57; Clifford
Bonsoir, comment allez-vous ?
Vos vacances (pour les personnes qui le sont) se passent bien ?
Ahlala décidément ça passe trop vite !
Quelqu'un va voir Split demain ? :p
Sur ceux, je vous souhaite une bonne lecture !
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"Putain, t'es vraiment qu'un connard !" S'écrie furieusement Calum. "T'aurais pu nous consulter avant de prendre cette décision !"
Affalé sur le canapé, les jambes croisés et posés sur la table basse de l'hôtel, je regarde le nouveau classement musical du pays, sans vraiment me soucier de l'état du Néo-Zélandais. À vrai dire, je m'en fiche complètement. Je sais en tout cas, qu'il ne pourra pas traverser l'écran du téléphone d'Ashton pour me rejoindre et me foutre un coup de poing, comme il sait si bien le faire.
Enfin, même si, je reste tout de même le meilleur dans ce domaine. Je plonge ma main dans un bol de cacahuète, en prend une bonne grosse poignet que j'enfourche dans ma bouche, me fichant éperdument que quelques morceaux sont tombés sur mon t-shirt. Je pioche quelques olives vertes, ainsi qu'une belle tranche de saumon, ouvrant grand la bouche pour dévorer tous ça.
"Bordel et ferme cette grosse bouche ! Tu me donnes envie de vomir !" Il rajoute sur un ton remplis de dégoût.
"Estime-toi heureux que tu ne me vois pas en train de faire caca." Je ricane, essuyant ma main huileuse sur mon jean.
"Putain, t'es vraiment qu'un porc."
"Je fais ce que je veux." Je lui adresse mon majeur, profitant que nous parlions par Skype pour me moquer de lui. "D'ailleurs je HAIS ta nouvelle coupe le chinois-coréen-loasien-japonais et j'en passe !" Énumérais-je dans l'unique but de l'embêter.
"Espèce d-de..." Il grogne, en rogne. "Je vais te tuer !"
"Ferme-là, putain !" Luke lui arrache le téléphone des mains, centrant la caméra sur lui. "Qu'est-ce qu'on va faire sans toi ?" Intervint Luke, pendant que Cal se calme.
"Je ne sais pas et c'est pas mon problème." Dis-je, nonchalant.
"T'es si heureux que ça de te débarrasser de nous ?" S'enquit le blond d'une voix peinée.
"Si tu savais." Riais-je, il me gratifie de ces deux majeurs, se laissant écarter hors de la caméra par Ashton.
"Bon allez, casse-toi ! Vous êtes en train de niquer la batterie de mon tel pour rien là." Grogne-t-il. "Alors, alors." Il racle sa gorge, se positionnant de sorte à ce que je ne vois que lui. "En tant que l'aîné de ce groupe, je propose qu'on quitte également tous les trois ce management et qu'on aille ailleurs."
"Ashton..." Je soupire, marquant plusieurs secondes de pause.
"Quoi ?"
"Ce n'est pas uniquement un problème de management, c'est un tout. Donc, je crains que si vous suivez la même route que moi, ça sera un arrêt pour toujours." Je pince ma lèvre, admettant finalement. "Je n'ai plus envie de faire parti de ce monde." Il devint aussi blanc qu'un cachet d'aspirine, mais parvient tout de même à formuler.
"E-et Delilah ? Qu'en pense-t-elle ?"
"Et bien..." Je me gratte la nuque, grimaçant.
Quelques heures plus tôt...
Ma décision est prise.
C'est décidé, je quitte une bonne fois pour toute l'industrie de la musique. J'adresse un bref hochement de la tête en direction d'Alan, qui me retourne mon geste dans un sourire timide. Une fois qu'il a éteint la caméra et que Delilah et moi n'étions plus en live, je ne prends pas la peine de vérifier l'état de mon interlocutrice et descends de mon tabouret.
Ne la regarde pas Michael ! Ne la regarde pas Michael ! Ne la regarde pas Michael !
Glissant ma main droite dans la poche de mon pantalon, je la serre en poing, sentant un léger pincement au coeur rien qu'à l'idée de l'imaginer mal au point. Même si je l'ai longtemps nié, à chaque fois qu'elle en a l'occasion, elle éveille une faiblesse que je ne connaissais pas. Agitant vivement mon minois, je chasse immédiatement ces idées sombres de mon esprit et décide de quitter rapidement la salle.
