Chapitre 2 :« Discussion père fils »

POV Kuroko :

Je suis Midorima-kun jusqu'à chez lui.

Il vit dans une grande maison.

Il sort ces clé et ouvre la porte puis rentre et me dit de rentrer.

Je le suis, je le vois enlever ses chaussures, mettre des pantoufles et m'en tendre une paire.

(Oui il met des pantoufles !)

« - Kuroko je te laisse deux minutes je vais voir mes parents, tu peux aller t'installer sur le canapé (me dit Midorima-kun).

- D'accord...

- Je ne serais pas long

- Je te fais confiance Midorima-kun (lui répondis-je avec un sourire sincère).

- D'accord (me répondit-il avec un sourire apparent).

Je le vois s'éloigner, je l'entend parler avec ses parents sûrement, il s'excuse de ne pas avoir prévenu pour ma présence mais il a agit dans la hâte et que je suis blessé.

Une voix d'homme lui demande quel est mon état et il répond que j'ai des coupures, des brûlures et des bleues. L'homme lui demande mon prénom, il répond.

Mais je ne lais jamais entendu dire mon prénom avec tant de douceur dans son ton.

Après cette réflexion, mon cœur commence à se réchauffer et je ne comprends pas pourquoi ce la me fait chaud au cœur de le voir agir comme cela avec moi, qu'il me sourisse et que je sois chez lui me mette dans cet état.

Midorima-kun revient avec un homme qui lui ressemble beaucoup, l'homme me regarde et je commence a paniqué et il le voit.

Je vois mon ami venir à côté de moi pour que je me calme.

- Kuroko ? (me demanda-t-il).

- ...

- Kuroko, tu n'as pas à avoir peur. Cet homme est mon père, il est médecin et il va regarder tes blessures d'accord (me dit-il avec douceur).

- Mhh

- Parfais, Kuroko c'est ça ? (me demande l'homme en s'asseyant a ma gauche).

- Oui...

- D'accord, est ce que tu peux enlever ton t-shirt pour que j'examine tes blessures ? (il me demande).

- D'accord (dis-je en enlevant mon t-shirt en grimassent de douleur).

- Et bien on peut dire que Shintaro n'avait abusé dans ces paroles concernant ton état mon garçon.

- (Je regarde mon ami, qui en voyant mes blessures a ouvert les yeux de stupeur. Pourtant je pouvais y lire de la colère et de la peine).Midorima-kun ? (dis-je en le regardant).

Il semble réagira l'appellation de son nom de famille et se rendre compte de sa réaction.

Il rougit un peu.

- Euh je vais aller appeler Akashi (dit-il en sortant précipitamment de la pièce pour aller dehors).

- Et bien, c'est la première fois que je vois Shintaro réagir comme ça (dit l'homme avec un sourire amusé).

- C'est donc toi Kuroko Tetsuya (me dit la femme, qui était sûrement la mère de Midorima-kun).

- Oui c'est moi.

- Mai, tu le connais ? (demanda l'homme).

- Bien sur Saki, Shintaro n'arrêtais pas de parler de lui à l'époque de Teiko, encore maintenant il parle de lui de temps a autre. (dit-elle avec douceur).

- Midorima-kun parle de moi ?

- Oui, Shin semble beaucoup t'apprécier même s'il doit montrer le contraire. Surtout s'il t'a amène directement ici.

- Je ne savais pas.

- Comme plein de personne je pense, mon pauvre petit dans quel état tu es.

- Ce n'es pas si grave vous savez, il a un peu abusé je pense.

- Non mon garçon Shintaro n'a pas abusé sur ses paroles ton état est réellement inquiétant (Me dit l'homme avec dureté).

- Ah...

- Je ne chercherais pas a savoir qui t'a mit dans cet état, mais il vaut mieux que tu restes ici pendant quelques temps afin que je surveille ton état.

- Je...je ne voudrais pas gêner (dis-je).

- Kuroko, Shintaro ne te laissera rentré dans ton état actuel, surtout que je pense qu'il a un petit doute sur la personne qui a fait ça (me dit l'homme).

- Oui notre fils ne te laissera pas te mettre plus en danger je le connais assez pour savoir, que tu vas l'avoir sur ton dos pendant un moment (me dit la femme avec amusement et dureté).

- Dit moi Kuroko qu'est Shintaro pour toi ? (me demande l'homme).

- Euh c'est un ami, enfin je crois...

- Tu crois ? (me demanda la femme).

- Bah...je ne sais pas comment expliquer ça mais quand il m'a souris avant de partir et quand il m'appelle par mon prénom j'ai le cœur qui se réchauffe et je ne comprend pas pourquoi (dis-je avec timidité).

- Je vois... (dit la femme).

- Comment ça ?

- Mon garçon tu es amoureux de Shintaro tout simplement.

- Moi...amoureux de Midorima-kun...

- C'est ce que je pense aussi Kuroko, tu n'as pas l'air d'être un mauvais garçon donc si mon fils souhaite commencer une relation avec toi alors tu ma bénédiction (me dit l'homme avec douceur).

- Pareil pour moi (me dit la femme).

- Je...je... (dis-je rouge de gène)

Je vois Midorima-kun revenir, quand il me voit rouge de gène, il regarde ses parents avec un air « qu'est ce que vous lui avait dit ou fait ».

Cela les fait rire.

Alors il vient à côté de moi, respire un bon coup et me regarde.

- Kuroko ? (me dit-il).

- Oui ?

- J'ai eu Akashi au téléphone.

- Alors qu'a dit le grand chef (demande son père).

- Akashi a dit que jusqu'à nouvel ordre tu devais rester ici pour permettre à tes blessures de guérir.

Pour qui il me prend, comme si j'allais te laisser partir dans cet état (dit-il en rageant un peu).

- Il n'a rien dit d'autre ? (je lui demande avec hésitation).

- Je lui ai fait part de mes suppositions concernant le « qui ? » et il dit que tu vas être transféré à Shutoku début de semaine prochaine.

- Tu...tu sais qui...

- Je n'ai qu'un doute pour le moment, mais je peux t'assurer que si c'est bien qui je crois alors « ils » vont passer un mauvais quart d'heure (me dit-il avec une touche de colère présente dans sa voix).

- ...je vais aller à Shutoku ?

- Oui, pour ta sécurité c'est le mieux à faire.

Je ne les laisseraient plus te faire du mal, a toi ou qui que se soit d'autre (dit-il d'une voix rauque).

- Midorima-kun ?

- Mmh ?

- Merci de m'avoir aidé (dis-je en baillant).

- Tu devrais te reposer un peu, ça devrait te faire du bien.

- D'accord (dis-je en m'endormant sur son épaule de fatigue). »

( - Inori-chan...

- Oui Shin ?

- Tu n'aurais pas abusé un peu là ?

- Qui ça, moi ? Nonnn

- Inori-kun ...

- Tetsuuu (se transforme en gamine).

- S'il te plait la prochaine fois évite se genre de scène.

- D'accord Tetsu (dis-je en boudant). »)

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