Première acte
John, une femme et Sherlock

C'était un beau soir d'hivers un homme entre il parle avec une femme, ils ont l'air de se disputer

John : Agathe. Je ne pouvais pas prévoir que le frère de mon colocataire allait venir jusqu'à ta chambre pour me demander de ces nouvelles...

Agate l'interrompt

Agate : À oui et est-ce que tu as prévus ça ?

Elle le gifle, John se frotte la joue et la vois impuissant partir, il regarde en haut et vois Sherlock à la fenêtre, John pars et se dirige dans un bar.

Sherlock :John, j'aimerais que tu comprenne, pourquoi je te fais ça, mais si je te le dis tu ne voudras plus de moi, ô je t'aime cela fait si mal, je t'en pris John ne me déteste pas, ne pars pas loin de moi je ne le supporterais point, tu es mon point d'ancrage tu es ma bouée de secours dans ce monde qui ne veux que me tué, je t'en pris reste près de moi, pourquoi me fuis tu depuis l'histoire avec la femme.

Un homme entre dans le salon du 221B Sherlock ne l'entends pas rentré il continue de parler

John:Dit le moi toujours

Sherlock saute surpris

Sherlock: Je t'aimes

John embrasse Sherlock et lui chuchote

John:Oublie-moi,oublie que j'existe et je serais près de toi

Sherlock :Comment ?

John :Tu m'as compris Sherlock,je t'aime sincèrement mais elle m'a remplacées, il m'a remplacé, je ne suis plus qu'un robot le john que tu connais est parti depuis longtemps, je ne suis plus de ce monde la femme m'a tué, il m'a tué.

Sherlock est désemparé il se recule de John comme si c'était Moriarty

Sherlock :Qui ?

John :Moriarty
Loins des yeux loin du cœur

Sherlock :Non

Et comme s'il il se souvenait, changement de lumière et d'arrière-plan, faible bruit de cascades
ACTE1, SCENE2

Moriarty est entrain de serrer la nuque de Watson, il le soulève, John à les pieds dans le vide si Moriarty le lâche, il mourait emporté par la chute 

Sherlock : Ne t'approche pas de John

Moriarty : Bien

Desserrent son emprise

John : Sherlock laisse-moi part, ce combat n'est plus le tiens il ne l'a jamais été.

Sherlock : Comment ça ?

John : Je t'aime, j'espère que tu me pardonneras

Sherlock : John?!

John : Je suis là, Cour espèce de petit malin et surtout souviens toi de moi

John emporte Moriarty dans sa chute Sherlock est recroqueviller et regarde l'eau emporter son amie

Sherlock : Tu n'es pas mort, pas comme ça, tu vas revenir et on vas rentré ensemble à Baker Streets, tu cherchera un nouveau titre pour cette affaire, je te dirais à quel point tu peut être idiot au quel tu répondras que je t'ai quand même épousé pour ça, et inversement, je bouderais, tu m'embrassera, je te demanderai si tu m'aimes , tu me serrera dans tes bras et me soufflera dans l'oreille que jamais tu ne me quittera sauf si je te le demande et se sera mon tour de te serré on passera la nuit à se parler. Tu me rassuras encore et encore on passera le reste de notre jour à s'aimer

Mycroft : Petit frère, il est mort, il ne reviendra pas

Sherlock : Si

Sherlock créa un robot qui ressemblait tellement à John, et effaça de sa mémoire la mort du vrai, mais jamais le robot n'oublia qu'il n'était qu'un corps qui ne se décomposera pas

Acte2, scene1

John, Sherlock

John : Je t'en veux, tu m'as privé du droit de mourir, mais je ne peux pas te détesté car je sais que moi aussi je l'aurais fait, je ne suis qu'un robot mais je sens que mon corps fait de chair est arrivé à son terme, je m'éloigne de toi, les femmes que je ramène me servent juste à t'éloigné de moi, tu as effacé le fait qu'avant nous étions marié, comme moi j'ai arrêté de ressentir, j'aimerais m'éteindre et c'est pour ça que je vais te dire une dernière fois « Je t'aime » avant de m'autodétruire.

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Acte2, scene2

Sherlock et John

John : Qui as inventé se démon de fer ... Pourquoi on n'est pas allé à la nage

Sherlock : Allons tu n'y pense pas il y a des requins et autre bête peux sympathique pour aller de l'Angleterre au Canada

John : Je m'enfiche...

Sherlock : Comment vous avez supporté la traverse de l'Afghanistan si vous avez le mal de mer et le mal de l'air

John : On m'a endormi

Sherlock : On vous a endormis ?

John : Oui et les bougres on faillis me tuer ils ont mis une dose trop élever

Sherlock : Je comprends maintenant pourquoi vous détesté les somnifères

John : Arrêtez de rire