Chapter III: Cette cicatrise.
Rien de mieux qu'un bon bain pour pouvoir me vider la tête !
Je file dans ma salle de bain, fais couler l'eau, mets une tonne de bain moussant et je profite de l'absence de mes parents pour allumer ma sono et mettre de la musique à fond.
Parfait !
Durant ce petit moment "relaxant" je songe à la reprise des cours, après plus d'un an durant lequel j'ai étais scolarisée à la maison je vais forcément en baver
La seule chose qui m'importe et de me faire toute petite, je ne être l'objet d'aucune réputation.
Ça fait quelques heures que suis dans cette ville, dés que j'ai mis les pieds en dehors de chez moi quelqu'un vient me voir... ça comme bien mais non merci.
Je regarde mes épaules gauche, mes yeux se déposent sur mes bras et les longent pour atteindre mon poignet.
Je le retourne et le contemple.
Vous devez vous dire que je suis bizarre de regarder ainsi mon poignet, mais celui porte une marque, .
une cicatrice.
Une cicatrice que je cache sous une couche de fond de teint quand mes bras doivent être visibles.
Pas grand monde la connaît pour être honnête.
Je retourne mon bras pour ne plus observer celle-ci et pense à autre chose.
●
Je me ramène dans ma chambre après une bonne heure et demie de bain.
J'ai la peau fripée et rouge comme un homard.
Je m'allonge sur mon lit avec seule ma serviette blanche enrouler autour de mon corps encore trempé par l'eau.
Je relève la tête et me mets à regarder chaque détails ce qui sera désormais ma chambre.
Quand on la compare avec l'ancienne il n'y a pas de photos, celle que j'ai devant mes yeux fais le double de la précédente.
C'est une bonne chose mais je trouve ça perturbant.
C'est bizarre à dire mais je n'ai pas pris le temps de l'observer même après y avoir ma première nuit.
Je remarque que la lumière qui entre dans ma chambre vient d'une grande fenêtre sur le côté de celle-ci.
Heureusement, la présence des rideaux (que je peux ouvrir et fermer à ma guise) permet de cacher e vis-à-vis, d'ailleurs il serait peut-être temps de regarder la vue qui s'offre à moi.
Je me lève donc difficilement de mon lit et me mets face à ma fenêtre.
Dégouter ?
Je pense que c'est le bon mot.
Moi qui m'attendais à une vu superbe,
je tombe sur une fenêtre semblable à la mienne juste en face.
Génial.
Il n'y a personne à l'intérieur.
Mais je peux voir que c'est une grande chambre, un peu de la même taille de la mienne qui dois appartenir à un garçon. Les murs sont gris, le lit est double, mais la chambre est sans artifices.
Elle ressemble à tout sauf à une chambre de fille ou d'enfant, encore moins à celle d'un petit garçon.
Il n'y a pas de jouets, de photos, de crayons ou autres sur le bureau.
On peut apercevoir un sac de cours, des cahiers spirales, des stylos bic avec un crayon et ce qui ressemble à une gomme.
Ok, je crois que Dieu n'est-ce pas avec moi.
Camille L.
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