'Mais voyons, Michael !?
Qu'est-ce qui te prend de penser comme une fille ?'
J'imagine déjà Calum, Ashton et Luke se moquaient de moi en ces termes.
Arrgh, les sacrés fils de pute !
"Michael !" Schtroumpfette m'interpelle, après que je sois sorti de la pièce. "Michael !" Elle m'appelle de nouveau, mais je l'ignore. "Hey, Mich..." Elle m'agrippe brusquement le bras, m'incitant à me tourner.
"Quoi ?" Je crie, refusant de me tourner. "Qu'est-ce que tu veux ?"
Je secoue de manière sec mon poignet, lui faisant ainsi comprendre de me lâcher. Mon souhait ne tarde pas à se réaliser quelques secondes après, puisque Delilah fini par me libérer. Dorénavant silencieuse, je lève la tête et me met à fixer le couloir vide. Elle, qui semble si pressée de me dire sa façon de penser, est devenue tout d'un coup muette. Lassé par ce silence, je lâche un soupir d'agacement.
"Pourquoi est-ce que tu as fais ça ?" Elle me questionne aussitôt, quand elle remarque que je m'apprête à poursuivre mon chemin. "Tu étais destiné à faire de grande chose ! Les garçons sont-ils au courant de 'ça' ? Parce que, honnêtement ? Je ne pense pas. Même si vous passez votre temps à vous disputer et à vous battre, Ô grand jamais ils t'auraient laissés faire une telle bêt... !"
"Te force pas à jouer à la Sainte qui culpabilise, Schtroumpfette, ta payée ta dette." J'émets un mouvement de la main. "C'est bon, tu ne me dois plus rien. Et au cas où, tu n'aurais pas entendue la dernière partie de l'interview, j'ai dis que je te pardo..." Elle ne me laisse pas achever ma phrase et me lance sa chaussure dans le crâne. "Aie, mais putain !??" Je passe ma main dans mes cheveux. "Mais qu'est-ce qui te pre..."
"Non, mais t'entends ce que tu me dis ?" Elle hurle, telle la bonne vieille hystérique qu'elle est. "Non, mais parfois j'ai envie de t-te..." Elle inspire profondément, avant d'expirer, contenant sa rage. "Bon, écoute." Elle reprend plus calmement. "Je pense que si tu avais pris le temps de discuter avec moi, on aurait certainement trouvé ensemble un moyen de manipuler ta maison de disque, afin qu'ils modifient les termes de ton contrat."
"Décidément, tu ne comprends rien à rien." Je marmonne sous ma barbe.
"Huh ?" Je pivote pour lui faire face, un sourire narquois accolait au coin de mes lèvres. "Je suis ravie de voir que ça t'amuse." Ironise-t-elle sans décolorer pour autant. "Michael." Elle émet un pas en avant, afin de restreindre l'espace qui nous séparent. "Je ne pense pas que tu réalises vraiment ce que tu viens de faire." Le regard plongé dans les siennes, je ravale difficilement ma salive.
"Et moi, je pense que oui." Dis-je dans un murmure.
"Et moi, je pense que non." Je lève les yeux au ciel.
"Et comment une idiote dans ton genre peut-elle affirmer avec conviction quelque chose dont-elle ignore, hein ?" Elle me tape le torse.
"Alors explique-moi ce que je suis censée comprendre !" Puis, jette ces petites mains en l'air.
"Ça serait trop long." Je poursuis sur un ton monotone.
"Résume-moi l'essentiel alors !" Elle rétorque au tac-au-tac, je mords l'intérieur de ma joue, valsant ma tête de gauche à droite.
Décidément, elle a toujours quelque chose à redire.
Désormais, je la fixe longuement sans un mot. Delilah soutient mon regard, attendant que je réagisse - voir peut-être ? - que je perde patience. Je me demande comment je n'ai pas réussi à deviner plus tôt, le fait qu'elle soit une journaliste. Ou plutôt, apprentie. De toute manière ? Ils étaient tous pareils. Il y en a pas un pour rattraper l'autre. Les seules choses qui les différencies : c'étaient leur sexe et leur manière de procéder.
