Partie 18
Salem wa aleykoum !
Bonne lecture ❤
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Un mois s'est écoulé depuis mon accident, hier j'avais un rendez vous chez le docteur pour pouvoir enlevé mon plâtre,al hamdoulillah ça c'était très bien passé.
Emre : Jannahhh !! T'as bientôt fini ? Dit-il en rentrant dans la salle de bain alors que j'étais entrain de me maquillé car nous allons sortir mangé au resto.
Moi : Bientôt attend quelques secondes.Dis-je en appliquant mon gloss mate sur mes lèvres.
J'étais tellement concentrée dans ce que je faisais que je n'avais même pas remarqué qu'Emre me regardait à travers le miroir avec un regard intense.
Moi : Eh bah dit donc je savais pas que je te faisais autant d'effet.Dis-je en éclatant de rire.
Il détourne directement les yeux .
Emre : Qu'est-ce que tu racontes ? Allez vite.
Moi : Awnnn troop chou ~~~Dis-je en lui pincant les joues.
Il me regarde avec un sourire en coin.
Puis pose furtivement ses lèvres contre les miennes sans que j'y m'attende.
Hiiiiiiii je crois que je suis devenu toute rouge.
Emre : Bah alors ? Je savais pas que je te faisais autant d'effet.Dit-il en explosant de rire à son tour.
Moi : Pfff ~~ même pas drôle.
Emre : Oh elle boude ça y'est.
Je lui réponds pas et nous descendons puis nous montons dans la voiture toujours dans le calme.
Il conduisait quand il me prend la main et l'apporte à ses lèvres ce qui laisse apparaître un sourire sur mes lèvres que j'efface rapidement quand nos regards se sont croisés.
Emre : Tu me boudes encore ? Dit-il en restant concentré sur la route.
Moi : Peut-être qui sait.
Emre : T'as quel âge dit moi ?
Moi : 24 ans mon vieu.
Emre : Ça m'atteint pas.Dit-il en souriant.
Moi : Bah au moins j'aurais essayé.Dis-je en haussant les épaules.
Il me donne une petite tape derrière la tête et se remets correctement sur son siège.
Quelques minutes après nous sommes arrivés devant un beau restaurant.
[...]
Nous étions entrain de mangé tranquillement ,Emre me racontait un peu sa vie tout en evitant de me parlé d'un temps de sa vie, un passage trop douleureux pour lui d'aborder, ce passage qui lui a fait perdre sa raison de vivre, son amour, cet amour qui ne s'imaginait pas vivre sans elle , un amour trop profond.
Je vous mentirai si je vous direz que ça me fait pas mal, c'est absurde n'est-ce pas ? Comment puis-je être jalouse d'une femme qui est morte ?
Car au fond de moi, malgré le comportement d'Emre je sais qu'il fait seulement celà car c'est son devoir d'époux et non un vrai amour sincère comme je l'ai toujours souhaité.
Mais je le remercirerai jamais autant pour sa bienveillance et sa gentillesse envers moi.
Emre : Tu m'écoutes ? Dit-il en froncant les sourcils sans doute parce que une larme s'est écoulé sur le long de ma joue.
Moi : Oui oui .Dis-je en lui souriant chaleureusement.
Emre : Y'a un soucis ? T'a mal quelque part ?
Moi : Non non je te promets, tout va bien.
Emre : Si tu le dis.Dit-il peu convaincu de mes propos.
Après avoir fini de manger,Emre a payé l'addition puis nous sommes rendu dans la voiture.
J'ai toujours adoré les balades nocturnes en voiture depuis toute petite,les cheveux à l'air , l'air du soir créée en moi un sentiment nostalgique et profond.
J'ai l'impression que toutes mes soucis s'envolent .
J'ouvre la fenêtre et balance ma tête en arrière pour m'engrouffer d'air.
Je ferme instinctivement mes yeux malgré l'air froid.
Sous d'adrénaline de la vitesse,mon esprit me permettait de vivre les choses telle que je l'ai toujours voulu.
