47; Clifford

Bonsoir, tous le monde ! Comment allez-vous ? Vous avez passer une bonne semaine !? Bon allez courage la Zone B (ainsi que les autres) dans un mois nous sommes en VACAAAANCE :D Personnellement, je reprend les cours le 1er Février (étant donner que je suis en stage) donc... (a) *va se cacher* Si ça peut vous rassurer, il y a des jours où je fini jusqu'à 18h30 (voir plus) ah oui ! Et je bosse un samedi matin sur deux, alors que normalement j'ai JAMAIS cours !

Je vous souhaite à tous une bonne semaine et ainsi qu'une bonne lecture !

Ps : J'hésite à vous dire que vous pourrez très certainement avoir une crise cardiaque entre-temps.... Quoi que, oups! C'est trop tard! (a)

Ps2 : En ce qui concerne le gif => Par contre là, mon but - oui, oui, je vous assure! - n'étais PAS DU TOUT de provoquer des crises cardiaques, mais juste de montrer à quel point Michael est adorable..... (la riiiiime #out)

Ps3 : GIF + SOCIAL CASUALTY : vlejpzaokczmvnevejvioezjveok

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Nous nous regardâmes quelques secondes dans le blanc des yeux, sans énoncer le moindre mot. Moi qui m'attendais une réaction rapide de la part de Schtroumpfette, c'est un visage impassible que je gagne pour l'instant. Je déglutis la bille qui s'était coincée à ma gorge, lorsqu'elle battit de confusion des cils. Je forçai un maigre sourire, qui ne tarda pas à se décomposer quand elle leva un sourcil, l'air de m'interroger.

Pourtant, je n'ai pas utilisé de mot trop compliqué...

Si ?

"Qu.." Elle s'empressa de tirer sur son poignet pour me faire comprendre de la libérer, me coupant.

"Est-ce que tu viens juste de me toucher avec la même main, où tu t'ai servi pour te gratter les fesses?"

Oups ?

Je poussai un petit rire de nervosité, dirigeant rapidement mon regard autre part qu'à sa portée. Maintenant que Schtroumpfette me connaissait assez, j'ai bien peur qu'elle puisse déduire d'elle-même, qu'elle venait - effectivement - d'avoir raison. Je passai vivement mes doigts dans mes cheveux, les dévalant à travers ma nuque.

"Nan..." Mentis-je, gagnant de la part de cette dernière un soupir désespéré.

"Regarde-moi dans les yeux et répète-moi ça." Je préférai ne rien dire, ce qu'il ne lui a pas fallu plus d'indices pour comprendre.

"Bon d'accord!" M'avouai-je vaincu. "Accompagne-moi à la salle de bains pour que je me lave les mains dans ce cas!" Proposai-je, elle fit les gros yeux.

Uh oh.

Je crois bien qu'elle a pensé à autre cho....

"Tu es écoeurant!" Cracha-t-elle sous le choc, en me contournant pour se diriger jusqu'à la sortie.

"M-mais.." Je clignai des yeux, portant mes doigts à mon nez pour les sniffer. "Mais quoi?!" Je jetai dramatiquement mes mains en l'air. "De toute façon mes fesses ne puent pas, espèce de sale mo.." Je me tut instantanément, lorsqu'elle glissa sa tête à l'encadrement de la porte.

"Espèce de sale, quoi?" M'interrogea-t-elle.

"Rien, oublie ça." Marmonnai-je, en la gratifiant de mon majeur une fois qu'elle disparaît de mon champ de vision. "Mes fesses sentent la fraîcheur fruit de la passion, sale morue!" Je tirais puérilement ma langue dans le vide.

Pfft, des fans se tueraient pour sentir mes fesses !

'Pathétique...'

N'hésite pas à évidemment souligner ma conscience.

