38; Sawyer
Petit conseil avant de lire :
1. Préparez une ventoline pour risque de fangirlage (ou pas) 2. N'oubliez pas de voter et commenter chaque paragraphes (moi aussi j'ai envie de rigoler et connaître vos pensées)
3. Celle qui ne fait rien de tous ça, sachez-le, je vous lance des pierres empoisonnés, ok ?
4. Ne pas prendre en compte le point 3, je pète juste les plombs juste parce que aujourd'hui c'est férié et qu'il pleut so pas de sortie *pleure* XD
5. Je vous aimes, mes artichauts ♥
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Je grognai de mécontentement quand j'entendis l'alarme, provenant du cellulaire de Michael retentir bruyamment à plusieurs reprises.
Instinctivement, je roulai sur le côté, mon corps tombant contre le torse chaud et - ahem - nu de Michael, qui je devais l'admettre était drôlement confortable. Quelques secondes passent et je sentis sa poitrine vibrais contre mon oreille, m'indiquant qu'il venait à son tour de grogner de mécontentement, suite à ce réveil brusque et bruyant.
Je sentis son bras bataillais contre la couette pour atteindre sa table de chevet, coupant la sonnerie de cet objet indésiré, qui menaçait à tous moment de nous faire perdre la raison.
"Stupide réveil." Marmonna-t-il sous sa barbe, entourant fermement ces bras autour de ma taille, dans le but de presser mon buste encore plus contre son torse qu'il ne l'était déjà.
Et la réalité me frappa.
Mais qu'est-ce que je fous à califourchon sur lui ?
Mon corps se tendit, voir même se paralysa contre ce dernier. J'ouvris brusquement mes yeux emplis de choc et me mis à gesticuler dans tous les sens pour me libérer de cette prison. Michael ne sembla pas gêné de notre position, bien au contraire, il roula sur le côté, pour pouvoir échanger nos places et caler son visage contre ma poitrine.
"Qu'est-ce que.. ?" Je me remis à gesticuler quand il frotta son visage contre mes seins tel un chaton. "Mais ça va pas?" Lui hurlai-je aux oreilles en tapant contre son dos, gagnant de la part de ce dernier un éclat de rire.
"Je vais très bien, Schtroumpfette." Chantonna-t-il joyeusement. "Merci de t'en préoccuper." Je roulai des yeux et plaçai mes petites mains aux creux de ces épaules pour le pousser. "Mais c'est pas pour autant que je ne vais pas être vache avec toi aujourd'hui." Il glissa - sans aucune discrètion et gène - ces mains sous mon haut. "Ow, ta vraiment une peau de bébé, Schtroumpfette!" Je voulais supprimer ces frissons qui firent vibrer constamment mon corps, à chaque fois qu'il pianotait ces doigts à travers mes hanches.
"NON MAIS TA PAS HONTE DE TRIPOTER COMME ÇA UNE FILLE?" Je vins taper cette fois sur ces mains, couvertes par l'étoffe de mon pyjama. "MICHAEL! BOUGE TES GROSSES MAINS DE MES.." Il finit par les retirer et en plaqua une contre ma bouche pour me faire taire. "c,sox,aopxaopapwkonzacizazikzodzozolzpl"
"Ta violence m'excitera toujours."
Je grimaçai de dégoût, sachant qu'il venait de faire une de ces habituelles 'blagues' salaces, poursuivant coûte que coûte mes tentatives de fuite. Mes mains se glissèrent discrètement à travers son dos, afin d'atteindre son point faible, qu'est ces côtes. Je voulais le faire bondir hors de moi en le chatouillant. Mais, Michael semble avoir prévu mon 'coup' et saisis rapidement mes poignets pour les placer de chaque côté de mon visage.
C'est dans un sourire dédaigneux, qu'il vint plaquer son bassin contre le mien, pour mieux me stabiliser, voyageant le bout de son nez avec une lenteur que je ne le connaissais pas à travers mon cou. Je ne pus m'empêcher de contenir d'entre mes lèvres un faible soupir, quand il retraça doucement le contour de sa propre marque, exerçant ensuite quelques pressions dessus.
