Chapitre 8 - Insomnie (partie 2)
Il devait être grand maximum 9 heure et quart lorsque j'arrivais devant les appartements de la reine. Je donne mon prénom aux gardes qui m'ouvrent les portes puis passe le seuil de l'entrée et me dirige droit vers la reine. Je ne m'étais pas encore approcher d'elle qu'une autre voix m'interpella.
??? : Je ne savais pas que la fameuse personne que tu attendais tant était elle.
??? : ~Krul~.
Mon sang ne fit qu'un tour lorsque j'aperçus cette personne. Je ne savais pas comment réagir. Je connaissais cette personne mais je ne pensais pas la revoir. Je pensais que je ne la verrai plus jamais du tout. Le pire, c'est que cette personne n'était pas seul. En clair, la personne était avec Ferid. Je ne craignais pas Ferid puisque de base, je voulais qu'il me rend service en échange de mon sang. Mais à ce moment là, son regard, sa posture, sa façon de se comporter face à moi.
J'avais la chair de poule. On m'a dis de me méfier de Ferid et je commence à comprendre pourquoi. Il est bien plus terrifiant qu'on le pense et je le sait. C'est le Septième Géniteur. Il est vraiment très fort. Je venais à peine de changer de vie que mon passé me rattrape déjà. Ma tête tournait. Mon sang battait dans mes tempes. J'étais presque paralysé. Le pire, c'est que des que je vis cette personne, une envie de sang remonta en grande quantité. Vampire, certes, mais je désirais son sang. Il me montait au cerveau plus q'uautre personne. P,us que le sang d'un humain. Je ne pourrais jamais oublier l'odeur de ce jour là. J'en suis sur, jusqu'à la fin de ma vie. Cette odeur va me poursuivre, jusqu'à mon dernier souffle. Il en est ainsi et pas autrement. Je mettrai ma main au feu. Je ne doute pas un seul instant de cette décision. Cette chose, cette personne, ce n'est ni un humain, ni un vampire. Il est pire qu'un démon. C'est le diable, le maître de l'enfer incarné. Je ne peux m'empêcher de sentir l'odeur se son sang si bon mais d'un côté, j'ai envie de partir en courant. Je me sens paralysé non pas de peur mais comme si il m'avait jeté un mauvais sort m'empêchant de bouger.
L'atmosphère était lourde. La Reine me regardait avec un regard d'incompréhension. Je connais cette personne autant qu'elle me connaissait. On avait vécu une partie de notre vie ensemble et j'aurais aimer qu'elle meurt du virus. Cette personne, je ne sais même plus comment la regarder. Je ne sais pas comment réagir à son regard. Il est plongé dans les miens. Il essaye de prendre le contrôle sur moi.
Mais
Je
Je
Ne
Suis
Plus
La
Même.
J'ai changé. Je ne suis plus pareille. Je n'ai pas à avoir peur. Je regarde cett personne dans les yeux. Je la sens déstabilisé. Elle n'as pas l'habitude que je lui tiens tête. Je tente de garder le contrôle sur ce combat de regard. On pourrait prendre cela pour un jeu mais s'en est tout autre.
Ce combat signifiera beaucoup de choses. Il définira la détermination la plus forte de nous deux. L'air était de plus en plus lourd. Son sang me donnait faim et j'avais a la fois la nausé de sa présence. C'était insoutenable pour nous deux mais on continuait de se fixer dans les yeux.
Personne ne voulait lâcher prise et c'est la personne la plus inattendu qui mit fin à ce jeu.
Ferid :Vous allez pas vous battre tout de même ?
(t/p) : Je t'aimais bien, Ferid mais s'il te plait. Maintenant, ferme là.
Ferid : Si c'est ce que vous décidé, mademoiselle (t/p).
Il jouait avec moi car Krul était présente. Tant qu'elle est là, il ne pourront rien me faire. Tous les deux et il le savent très bien. Je sais mainetant que aussi Ferid que l'autre attendent le bon moment pour me sauter dessus. Il veulent prendre le contrôle sur moi, et sur les décisions que je prends. Il n'attendent que cela.
??? : Bonjour (t/.......
Krul : Tu n'as pas l'autorisation de parler. Exprime toi (t/p).
Cette tête, la Reine lui avait enlevé le premier droit d'une personne et devant Ferid en plus. Oh là là, je connais quelqu'un qui va prendre chère. Et pourtant cela me donna pas satisfaction.
