Headmaster: Mr.Devis, quel est le motif de votre retard ?

Nate: Pas de bon matin...
Grogne t-il.

Headmaster: Bien, vous passerez dans mon bureau avec Mlle.Mill après ce cours et surveillez votre langage jeune homme.

Nate: Ouais.
Le principal concerné monte s'installer avec d'autres garçons qui doivent être ses amis.
Je ne prends pas le temps de trop les détailler n'étant pas là pour ça.
En tout cas, ce que je sais c'est que j'ai un rencard avec Nate et le principal après ce cours.

Le discours interminable du proviseur aura durer deux longues heures.
Je descends pour me rendre dans le bureau du proviseur illico presto et réussis avec étonnement à le trouver rapidement.

Je toque et entre, celui-ci m'attendait avec Nate.

Headmaster: Vous savez pourquoi je vous ai demandé de venir ?
Silence.

Headmaster: Je vous écoute.

Nate: Vous avez vraiment besoins de nous sortir votre morale à chaque fois ?

Headmaster: Toujours aussi drôle Mr.Devis.

Nate: Pfff.
Souffle mon camarade.

Headmaster : Mr.Devis, je compte sur vous cette année pour réduire les retards et je suis très sérieux.

Nate: Hm. On verra bien.

Headmaster: Il n'y a pas de "on verra bien" !

Nate: Et bien, si vu que je viens de le dire.

Headmaster: Pareil pour vous Mlle.Mill.

Nate: Tu es arrivées en retard ?
Me demande t-il.

Moi: Oui mais-

Headmaster : Il n'y a pas de mais ! Vous arrivez en retard dés le jour de la rentrée !

Moi: Et ?
Je vois que je l'énerve et bizarrement ça à le don de m'amuser... Quesqu'il me prend ?
Je me rapproche de lui et continue sur de moi.

Moi: J'arrive à l'heure que je veux, savez vous qui je suis ?
Celui-ci fait les yeux rond et bouillonne de l'intérieur.

Headmaster: Pour qui vous prenez vous ?

Moi: Jen Mill, bouffon.
Je lui souris le faisant rire.

Headmaster: Dois-je vous rappelez pourquoi vous vous retrouvez parmi nous...?
Commence t-il.

Moi: Vous n'oseriez pas.

Headmaster: Biensûre que j'oserais Mlle.Mill, vous ne voudriez pas refaire face à c-
S'en est trop ! Mai main droite s'éclate sur sa joue droite sans hésiter une seconde de plus.
Nate me regarde avec de grands yeux. Le Proviseur retourne son visage vers moi la bouche grand ouverte.

Moi: Pas de problème, on réglera sa devant un juge. Vous avez l'air de me sous-estimé Troy.
Lui crachais-je au visage.

Headmaster: Mademoiselle...

Moi: En un claquement de doigts je peux détruire votre carrière et ainsi ruiné votre vie. J'ai plus de contacts que vous et tous les étudiants de cet établissement réunis, d'autant plus qu'ils ont une influence inimaginable à vos yeux. Je ne prendrais plus de risque si j'étais vous. Merci de m'avoir reçu, je m'en vais de ce pas.
Merci à mon éducation de savoir trouver les mots justes et avoir une famille aussi influente dans ce genre de situation.

Je sors du bâtiment au pas de course et m'assois sur le premier banc jugée suffisamment loin des portes pour qu'on ne me vois pas de l'intérieur.
Je ferme mes paupières et m'enferme dans mes pensées, les sons extérieur sont doux et apaisant. Seul le vent et le bruit de celui-ci qui caresse les feuilles de font entendre, et Dieu ce que c'est bon.

Nate : Tout vas bien ?
J'ouvre les yeux doucement ne voulant pas affronté une nouvelle fois la brutalité de la lumière.

Moi: Oui.

Nate: Je suis désolé pour le Proviseur... Je n'imaginais pas que cette confrontation se passerait aussi mal...

Moi: Tu n'as pas à t'excuser voyons.

Lui: Je sais que lui ne le feras pas alors je fais ce qu'il me semble juste.
Je souri en guise de réponse.

Je ne pensais pas que tu oserais le gifler.

Moi: Je ne le pensais pas non plus.

Lui: Tu n'as pas l'air d'aller très bien.
S'inquiète t-il.

Je tourne la tête vers lui et constate qu'il ne me quitte, une fois de plus, pas des yeux.

Moi: Je vais bien tu sais ! Riais-je. Je ne te connais même pas... Ça me touche que tu t'inquiètes pour moi.

Lui: Je ne me sens pas obliger sache le. Je m'inquiète parce que je vois bien que ça ne vas pas.

Moi: Je ne te pensais pas comme ça.
Dis-je le sourire collé aux lèvres.

Nate: Comme quoi ?

Moi: Comme le bad boy populaire et insolant de vos films américains.
Il rit.

Mais ce bad boy à la gentillesse d'être un good boy quand il le faut.

Nate: Moi non plus je ne te pensais pas comme ça.
Affirme t-il.

Moi: Je te l'ai dis, tu ne me connais pas.

Nate : Et ça risque de changer.

Moi: Ah oui ?

Nate: Tu me plaît de plus en plus.
M'avoue t-il suivis d'un coup d'épaule affectueux.

Tu veux te joindre à nous ?

Moi: Vous séchez ?

Nate: Évidemment.

Moi: C'est très gentil mais je crois que je vais rentrée.

Nate: D'accord. Bon... on se voit demain ?

Moi: Ce soir.

Nate: Ce soir ?

Moi: Ta mère m'a dit de passer vous rejoindre pour le dîner.

Nate: Ça ne m'étonnes pas, alors à ce soir Jen.

Moi: À ce soir.

Camille L.