Chapter XXV: T'es une pute.
Moi: Je vois.
Réussis-je à dire entre deux rires.
Je réussis à me calmer pour écouter Nate.
Nate: Jen tu as couché avec combien de gars ?
Moi: Putain Nate c'est quoi cette question ?
Nate: Les tiennes ne sont pas incroyable non plus je te signale.
Répond t-il trés sérieusement.
Moi: Je vois
Nate: Ne détourne pas le sujet.
Moi: Un seul et je t'emmerde Nate.
Lui dis-je.
Nate: On a dit seulement la vérité.
J'hausse les sourcils.
Moi: Mais c'est la véritée.
Lui repondis-je.
Nate: Pour de vrai ?
Dit-il choqué.
Moi: Dis aussi que je suis une pute...
Nate: T'es une pute.
Me répondit-il en souriant
Je lui donne une tape amicale sur l'épaule.
Nate: Il était compétant ?
Je répète mon geste en lui jetant un regard noir.
Oulala tu as vu l'heure ? On ferait mieux d'y aller !
Moi: Mouais je préfère ça.
Nous descendons les escaliers de chez-moi et sortons.
Nate: Tu sais qu'on aurait pu passer par la fenêtre ?
Moi: La flemme et ta chambre me met mal alaise, deux bonnes raisons de passer par la porte.
Lui souriais-je ce qui le fit rire
Je rentre chez Kristen qui nous attend sur le canapé, dés que je passe la porte elle ,demande à me voir quelques minutes à part, nous montons dans une chambre à l'étage. Celle-ci ferme la porte derrière elle et s'appuie dessus.
Elle: Est-ce que tout vas bien Jen ?
Me demande-t-elle l'air peu rassurée.
Moi: Hum... oui, pourquoi ça n'irait pas ?
Lui demandais-je.
Elle: Regarde toi.
Moi: Tout vas bien, je suis seulement tombée.
Essayais-je de la rassurer.
Elle me sort de sa poche une enveloppe et me la tend.
Quesque c'est encore ?
Elle: J'ai trouvé ça dans la boite aux lettres ce matin, lis là.
Je m'exécute et attrape l'enveloppe.
Dedans se trouve une feuille blanche, une lettre. Cette écriture m'est inconnu, je commence alors la lecture qui s'avère être courte :
"Bonjour Kristen,
Je vais aller droit au but, vous ne me connaissiez pas, mais moi oui.
Vous allez être gentille et en plus approchez Jen Mill.
Pourquoi ? La réponse ne vous regarde en aucun cas.
Ce n'est qu'un petit avertissement, ne m'oblige pas allez plus loin.
Adieu je l'espère pour vous."
Je relève la tête vers Kristen.
Elle: Ne crois pas 1 seconde qu'on va te laisser tomber à cause d'une vulgaire lettre anonyme.
Me rassure-t-elle.
Moi: Est ce que Nate a-
Elle: Non.
Moi: Merci.
Elle: Par contre ne pense pas que tu à réussis à me faire croire que tu es simplement tomber.
J'hésite un instant puis décide de lâcher une partie de la bombe.
Moi: Je l'ai revu....
Elle: Arf C'est lui qui t'a fais tous ça ?
Me demande-t-elle en me désignant d'un coup de tête.
Moi: Je peux juste te dire que je l'ai revu...
Elle s'approche de moi puis m'attrape dans les bras, je lâche un petit grognement de douleur ce qui l'avertit.
Elle: Je peux jeter un coup d'il ?
●
Je suis à table avec Kristen et Nate, elle a réussi à arranger mes blessures et a également respecté mon silence....
Je la remercie pour ça.
En peu de temps, je me suis recrée une deuxième famille ici. Ce cadre et cette chaleur m'avait manqué.
Nous continuons de discuter de tous et de rien comme d'habitude.
Environs 2h ont passé, nous rentrons chacun dans nos chambres respectives, oui, enfin Nate, c'est plutôt taper l'incruste dans la mienne comme à son habitude bien évidemment.
Minuit
Mon voisin est toujours à mes côtés.
Celui-ci est assit et moi et je me sers de ses genoux comme oreillers.
