Chapter XII: Nue.
Je n'ai jamais rien fais pour que tous ça arrive.
Rien.
Je ne provoquais personne, j'ai toujours étais une jeune fille complètement banale et sans aucun intérêt à part mon nom de famille.
Je rentrais chez moi à une heure convenable et faisais mes devoirs comme chaque adolescente de 15 ans.
J'ai commencé à me prendre des insultes dans la gueule.
Le chant à commencer à me calmer dans les moments où ça n'allais pas. Je m'allongeais au sol et je chantais dans mon propre sang. Ça sonnait plus comme un appel à l'aide qu'une simple voix pour être honnête. Puis après je m'endormais et constater les dégâts le lendemain au réveil.
La fatigue me tué à petits feux et tenir sur mes jambes devenait compliqué.
Mes côtes me faisait également beaucoup souffrir. Je pleurais de douleur dés mon réveil.
Aller en cours et affronté le regard de tous le monde était un supplice. Les humiliations devenait une habitude. On m'appelée "la trainée" ou "la salope de Paris".
Mes profs me crier dessus à cause de mes retards répétitifs, bizarrement je suis retombée au niveau de tous les autres même avec mon nom.. Beaucoup insister pour que je retire la capuche de mon sweat-shirt et la seule fois que je l'ai fais ceux-ci ont poussé un hoquet de surprise en voyant mon visage. Le maquillage ne couvre pas tout.
Quand ma professeur m'a demandé devant tous les regards moqueurs des étudiants pourquoi mon visage était dans un tel état, quelqu'un a répondu à ma place en disant : "Elle a dû baiser un peu fort hier madame, rien d'inhabituel."
Une dizaines de jours plus tard mes parents allaient rentré. Je n'ai plus eu de rencontre avec cet homme depuis plusieurs jours et mes blessures n'étaient presque plus apparentes.
On toqua à la porte aux alentours de 19h00, cela me semblait étrange puisque j'attendais mes parents pour 22h00.
Je me suis dirigé vers la porte avec un sourire en me disant que mes parents étaient tous simplement arriver plus tôt, je m'étais lavé les cheveux et me suis habiller convenablement.
En ouvrant la porte et n'ai pas vu mes parents.
Non.
C'était lui, une fois de plus.
Il s'est précipité sur moi avec une haine jamais vue.
Il m'a une fois de plus attrapé par le coup pour me coller violemment contre le mur, il me l'a embrassé pendant que je crier.
Celui-ci m'a trainer par les cheveux jusqu'à être devant la porte de ma cave.
Il a ouvert la porte et m'a jeté dans les escalier comme une malpropre. Une fois arrivée en bas il m'a donné un coup de poing brutalement dans le visage et a enlevé son pantalon à toute vitesse.
J'ai hurlé comme une folle si tu savais. Il m'a violé toute habillée en arrachant certains de mes vêtements et m'a frapper en gémissent de plaisirs, heureux de me briser de la sorte.
Il me détruisait les côtes, m'envoyait des coups de poings dans le visage, me mordait comme un bout de viande, me cracher dessus.
Pour finir, il a sorti son couteau et me l'avait mis sous le cou pour me menacé une fois de plus.
En me transperçant de son regard il m'a dit: "Si tu ose parlais de tous ça, tu peux être sûr que je te retrouverais et je te tuerais." Je ne savais pas quoi faire à part pleurer et trembler de peur.
Il a frotté la lame sur quelques partis de mes bras pour jouer encore un peu avec moi, je hurlais pendant que mon sang, lui, coulait par terre.
Il m'a fixé pendant au moins 30 secondes avant de m'envoyer son poing dans ma tête en guise de final.
Et est parti en claquant la porte derrière lui, me laissant étaler sur le sol de ma propre cave à deux doigts de la mort.
Mon sang et mes larmes ne s'arrêtaient pas de couler et se mélangeaient.
Sans aucune source de lumière, j'essaye de tenir plusieurs plaies pour ne pas me vider de mon sang.
Je criais pour espérer que quelqu'un me trouve, persuader de finir mes jours au fond de cette cave sale et sombre.
Mes yeux ont commencé à se fermer peu à peu.
Mon souffle devenait court.
Puis, une clé tourna dans la serrure de ma porte d'entrée.
Mes parents.
Mes parents venaient de rentrer. Ma mère a crié "Jeanne, on est rentré !"
Et j'ai crié, j'ai crié le plus fort possible le mot "Maman" et "Papa".
Je le disais tellement peu que ce soir là, ces mots ont pris tous leurs sens.
Je ne voulais pas mourir, je ne voulais pas.
Je l'ai entendu crier mon nom et courir dans toute la maison.
De mon côté je me sentais partir.
Puis le noir.
Camille L.
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