Les grognements de mon ventre, m'empêchèrent de réfléchir à une réponse sanglante que je pourrai lui rétorquer. Dans ces conditions, non seulement, je n'arrivai pas à penser droit, mais en plus de ça, mon humeur se dégrader d'autant plus qu'elle ne l'était en général. Comme l'avait déjà fait précédemment Luke et Schtroumpfette, je partis à mon tour à la recherche du moindre gâteau au chocolat qui resterait dans cette fichue cuisine. Je savais d'avance que si ces deux-là sont déjà passés par là, la possibilité de trouver quoi que ce soit serait - très - faible.

Je maudissais ces routes perdues, auquel le chauffeur est obligé de passer pour éviter une émeute ou des circulations trop importantes qui pourraient nous retarder. Vous savez ? Ces routes où il est rare de trouver une station-service. Mais, lorsqu'on finit par en trouver une, celle-ci ne vend uniquement que des marques étrangées. Vous voyez de quoi je parle, n'est-ce pas ? Oui, je parle de ces mêmes marques qui utilisent des ingrédients à base de produit chimique inconnue - et certainement toxique - mais, que les putains de commerçants font passer pour des produits bio.

Il n'y avait que Jordan pour se faire avoir de la sorte.

"Quel imbécile!" S'exclamâmes ma conscience et moi en même temps.

Pour une fois, nous étions tous les deux sur la même longueur d'onde. Nou.. Ou plutôt, je finis au bout d'une heure et demi - ou même plus ? - de recherche intensive, par trouver dans un placard, situé sous le levier une boîte qui contenait trois oeufs. Je hurlai mentalement de joie, puis levai mes poings en l'air, fier par cette découverte, pour finir par embrasser mes doigts et mes biceps.

Rapidement, je saisis la première casserole qui se présenta devant moi, passai l'étape de l'huile, puisque cet imbécile de Jordan avait également opté pour l'huile bio, au lieu de notre habituelle huile de tournesol. Un rictus se forme à mon visage, lorsque je cassai mon premier oeuf. Je penchai ma tête en avant, la rétractant aussitôt, suite à la forte odeur infecte que dégageait cette dernière.

"Depuis quand les oeufs se périme?" Me questionnai-je bêtement, confus.

Je soufflai d'agacement, jetant les coquilles dans la poêle avant d'essuyer mes doigts sur mon boxer. Désespéré, je ne pris pas la peine de tous nettoyer et décidai tout simplement d'aller me coucher. Je me fichai éperdument de laisser une odeur infecte derrière moi, puisque dès demain matin Schtroumpfette nettoiera tous.

Arrivé à la porte du dortoir, je la poussai le plus silencieusement possible à mes risques et périls. Je baissai la luminosité de la pièce extérieure, de sorte à créer un couloir de lumière qui me permettra de suffisamment voir, pour gagner facilement mon lit. J'étouffai un bâillement une fois que je pénétrai dans la pièce, grimaçant quand je découvris mon matelas occupé par mon assistante.

"Qu'est-ce que?" J'écarquillai mes paupières à plusieurs reprises et n'hésitai pas à me pincer la cuisse pour être sûr et certain que je n'étais pas en train de rêver.

Et si vous voulez tous savoir, non, je ne rêvai pas.

Schtroumpfette était bel et bien sous mes couvertures, avec pour seule compagnie, mo.. Son - stupide - singe bleu qu'elle avait osé nommer par mon merveilleux prénom dans ces bras. Instinctivement, j'orientai ma tête vers le lit qu'elle occupait d'habitude pour y découvrir Luke. J'inspirai profondément et clos l'instant de quelques secondes mes paupières en expirant calmement. Je les rouvris, plaçant dans un coin bien éloigné de mon esprit, le fait que Luke ai laissé volontairement un grand espace vide à ces côtés, qui permettrait à mon assistante de se glisser à ces côtés.

Si jamais je décidai de laisser parler maintenant mes pulsions...

Luke finirait le reste de la nuit la tête dans les cuvettes.