Mais ce fut qu'un court instant car nous étions arrivé à la maison malheureusement pour moi , j'aurais bien demandé à Emre de continuer cette balade nocturne mais demain il travaille.
Nous montons chez nous.
Moi : Mercii pour ce soir.Dis-je en lui faisant un bisou sur sa joue.
Emre : Oh mais de rien. Dit-il en me souriant de toutes ses dents.
[...]
Nous nous sommes couchés l'un à côté de l'autre.
Moi : Demain c'est le retour~~ Dis-je en soupirant.
Emre : Et oui...J'ai pris l'habitude de rester avec toi ma petite bagra.(vache)
Moi : Je suis pas une bagra.
Emre : Tu es la mienne.Dit-il en me tirant par la taille jusqu'à ce que je me cogne contre son torse.
Moi : Nan je suis pas une vache mais ta femme.
En disant ça , je voulais aussi lui faire comprendre que je suis sa femme à présent et je veux qu'il s'ouvre un peu plus à moi.
Emre : Bah oui.Dit-il en posant furtivement ses lèvres sur les miennes.
Je sais pas ce qui m'a prise mais je voulais tellement lui faire comprendre toutes mes souffrances enfouis en moi toutes mes peines.
Je voulais également lui transmettre mon amour qui s'éveille chaque jour grâce à lui, à un amour qui a longtemps m'avait détruit mais qu'aujourd'hui m'embellit grâce à lui , un amour dont j'ai peur , je crains
Je passe mes bras autour de son cou pour intensifié le baiser qui devenait des plus intenses.
Quand à lui , il place ses mains sur mes hanches.
Soudainement mon téléphone s'est mis à sonné plusieurs fois.
Emre grogne de frustration puis stop le baiser.
Je prends mon téléphone puis remarque le numéro de l'hôpital.
Je souppire puis prend l'appel devant l'air interrogateur d'Emre.
Moi : Allô ?
Moi : Il y a vraiment personne ?
Moi : D'accord j'arrive toute suite.
Moi :Je suis désolée mais je dois aller à l'hôpital , il y a une urgence et aucun des chirurgiens ne sont disponibles à part moi.
Emre :C'est pas grave, je vais t'accompagner.
[...]
Emre : Mais je pensais que t'est qu'une apprenti churirgienne alors pourquoi ?
Moi : Ils m'ont dit que dès que je viendrai ils vont tous m'expliquer.
Mais c'est assez bizarre, normalement il y a toujours 2 chirurgiens en cas où.
Emre : Peut-être qu'ils sont malades ou ils ont un imprévu ?
Moi : Sûrement.
Dès que je suis arrivé , je remercie Emre puis part en courant à l'hôpital car durant le trajet, le chef de service m'a rappelé pour me dire de faire vite car la femme se trouvé dans état critique et qu'il n'y avait aucun moyen de la transporté dans un autre hôpital.
Le chef de service : Ah t'est là mercii mon dieu ! Le bloc opératoire est déjà prêts ! Il manquait que toi.
Moi : J'ai fais le plus vite possible .Dis-je en mettant ma blouse.
Bon explique moi la situation le plus vite possible.
Le chef de service : Bon le bébé est dans un état critique et la maman est très faible ce qui peut lui engendré plusieurs problèmes donc la mort à coup sûre.
Moi : Tu sais ce que je suis qu'une apprenti. Dis-je en le regardant droit dans les yeux .
Lui : Je le sais très bien mais je suis sûre que tu y arriveras je compte sur toi.
Nous nous mettons directement au travail sans perdre une seule minute .
Je peux vous dire que c'est la première fois de toute ma carrière que j'ai eu tellement peur : je stressais mais je devais resté correctement précise dans mes gestes , j'avais l'impression d'être neurochirurgien.
Après avoir extrait le bébé à moitié mort que j'ai du passé directement aux sages femmes , je me suis occupé de la maman : je devais sauvé au moins une seule vie !
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Voilà pour ce chapitre !!!
Je suis désolée de ma longue absence sur ce book .
En tout cas j'espère que cette partie vous a plu ❤😘
Bonne nuit sous la protection d'Allah azawjel mes princesses.
SAKURALAN
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