(t/p) : Ma reine, vous conaissez cette personne sous un autre nom mais je vais vous le présenter à ma manière. Krul, voici Toshio, mon cousin et mon ancien harceleur. Toshio, voici Krul Tepes, la Reine, la seul personne en qui j'ai confiance et dont je ne contredis aucune décision. La seul qui m a permis d'en arriver là en ci peu de temps. Ferid, tu le connais maintenant mais voici, Toshio, mon cousin que je déteste mutuellement. Qui m'a fait devenir ce que j'étais avant.
Krul : Je ne pensais pas à cela quand je t'avais dit de venir ici n'importe quand. Tu as le dont d'avoir le pire timing (t/p). Bien, bien, bien parlons sérieusement. Quel est votre relation, la façon dont vous vous supportez, dont vous pouvez vous cotoyez ?
Toshio : Je la veux à mes pieds et pas autrement. ~Tu te rappelles de ces bons souvenirs (t/p) chérie~ Je te veux pour moi, que tu sois là quoi que je fasses, où que j'aille.
Ferid : Je la veux sous mon commandement pour les invasions et pareil pour la gestion des soldats.
(t/p) : ............
Krul : C'est moi seule qui décide pour (t/p). Pour l'instant, je vous prie de sortir.
Ferid sortit de la pièce, sans oublier de nous lancer un regard.
Toshio, lui, ne bougeais pas. Son sourire moqueur aux lèvres, il continuait de me regarder. Il s'approcha de moi. Il se mit à me chuchoter des mots à l'oreille.
Toshio : Tu seras à moi (t/p). Tu subira pire que avant. Comment va ta sœur ? Tu veux qu'elle vit chez moi ?
(t/p) : Non merci cousin. Nous avons d'autres projets. Je te signale que nous sommes au même rang. Enfaite, non, je te suis supérieur puisque les seuls ordres que je dois écouter sont ceux de Krul. Tu réfléchis, la Reine, Ferid, toi. La Reine, moi. Tu comprends maintenant ?
Krul : Toshio, tu veux ne pas avoir pas de sang pendant 1 mois ? Tu sais le résultat.
Toshio ne répondit rien et partit de la salle. Je ne savais pas comment j'avais fait pour lui répondre. Il me terrifiant toujours. J'avais essayer de changer. Je changeais un nombre incalculable de fois mais mon passer me rattrape toujours. Je ne sais pas quoi faire. Je ne peux plus compter sur personne.
Krul : Tu peux m'expliquer ?
Alors je lui ai tout dit. Je lui ai dit la manière dont je l'avais rencontrer. C'est mon cousin germain après tout, le fils de la soeur de mon père. Je lui ai dit la manière dont il m'avait maltraité et puis un jour, je ne l'ai plus jamais revu. Du jour au lendemain. Je n'ai vu plus personne de ma famille à part mon père, ma mère et ma soeur. Il avait même changé d'école primaire. Il a un an de plus que moi. Il a donc eu 14 ans le 27 février.
Elle m'expliqua que Toshio était devenu vampire après les services qu'il avait rendu aux vampires. Elle n'as pas voulu m'en dire plus. Elle m'a dit que je le serais le jour où je voudrai savoir la vérité sur ma maladie.
On discuta de ma nouvelle situation. Elle m'a dit que je devrai quand même avoir certains supérieur mais que dans tout les cas, mon seul vrai supérieur reste elle. Elle doit tenir un conseil des Géniteurs et que cela tombait bien car il y en avait un demain. Je ne stressai pas vraiment. J’espérai juste avoir de la chance. Elle m’a encore félicité d'avoir tué quelqu’un pour la première fois de ma vie et je lui ai répondu que c en’ai pas si excitations que le dises certaines personnes. Je bus le sang qu’elle m’a donné et repartit. Elle veut que je la revoie demain pour m’annoncer le résultat du conseil des Géniteurs et j’aurais aussi mon emploi du temps.
Après cette conversation, je pars faire un tour dans le parc où je mettais rendu la hier. Hier me semble loin et mon humanité, il y a une éternité et pourtant cela ne fait même pas une semaine. Personne ne me reproche d’être venue dans ce parc puisque j’avais officiellement la tenue d’un vampire. Je me sentais perdu, je pensais à tout et à rien et ne savais pas comment réagir. Mes questionnements, mes réponses, les actions, j’avais l’impression qu’un énorme problème arrivait. Mon intuition ë2it en alerte et cela me perturbait depuis que j’ai revu mon cousin. Des souvenirs n’arrivent pas à remonter à la surface et mon esprit s’embrouille.