Je soupirai, puis marchai vers le seul matelas vide qui se trouvait juste au-dessus de celle de Calum. C'était celle que Luke devrait - normalement - occuper. Je n'hésitai pas à marcher sur les vêtements des garçons, beaucoup trop exténués pour penser à leur propreté. M'occuper du mien, c'était déjà bien suffisant comme ça. Je levai les yeux au ciel en voyant le Néo-Zélandais dormir en diagonale, la bouche grande entrouverte et câlinant un long oreiller. Je choisis de ne pas l'examiner plus que ça, dirigeant mes orbes vers l'échelle du lit superposé que je ne trouvais pas.

"C'est quoi ce bordel?" Soufflai-je à moi-même, décidant de poser un pied sur le lit de Calum pour pouvoir grimper.

"Non, c'est mon coussin Luke!" Grogna dans son sommeil Calum. "Va t'en chercher un autre, putain!"

Ce fou me gratifia de coup de coussin sur les jambes, me faisant perdre l'équilibre. Par réflexe, je m'accrochai aux draps, évitant de justesse de tomber et me prendre toutes les représailles des personnes présentes dans ce dortoir. J'émis un soupir de soulagement, quand mon pari de ne faire aucun bruit est atteint. Puis, retentai une nouvelle fois encore ma chance, pour finalement récolter le même résultat.

Je décidai de laisser tomber au bout de la huitième tentative.

"Non, mais.." Je comprenais maintenant pourquoi Luke à décider de prendre le lit de Schtroumpfette ce soir. "C'est quoi son problème?"

Ce n'était pas parce qu'il voulait qu'elle dorme avec lui, non.

Mais tout simplement, parce que Calum l'empêcher d'atteindre le sien.

Et je dois admettre que je préférai cette idée-là, à la précédente.

Je retournai paresseusement sur mes pas, m'installant à genou au pied de mon lit. Je croisai mes bras sur le matelas, calant mon menton au sommet de mes mains. Après les coups de coussins de Calum, l'idée de m'engouffrer dans son lit ne m'est même pas traversée l'esprit. Tout comme Ashton, qui je savais, détestait dormir dans un matelas qu'est normalement destiné à une seule personne. Sans compter Luke et Jordan, qui risqueraient très certainement de se retrouver au cimetière si jamais, je laissai parler mes pulsions au cours de la nuit. Et la seule sauvage restante risquerait, elle, de m'envoyer au cimetière, si jamais, j'osai l'inciter à se pousser de son emplacement actuel. Je me contentai donc pour l'instant de l'observer, l'air réfléchis.

La faible luminosité du couloir de lumière, me permettait de percevoir son profil gauche. Je ne pus m'empêcher d'esquisser un sourire d'imbécile heureux, quand j'apercevais sa chaîne en argent, qu'elle a utilisée pour relier ma boucle d'oreille fétiche. C'est discrètement, que je portai ma main à son visage pour saisir une mèche rebelle, que je replaçai correctement derrière son oreille. Je les plongeais ensuite dans sa soyeuse chevelure, caresse quelques mèches du bout des doigts jusqu'aux pointes, pour au final les repoussaient derrière ces épaules pour dégager son visage. Je laissai mon bras retomber à ma taille et me redressai sur mes genoux, pour pouvoir restreindre l'espace qui séparer nos visages.

Je plantai mes coudes dans le matelas pour plus de confort, laissant mon souffle chaudement s'abattre sur ces traits faciaux. Je pinçai ma lèvre, glissant le dos de mon index le long de son avant-bras, dénudé de tout vêtement à manche long à son épaule. Je ne bougeai plus d'un pouce, quand je l'entendis marmonner quelques mots incompréhensibles de peur de la réveiller. Pour être honnête, je n'ai pas cherché à comprendre de quoi il s'agit, je m'en fiche. Par contre, aussitôt rassuré sur son profond sommeil, mon index poursuit son voyage à travers la ligne lisse et douce de son cou. Je la glissai sous la chaîne argentée pour la retracer, sortant ma boucle qui logeait au creux de sa poitrine, pour faire rouler le clou entre mon pouce et mon majeur.