J'étais presque certaine que mes joues avaient à cet instant pris une toute autre tournure. Non seulement à cause de la position auquel nous étions à cet instant, mais en plus par ces gestes qui ne laissaient clairement pas mon corps indifférent. Mes paupières ce sont clos quelques micros de secondes, totalement bercées par cette tendresse, tandis que mes doigts se crispèrent entre elles quand il me déposa un chaste baiser contre ma clavicule.
Michael venait sans le savoir de toucher la partie la plus érogène de mon corps.
Oh. mon. dieu.
"Bingo." Oh non, ne me dîtes pas que.. "Ça sera à cet endroit-là que ma morsure sera placée." Il venait de libérer mes poignets sans se rendre compte.
Michael n'était pas tendre du tout, non.
En réalité, il cherchait uniquement mon point faible pour mieux assouvir sa vengeance.
"Oh, toi.." Sans aucun ménagement, je décidai de le prendre complètement au dépourvu en lui griffant l'épaule.
"AHHHH! ESPÈCE DE..."
Il se redressa avec précipitation hors du lit dans un gémissement de douleur et j'en profitai pour bondir jusqu'à la porte de sortie.
Mes pieds n'avaient même pas pu effectuer deux pas à l'extérieur, que je tombai la tête la première à califourchon contre un corps robuste et musclé, qui venait de me servir malgré lui de matelas d'atterrissage. Une paire de bras ne tardèrent pas à entourer fermement ma taille, m'aidant à me placer à califourchon. Je grimaçai de douleur, bien que mon atterrissage a était amortis, passant vivement mes doigts dans ma chevelure brune.
Je levai mon visage, rencontrant celui d'un Calum à moitié endormi. Il écarquilla doucement ces paupières, puis passa distraitement ces doigts dans ces cheveux. Il me fixa un instant, leva son regard qui avait rencontré celui de Michael, avant d'esquisser un sourire narquois.
"Et bah dis donc! Vous êtes vraiment bruyant de bon matin!" Son rire me rappelait clairement celui d'un enfant, pas aussi enfantin que Luke, mais vous avez compris l'idée.
"On peut savoir.." J'entendis un bruit d'oreiller violemment cogner des individus. "Ce que vous foutez au pied de ma porte?" Grogna Michael en colère.
Vous ?
Je clignai des cils, confus, puis pris minutieusement le temps d'observer mes alentours. Alors que je me tenais à califourchon sur Calum, Luke et Ashton étaient sur le côté en boule, évitant au mieux qu'ils pouvaient les coups de coussins que Michael leur infligeait violemment.
Oh non..
Ne me dîtes pas qu'ils nous ont espionnés toute la nuit ?
"Aw, mais on voulait savoir si t'étais encore en vie!" S'exclamèrent Luke et Ashton à l'unisson. "Ah a-aiiiiiiie, arrête ça fait mal Mike!" Pleurnichèrent-ils.
"Et si t'allais encore garder intact tes bijoux de famille." Ajouta dans un rire Ashton.
"C'est parce qu'elle t'a castrée que t'es d'humeur massacreuse ce ma.. A-AIEEE! Triche, triche!" Protesta Luke. "C'est pas juste! Nous on a rien pour nous défendre!"
"Vous. êtes. vraiment. des. boulets. putain!" Michael leur enchérit de coup d'oreiller, ignorant leurs cris de protestation.
"Ouais et puis pourquoi Calum il reçoit rien?" Objecta Ashton.
Calum et moi déglutissons quand on vit Michael s'avancer jusqu'à nous. Instinctivement, je me mis en boule contre son torse, m'attendant également à être infligé de coup, tandis que ce dernier plaça ces bras au-dessus de ma tête pour me servir de boucler.
Mais, non.
Tous que Michael a fait c'est d'entourer ces bras autour de ma taille pour pouvoir m'arracher de ceux de Calum. Il me ramena sans un mot dans sa chambre, ignorant littéralement le fait que j'étais en train de gesticuler comme un asticot contre son torse, claquant bruyamment la porte derrière lui.
R.I.P ma clavicule.