Nous continuons de papoter pendant qu'il joue avec mes cheveux tout en s'endormant.
Au final, moi qui pensais passer une mauvaise journée je me suis trompée.
●
Ce matin je me réveille avec la main d'un individu non identifié dans mes cheveux.
Nate: Jen.
Ah non... c'est juste Nate.
Moi: Hmmm...
Dis-je les yeux toujours fermé, la tête dans l'oreiller sans bouger.
Deux mains s'enroulent autour de ma taille et une masse se pose au-dessus de moi.
Moi: Hmmm...
Grognais-je.
Puis la tête de l'individu parfaitement identifié se niche dans mon cou à la recherche d'attention.
Je tourne la tête du côté opposé à celui du visage de Nate et commence à bouger pour le faire dégager. Les contacts comme ceux-ci me refroidissent. Cela fait deux ans maintenant que je tremble et panique juste à causes d'un frôlement ou autres caresses.
Moi: Bouge.
Gueulais-je dans mon oreiller.
Je l'entends rire et expose involontairement mon visage à la lumière du jour.
Moi: Putain
Jurais-je en me frottant les yeux.
Nate: Raleuse de bon matin.
Dit-il toujours au-dessus de moi.
Moi: Bouge...
Dis-je.
Nate: Hum... non je suis bien là.
Dit-il en abaissant son visage vers le miens.
Moi: Je vois... déjà chaud de bon matin, tu ne changeras jamais.
Dis-je en essayant de m'adapter à la lumière du jour.
Celui-ci redresse la tête.
Nate: En même temps quand on dort à côté de toi...
Laisse moi dormir !
Je lui frappe l'épaule.
Moi: Je vois, en plus d'être exciter tu es complètement débile !
Dis-je puis je laisse tomber ma tête vers la droite pour regarder l'heure
Six heure du matin.
Comment et en quel honneur a-t-il osé me lever aussi tôt...?
Moi: Tu te fous de moi ?
Lui demandais-je en ramenant ma tête à sa place initiale.
Nate: Quoi ?
Moi: 6h ?
Il sourit.
Moi: Enlève-moi ce sourire, je crois que je vais te tuer.
Il fut pris d'un long fou rire...
Long, très long, en fait VRAIMENT très long.
Moi: Traître...
Grommelais-je
Il se calme.
Moi: On commence à quelle heure ?
Grommelais-je
Il se mord la lèvre.
Mon regard dérive sur celle-ci puis remonte aussitôt sur ses yeux.
Lui: 11h.
Je le frappe.
Moi: Tu es entrain de me dire qu'on a cours dans 5 grosses heures ?
Lui: Oui.
Moi: Hmm... pourquoi aussi tôt ?
Boudais-je.
Nate: J'ai pensé qu'on aurait tous notre temps pour rester au lit.
Moi: Comment ça ?
Demandais-je.
Le principal concerné rapproche de nouveau son visage prés du mien.
Nate: Afin de pouvoir faire tout ce que tu rêves de me faire...
Dit-il avec une voix rauque et aguicheuse.
Je hausse les sourcils et vois clair dans son jeu.
Moi: Inutile de te fatiguer j'ai compris, tu veux te venger de ce que je t'ai fait l'autre jours. Mais désolé c'est perdu d'avance.
Il joue avec mes longs cheveux bruns puis fronce les sourcils en faisant passer à plusieurs reprises ses mains sur ma taille.
Plus précisément mes côtes
Lui: Qu'est-ce que c'est ?
Me demande-t-il
Je pose une de mes mains sur mes côtes et sens mon bandage.
Moi: Rien.
Dis-je en tentant de pousser ces mains de ma taille, je dis bien en "tentant " car d'un geste il le retire.
Lui: Si on fait abstraction de cette sublime parti de ton corps, il n'y a pas rien, je t'avais dit que tu étais blessé.
Dit-il en essayant de détourner son regard pervers en vain.
Moi: Oui mais c'est bon ta mère m'a soigné ...et ne te gêne pas surtout.
Lui: Absolument pas ! Parce que tu fais plus confiance à ma mère qu'à moi ?
Je soupire et retire mon bandage pour le jeter au sol.
Moi: Je vais bien ...
Camille L.
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