"Mh.." L'entièreté de mon corps se tend. "Michael, tu es insupportable! Qu'est-ce que tu veux de plus? Je t'ai déjà apporté ton stupide café et ton donut à la vanille introuvable!" Rouspéta-t-elle, d'une voix de bébé que je trouvais particulièrement adorable.

Ouh, mais c'est qu'elle est en train de rêver de moi la Schtroumpfette !

Quel beau connard de patron je peux être parfois.

"Ce que je veux.." Murmurai-je tout bas, à seulement quelques centimètres de ces pulpeuses lèvres roses. "De plus?" Je caressai doucement sa joue du bout de mon pouce, m'attardant au creux. "C'est toi, ma Schtroumpfette."

**

Enfin, nous avons pu obtenir une pause après une longue et indéterminable journée de tournage du clip 'Social casualty.' Nous nous sommes arrêtés dans l'état de l'Arizona pour pouvoir la tournée. Jordan s'est d'ailleurs donné pour objectif de clore ce tournage, deux semaines avant qu'on ne parte tous en vacance.

Pour l'atteindre ?

Il a décidé de ne pas payer l'hôtel, trouvant que le trajet nous faisaient perdre beaucoup trop de temps. Les employées, lui, ainsi que nous, dormirons tous dans nos bus respectifs jusqu'à la fin. Ce qui, je l'admet, nous fera énormément gagner du temps. De plus, selon lui, ça nous évitera d'être tentés par la mal-bouffe.

Instinctivement, j'étirai mes bras, suivi de près par mon cou et mes phalanges. Je fis craquer mon dos, passant mes mains à mon crâne et m'installai sur le canapé. Je ne pris pas la peine de couvrir ma bouche, quand je bâille, posai mes jambes sur la table basse tel un roi. Puis, claquai à deux reprises mes doigts, pour signaler à mon assistante de m'apporter de quoi m'hydrater.

Sauf qu'elle n'est jamais venue m'apporter quoi que ce soit.

"Qu'est-ce que?" Je levai un sourcil, pivotant ma tête de tous les côtés à la recherche de cette idiote.

"Elle est avec Luke." Lança Calum sans même que j'eus le temps de lui poser la question.

"Dehors." Ajouta en parfaite synchronisation Ashton.

"Oh." Répondis-je simplement, gagnant de leur part des sourires moqueurs. "Quoi?" Les agressai-je malgré moi.

"Rien, rien!" Chantonnèrent-ils joyeusement, levant innocemment leurs mains en l'air.

"Bande d'imbécile."

Tous qu'ils ont trouvé à faire, c'était d'éclater de rire.

Je roulai des yeux et me levai paresseusement de mon emplacement.

Je n'hésitai pas à heurter leurs épaules de plein fouet, quand je passai à côté d'eux pour pouvoir sortir du bus. Je me grattai la tempe, marchai à la recherche de Luke et Schtroumpfette, que je trouvai ces derniers temps, un peu trop proches à mon goût. Au début, j'avais pensé que Luke lui apprenait les ficelles de comment devenir une parfaite emmerdeuse. Son comportement pour avoir une stupide signature des Arctic Monkeys me l'avait prouvé.

Je me dirigeai jusqu'aux tables de camping, où se trouver le buffet - évidemment bio - pensant qu'ils se trouveraient certainement là-bas. Et je n'avais pas tort, car dans les secondes qui suivent, j'ai pu apercevoir la large corpulence de Luke, qui surplomber celle de mon assistante. Mes lèvres se séparent, prêtent, à crier le nom de Schtroumpfette, mais elles finissent par se figer à la vue des deux individus dans les bras l'un de l'autre.

