin comprendre.
Jack décide de me raccompagner jusqu'à ma voiture.
La presse est toujours présente à l'extérieur, moins nombreuse certe, en quête de capturer quelque chose d'inédit.
Je passe sur l'interminable tapis rouge suivis de prés par Jack croisant de nombreux flashs et cris.
Brusquement, Jack attrape mon poignet et me retourne vers lui pour passer un bras autour de ma taille. Dîtes moi que je rêve.
Monsieur à décider de poser à mes côtés devant une foule de journalistes.
Ses lèvres se posent longuement sur ma joue laissant les photographes immortalisé cet instang.
Je garde bonne figure et m'éforce de tenir mon sourrire le plus longtemps possible.
Ne voulant pas faire honye à mes parents en partant en courrant comme une enfant de 5 ans.
Je tente tout de même de me détacher discrètement de son emprise, il le comprend et me laisse reprendre mon chemin avec sa main toujours dans la mienne.
Aux portes de ma voiture, je sens qu'il essaye d'aller plus loin en tendant son visage vers le mien. Je m'engouffre rapidement à l'arrière de la voiture n'ayant plus la force de faire semblant et salue poliment mon chauffeur.
Mes larmes ne se deverseront pas sur mon visage ce soir, seule une boule grandira dans mon ventre me rongeant de culpabilité.
Camille L
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