Étais-je si bête que ça ?
Pourtant ?
Absolument tous les indices me poussaient à cette conclusion.
En effet, dès le début de notre rencontre, Schtroupflette s'est montrée souriante, fraîche, spontanée, curieuse, ouverte - enfin, plus particulièrement vis-à-vis des autres membres du groupe - et dotée d'une excellente culture musicale.
Tout de même !
Ça serait mentir, si je disais qu'elle ne possède aucun goût en matière de musique. De plus, Delilah, a un véritable esprit critique. Elle n'est pas le genre de 'journaliste' à faire les éloges d'un groupe populaire, car ils sont les 'favoris du moment' tel que les One Direction, par exemple, non. Elle exprime ouvertement sa propre opinion, ignorant complètement le fait que cela plaise ou non, tout comme elle a souvent fait sur les artistes, où les garçons et moi, avons fait la première partie de leur concert.
"Ah, Schtroumpfette ! Si tu savais..." Lâchais-je dans un soupir.
"Si je savais quoi ?" Demande-t-elle curieusement.
"Tu sais ?" Je vins tapoter le bout de son nez. "Les caprices de notre groupe n'est rien à côté du reste du monde." Elle retrousse son nez, tapant sur ma main pour me stopper.
Perdue, elle m'interroge du regard.
Mh, j'avoue que je restais volontairement dans le vague pour l'embêter.
"Qu'est-ce que c'est supposé vouloir dire ce charabia ?"
"Ce 'charabia'." Répétai-je dans un raclement de gorge. "Comme tu le dis, veut dire que tu n'as pas encore totalement vu l'envers du décor." J'inspire profondément. "Parce que, crois-moi, Schtroupflette, tu ne dirais pas ça, si tu connaitrais tous les arrangements que nos managers s'efforcent de faire avec d'autres, pour éviter que leurs artistes finissent aux oubliettes."
"Et si c'était le cas ?" Elle marque une courte pause, les lèvres légèrement séparés. "Comment, penses-tu, que j'aurais réagis ?"
"Tu serais soulagée." Ce fut à mon tour de marquer une pause. "Oui, tu serais soulagée que j'ai pris cette décision."
"Michael..." Elle murmure dans un souffle, mais je décide de l'interrompre.
"Ton désir est-il réellement de devenir une journaliste ?" Elle acquiesce sans l'ombre d'un doute. "Alors, fais-moi plaisir, Delilah. Ne pose pas plus de questions et accepte l'idée que je n'ai plus envie d'appartenir à ce monde." Je plaque délicatement ma main contre sa joue. "Obtiens ton diplôme de la manière la plus honnête possible et deviens une excellente journaliste sans tomber dans la corruption."
Schtroumpfette pince le creux inférieur de sa lèvre, plaquant sa main droite au dessus de mon coude. À cet instant, plusieurs images traverses mon esprit. Cependant, les informations sont diffusés de manière si vive et rapide que ça en devient troublant. Après avoir médité et hésité sur ce qui arrivera prochainement durant plusieurs secondes, je décide de laisser agir mon instinct.
Dans un battement de cils, j'incline progressivement mon visage. Je sens mon organe vital battre - presque - douloureusement contre ma poitrine. En fait, je ne saurais décrire exactement mon ressenti du moment, mais tous que je sais ? C'est que mon coeur bondit tellement fort, un peu, comme s'il voulait bondir hors de mon corps et que d'innombrables picotements me parcours de la racine de mes cheveux à mes orteils. Je laisse mes sens s'enivraient de son parfum floral, sans quitter ses iris d'une semelle, qui brille et qui semble, essayer de me transmettre un message.
"Non, en fait..." Ma bouche s'arrête à quelques millimètres des siennes.
Mon esprit n'a qu'une seule envie ? Connecter nos bouches et n'en faire plus qu'un. Ré-apprendre la saveur qu'offre ses pulpeuses lèvres et sa chaude langue, ainsi que la proximité de nos corps. Sauf que psychologiquement, quelque chose me bloque. J'observe ces traits faciaux, longuement et paisiblement, et soudainement, l'image de trahison qu'elle renvoie - ou plutôt - me revoit, suffise amplement pour me stopper.