Mes pas se stoppent face à ce spectacle d'horreur et un pincement inconnu et désagréable vint compresser mon organe vitale. Mes dents se grincent et mes doigts forment sans même que je me rends compte un poing. Une boule de chaleur naissante, augmenta ma pression artérielle et fit accélérer soudainement mon rythme cardiaque. Face à cette poussée d'adrénaline, je pus poursuivre mon chemin jusqu'à eux.

"Il faut que je te parle." Je saisis la capuche de Luke et tirai sans ménagement dessus pour le séparer brutalement de ma Schtroumpfette. "Et toi!" Je pointai mon assistante du doigt. "Va me chercher de quoi m'hydrater! Je te rappelle pour la millième fois depuis la signature de notre putain de contrat, que je ne te paie pas pour rien faire!" Lui crachai-je sèchement à la figure et à la vue de mon état, elle ne chercha même pas à me contredire et s'exécuta. "Et toi!" Cette fois, je m'adressai au blond. "Arrête ça!" Il se dégagea de moi, replaçant correctement sa capuche froissée en se retournant face à moi.

"Arrêter quoi?" S'enquit-il, l'air innocent.

"Arrête de te coller à elle." Il sourit, arquant un sourcil.

"Elle?"

"Ne fais pas l'idiot, tu m'as très bien compris." Soufflai-je, agacé.

"Pourquoi?" Il glissa ces mains dans ces poches, haussant ces épaules. "Ça ne semble pas la déran.."

"Ferme-là!" M'écriai-je, hystérique. "Et juste.." Je marquai une pause, soupirant. "Fais ce que je te dis!"

"Sinon, quoi? Tu vas m'éclater la tronche?" Me provoqua-t-il. "Au cas où, tu serais devenu sourd entre-temps.." Expliqua-t-il sur un ton sarcastique. "Jordan ne veut plus qu'on se ba.." Je poussai amèrement un petit rire.

"Si c'est ça qui va m'arrêter tu.."

"Non."

Non ?

Non, quoi ?

Je rêve où il vient de me refuser ma requête ?!

"Excuse-moi?"

"Non." Confirma-t-il. "Je n'arrêterai pas de la 'coller.'" Il leva son index en l'air. "À moins que tu ne me donnes des arguments concrets."

Il veut mourir avant l'heure ?

Je le foudroyai du regard, plantant mes ongles dans ma peau.

"Espèce de.."

"Tu t'entends parler, Mike?" Se moqua-t-il. "Navré, mais tu ne peux pas juste demander à une personne de s'éloigner d'une autre, juste parce que ça ne te plaît pas. Et surtout.." Il me pointa du doigt. "Sans donner des arguments valables!" Il ricana. "Allez, admets-le!" S'écria-t-il en jetant ces mains en l'air. "Admets-le que ça te fout la rage que je fréquente Doudou! Ou encore même que je lui attribue ce surnom très.." Il n'hésita pas à s'attarder sur le mot 'très'. "Affectueux. Admets-le que rien que le fait de l'imaginer dans mes bras, de l'imaginer m'embrasser, la toucher ou encore l'effleurer te broie les tri.."

"Ferme-là, putain!" Mon comportement semble d'autant plus l'amuser.

"Combien de fois je t'ai demandé d'arrêter moi, hein?" De quoi est-ce qu'il parle maintenant, bon sang ?! "Combien de fois tu t'ai juste contenté de me rire au nez, en soulignant bien le fait que je n'étais et je cite : 'Qu'un fragile?'" Il fronça le bout de son nez. "Tu sais quoi?" Puis, leva désespérément ces mains en l'air, un sourire dédaigneux plaquait au coin de sa bouche. "Je vais te répondre de la même manière que tu m'as à chaque fois répondu." Il restreint l'espace qui sépare nos visages, susurrant dans un souffle de sorte à ce que moi seul entende. "T'avais qu'à t'y prendre à l'avance."

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