Finalement, à la nuit tombée, je rentre dans mon chez moi. J evrérifie que Tsuneko’dors moi et je m’allonge à mon tour dans mon lit.
3 personnes masculines envahissent mon esprit.
Un harceleur
L’ami de l’harceleur
Et la victime que j’aurais pu sauver.
En clair, je pensais à :
Toshio
Ferid
Et
Mika
Il n’arrêtait pas de revenir dans mon esprit.
Surtout lui.
Je ne peux m’empêcher de me dire que si je pouvais revenir en arrière, je changerais rien même si cela impliquait la mort de tous ces frères et soeur. Je me sentais mal, non pas à cause de sa tristesse. Mais mal à cause du fait que leur mort ne me faisait rien.
Cela me fit penser à une citation que je connaissais et qui prenais tous son sens maintenant même si cela ne convenait pas exactement à la situation
"Le plus effrayant dans le meurtre, c’est de s’habituer ! Quand on sait qu’on ne sera pas puni pour avoir tué, c’est là qu’on oublie le sentiment de culpabilité !"
(Nda : Phrase tiré de l’animé Black Bullet, du personnage Rentarô je trouve que cette phrase à un sens simple mais très important à comprendre. Est-ce que quelqu’un connaissait déjà cette phrase de l’animé ?)
Certaines personnes tuent tous les jours. Certaines tuent par plaisir, d’autres pour ne pas mourir eux mêmes et certains le font par besoin de se sentir supérieur.
Cette phrase me reste en tête depuis hier. Ma vie est remplie de meurtre et cela va empirer. Et le pire dans tous cela n’est pas le fait que cela empire mais que justement, je ne m’habitue pas au meurtre. Je ne peux pas m’y habituer car je ne ressens déjà aucun sentiment de culpabilité.
C’est sur ces pensées et ses trois personnes qu’on commençait mes insomnies, elle qui vivront pour l’éternité, le temps que dure ma vie.
Le truc dans l’éternité, c’est qu’elle fini par mourir à un moment.
Rien n’est éternel, même pas elle. La vie n’est pas éternelle, l’éternité ne peux pas être si éternelle que ça.
Mais
La mort peut-elle être éternelle ?
Fin du chapitre 8
Taille du chapitre : Moyen (1832 mots)
Sortie le : vendredi 8 octobre
《Informations auteur》
Ohayo !
Voici donc le 8ème chapitre plein de mystères cachés et de questions sans pour autant en avoir demandé la réponse et sans vraiment les avoir formulź.
Comment résumé ce chapitre ?
Pour commencer, ce chapitre devait 2000 mots et non 1832 mais j’ai décidé d’enlever un passage ce qui a raccourci le chapitre alors que je voulais vraiment en faire un de 2000 (l’info sans importance).
Non, sérieusement. Ce chapitre montre un début de passé caché de (t/p) parce que, vraiment, je n’ai rien dit sur son vrai passé à par le mot "séraphin". Je ne parle pas de ce début de ce bon vieux chapitre 1, la veille du jour de l’apparition du virus.
Je parle de son côté sombre car ne ressentirez vous pas un sentiment quelqu’il soit après avoir fait un meurtre ? (Bien sur,vous ne devez pas en faire. C’est juste pour que vous vous mettez à la place du personnage de l’histoire puisque c’est sensé être vous). (t/p) ne sait pas non plus comment réagir au retour de son cousin chéri (Notez l’ironie ).
Elle considère Mika comme une victime d’être devenu en vampire en cherchant à leur échapper tandis qu’elle trouve que c’est une chance pour elle d’en être devenue un.
Personnellement, j’ai détesté écrire le passage, après la visite dans la salle du trône où ses sentiments sont à "vides". J’ai par contre adoré l’entrée que j’ai créé à Toshio et la fin de ce chapitre avec la référence à l’animé Black Bullet.
Cette histoire est vraiment construites au fur et à mesure. J’ai mon début, mon passé en tête. Je sais qu’elle est le but de cette histoire (logique) mais je ne sais pas comment je veux qu’elle se termine ni qu’elles seront les réels obstacles à cette ...... amour quoi.
(Je pense avoir assez parler. J’espère ne pas avoir trop parler et expliquer pour vous >///<)
Bonne journée ou bonne nuit à vous.
Auteur : Hatoko_Hyakuya, ♤{•A Lady Vampire}♤
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