**
"Je suppose que.." J'observai Mariane pincer le menton de Michael de sorte à bien faire la distinction entre sa lèvre supérieure et sa lèvre inférieure. "C'est toi qu'à fait ça, encore?" M'accusa-t-elle, en couvrant la coupure de ce dernier avec du maquillage.
"Quoi?" M'écriai-je outrée. "No..."
"Et encore? Ta pas vu ce qu'elle a fait à ma pauvre épaule!" Pleurnicha faussement Michael en faisant la moue.
Oh, le menteur !
Je levai les yeux au ciel, secouant désespérément mon visage de gauche à droite. Mariane nous observa à tour de rôle dans un froncement de sourcil, confuse. Elle s'éloigna de quelques mètres du visage de Michael, penchant sa tête de tous les côtés, pour vérifier si la coupure qu'ASHTON - ou CALUM - était encore visible.
Lorsqu'elle lui demanda de retirer son sweat, pour pouvoir jeter un oeil sur ces fameuses griffures, j'ai bien crue qu'elle allait faire un arrêt cardiaque.
"Oh mon dieu!" Elle posa ces mains sur ces hanches. "Moi qui avais prévu de te faire porter un débardeur sur scène ce soir!" S'exclama-t-elle en jetant désespérément ces mains en l'air. "Mais vous faite quoi la nuit?" Elle pivota son corps pour me faire face et je mettrai ma main à couper, qu'elle fera une remarque sur ma nouvelle morsure. "Vous êtes des monstres, des cannibales!"
Pari gagné.
Cette femme était vraiment quelque chose.
"Il faut vraiment que.." Elle examina ma clavicule. "Vous calmez vos hormones, les jeunes. C'est vrai, quand j'étais jeune, j'étais aussi sauvage que vous. Mon mari et moi avons passé chaque seconde de notre vie à nous rouler l'un sur l'autre. Nous étions tous les deux des mauvais perdants et adorions avoir le dernier mot. Alors, tout comme vous on se tapait, on se mordait, on se griffait, on s'attac.."
"Par pitié, Mariane!" L'interrompit brusquement Michael. "Je suis encore jeune, intelligent, en bonne santé et putain de sexy." Et - ahem - modeste aussi. "Si tu continues à me raconter les perversions de ton gendre et toi, je.. AHHH, MAIS BORDEL!" Elle venait de lui tirer les oreilles.
"Espèce d'ingrat!" Bien fait, bien fait, bien fait ! "Il est passé où le respect envers vos seniors, hein?" Elle roula des yeux, relâchant son oreille. "Allez tourne-toi que je couvre tes griffures de maquillage." Michael s'exécuta, me pinça discrètement la cuisse quand il me vit me moquer ouvertement de lui.
"Hé!"
Il se tortille malicieusement les sourcils et n'hésita pas à me rappeler du regard que sa maquilleuse, lui servait de barrière de protection. Je devais donc oublier pour le moment mes représailles. Je poussai un petit soupir et décidai de m'installer sur le canapé - très loin de lui - près de la sortie de sa loge.
"Ce soir, plusieurs magasine mondialement connus viendra vous prendre en photo, dont 'Rock's magazine', tu sais? Le magasine qui a écrit quelques mois plus tôt une petite rubrique sur vous." Expliqua-t-elle à Michael alors que l'entièreté de mon corps venait de se congédier à l'entente qu'un de mes collègues de 'Rock's magazine' allait faire son entrée. "Il y a quelques mois, c'était une petite rubrique.." Dit-elle en tapotant la poudre contre sa peau pour fixer le maquillage. "Mais ce soir, ça sera la couverture! Ou peut-être même une interview, qui sait?"
Connaissant - plus ou moins - les méthodes de travail de Victoria, je savais qu'elle n'avait pas envoyé ces 'vrais' reporters à cette soirée, non. Chaque année elle désignait un ou une stagiaire pour faire le sale boulot à la place des grands et bien sûr, vous connaissez les stagiaires ? Leur but est de tous les éliminer pour arriver à leur fin.
Quelle que soit cette personne il ou elle n'allait certainement pas me faire de cadeau.
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