Pourquoi a-t-il fallu qu'elle me trahisse ?
Je hais les journalistes.
"Promet-le moi." Je frôle du bout des doigts sa joue, m'arrêtant net à sa mâchoire. "Mais cette fois ?" Nos tempes se touchent presque. "Fais-moi une véritable promesse."
"Mi-Michael..."
"Ou tu peux être sûre que, jamais, je ne te pardonnerai."
La bouche à demi-entrouverte, elle semble chercher au plus profond de mes orbes, un indice, qui pourrait prouver que je suis en train de me moquer d'elle ou encore, qui prouverait que je suis en train de mentir. Sauf que malheureusement pour elle ? Je ne mens pas. Je suis extrêmement sincère. Tellement, que je me ferais presque peur à moi-même. Je ne sais pas ce que je ferais, si elle décide de me trahir pour la seconde fois.
"Je te le promets."
Maintenant.
"Elle le prend bien." Je mens, le visage d'Ashton se décompose.
En réalité,
Delilah ne m'a jamais dit sa façon de penser.
De toute façon, même si elle aurait fait, je ne l'aurais pas écouté.
La seule chose que je souhaite et que j'espère, c'est qu'elle tienne la promesse qu'elle m'a faite.
"Tu te fous de ma gueule, là ?" Il me pointe du doigt. "Ta cru que je te connaissais pas assez pour savoir quand tu mens ou pas ?"
"Crois en ce que tu veux, Ash, tant tu ne me fait plus chier." Il lâche un long soupire, essayant de garder son sang froid.
"Pourquoi tu nous rejette comme ça ? Et surtout en faisant si peu d'effort pour compatir à notre peine ?" Je ris amèrement.
"Et vous, alors ?" Je commence à perdre mon calme. "Est-ce que je vous ai demandé pourquoi vous m'avez laissé signer ce foutu contrat sans faire preuve d'empathie ?" Je secoue la tête. "Non !" Je m'exclame. "Alors, allez vous faire foutre vous et vos jolis mots ! Vous m'écoeurez, bande d'hypocrite !"
"Alors..." Il lâche nerveusement un petit rire. "Tu fais ça pour te venger ?" J'acquiesce.
"Ouaip, exactement."
Bah quoi ?
Ils pensaient tout de même pas s'en sortir comme ça sans en subir les conséquences ?
Eux qui pensaient avoir payés leurs dettes, en laissant passer mes caprices sur mes assistantes, mes mauvaises humeurs, ou encore en devenant eux-même mes propres assistants !
Alors ça ?
Même pas en rêve.
À compter d'aujourd'hui, ils vont tous les trois comprendre la véritable signification d'avoir été trahis par leur ami le plus cher. Même si je ne l'ai jamais fais paraître, le fait qu'ils m'ont laissés prendre une telle décision à nos débuts, et en plus ? Sans broncher, m'a brisé le coeur.
Au fil du temps, j'ai senti que quelque chose n'allait plus entre nous. Nos disputes, pourtant anodin au début, me donner à chaque fois l'occasion de leur rendre la monnaie de leur pièce : en étant brutal et sans pitié. Mais à chaque fois ? J'avais l'impression qu'il manquait quelque chose. Je ne leur faisais pas assez 'mal' psychologiquement. Et entre nous ? C'était ça qui m'importait le plus : leur faire psychologiquement mal, tout comme ils m'en ont fait.
"Je ne vois pas pourquoi je devrais faire un effort, alors que dès le départ ? Vous n'en avez pas fait. Ah, Ashton ! Tu prétends savoir quand je mens, et pourtant ? Tu as fermé les yeux et a fait comme si ne rien était le jour, où j'ai signé ce putain de contrat !" Je souris de satisfaction. "Allez, je me tire ! Adieu ! Oh ? Et bonne chance pour trouver de belles paroles de chansons sans avoir l'air niais." Je le gratifie de mon majeur.
"Attends, Michael !" Sauf qu'Ashton m'interpelle avant que je ne coupe skype. "Et Delilah ? Tu comptes la revoir un jour ?" J'eus un moment de bug, sauf que je lutte pour rester impassible le plus longtemps possible.
"Non." Je coupe la conversation.
- à l'écoute - John Splithoff - Sing to you.
Je lâche un long soupir, passant vivement ma main sur mon visage. En réalité, moi-même, je ne sais pas si je reverrais ou pas Schtroumpfette. En tout cas, elle n'est pour l'instant pas ma priorité. Je jette un oeil sur mon cellulaire qui retentit bruyamment entre mes doigts, roulant des yeux en voyant le nom de Jordan inscrit sur l'écran.
Sérieusement !?
Il pensait tout de même pas que j'allais lui répondre ?
À chaque fois que la sonnerie s'arrête, il reprend aussitôt. Je continue à ignorer mes appels, me levant de mon canapé. Je marche jusqu'à la baie-vitrée, pousse la portière coulissante et entre dans la terrasse. Je plaque mes mains sur mes hanches, ne regardant même plus le nom de la personne qu'est en train de m'appeler.
En fait, je suis lassé par le bruit de ma sonnerie. Tellement, que je décide de balancer mon téléphone dans le vide. Fixant dorénavant l'horizon, mes prunelles sont rivés principalement sur le couché de soleil. Dans un petit sourire, je m'étire, tel un chat, bâillant. Je ne pu m'empêcher de penser à tous le temps libre que je dispose désormais.
Arrrgh !
Me voilà enfin libre.
'Héhé, au final ? Ils les ont tous dans le cul !'
Chantonne joyeusement ma petite conscience.
Oh oui, ça tu l'as dit bébé !
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Je suis heureuse (enfin heureuse - on va dire - qu'il était surtout temps hein :p) de vous annoncer que c'est le dernier chapitre de la fiction !
=> Ne vous en faite pas ! Il y aura un épilogue héhé !
=> J'ai exploité tous les aspects que je voulais et pour vous dire la vérité, je n'aie plus rien à raconter (si je poursuis l'histoire j'ai peur de tourner en rond et c'est pas ce que je veux !) je n'aime pas du tout écrire pour 'écrire'.
=> Je sais que vous attendez tous que Delilah/Michael finisse en couple, marié ou je sais pas quoi, et va savoir pourquoi ? Dans ma tête, c'était quelque chose d'irréalisable. Pas après tous qu'ils ont découvert l'un sur l'autre... Comme vous avez pu le constater sur cette fin (voir même depuis le début), Michael est une personne très rancunière. Donc, vous imaginez bien que la trahison de Delilah ne l'a pas laissé indifférent et que même si elle a réussie à se faire pardonner, il n'allait pas se jeter dans ses bras comme si ne rien était. (du temps ! C'est ce qu'il faut pour eux avant de se retrouver !) Et personnellement, je trouve que le fait de laisser ça en 'suspend' est plus crédible que les mettre en couple.
=> Cela va de même pour les membres de son groupe, toujours dans l'idée d'un Michael rancunier, j'ai trouvée ça logique le fait qu'il ne laisse pas également passer la trahison d'Ashton, Luke et Calum comme ça ! (c'est pour ça qu'il leur parle vraiment mal étant donner qu'il n'a plus rien à cacher, parce que depuis le début il exprime son dégoût avec 'ses poings' et ne disais jamais ses ressentis d'où les fréquents bagarres). Même si ils l'ont à chaque fois couvert quand il pourrissait la vie de ses assistantes, maltraiter et parler mal à son entourage (vous êtes d'accord avec moi que ce n'est rien contrairement à ce qu'ils lui ont fait ?) bc l'air de rien, se faire trahir par ces 3 meilleurs potes ça fait mal.
=> Au fait ! J'espère que vous avez aimé la dernière partie avec la petite musique peace and love ! Je ne sais pas pourquoi, j'ai trouvé que cette fin convient parfaitement au bon vieux Michael qu'on connait toutes, soit à la fois crade, rebelle et si sexy à la fois héhé :p
En tout cas, j'espère que cette fin vous convient, j'ai hâte de connaître vos avis là-dessus !
Je vous embrasse fort,
Alexia. ♥
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