La nuit tombe sur l'homme qui fut autrefois, le plus beaux, et le plus fort de son régiment, l'homme qui fut celui qui sauva la vie de millier de gens, non pour aider mais pour mourir, du moins le pensait-il,

Dans une salle si pure, si blanche, si silencieuse ou seul un bip resonne, si morte, se tient allongé dans un lit une forme, une forme endormie pour combien de temps, une porte s'ouvre, à l'encadrement de celle si se trouve, ce que l'homme allongé pense être un ange, un ange avec des ailes si noir, ou du moins ce qu'il pensait l'être car il s'avérait être les bouts du trench- Coat de l'individu

Il attendait qu'il se réveil, il voudrait lui en vouloir d'être partit à la guerre, mais il n'y arrive pas, après tout cela est de sa faute, s'il n'avait pas été mort encore une fois, son amour ne serai pas là, il s'assit à côté de lui, son homme ne se rappel plus de lui mais ce n'est pas grave, car il sait qu'il l'aime, son amant est si beau, il à cette affreuse mine triste,

L'ange s'assit à côté de moi j'ai l'impression de le connaitre, je suis profondément triste car je vois que cet ange sait que je ne me rappel plus de lui, j'ai l'impression de l'avoir attendu depuis énormément de temps, je cherche soudain je me rappel d'une phrase

Je vois dans ses yeux une lueur de compréhension comme s'il avait compris qui j'étais, il murmure un mot

Je me rappelle l'avoir aimé, l'avoir attendu, l'avoir vue mourir deux fois, l'avoir pleuré, l'avoir haï, mettre fais mal partout ou il m'avait fait mal, je revois le sang coulé le long de mon cou, le long de ma main, le long de mes yeux mélange à mes larmes, à mes cris aussi tranchant qu'une lame affuter dans se silence aussi dévastateur qu'un ouragan, je sens alors une sensation dans mon cœur comme s'il rebattait comme si j'étais de nouveaux vivant.

« Je t'aime Sherlock »

Je vois John refermer les yeux, le silence m'assaillit je n'entends plus rien toutes t'est silencieux, mon regard reste fixe, ma bouche devient pâteuse, j'ai un gout amère dans la bouche, j'ai la gorge coincé je n'arrive plus à respirer , je sens de l'eau salé coulé le long de mes joux, je vois des gens mettre un drap sur ma vie , j'ai arrêté de respirer j'ai arrêté de vivre , je vois le mal que j'ai fait à tout mes proches, à ma sœur, à Mycroft, à Lestrade, à Moly, à madame Hudson, à mes parents, à moi, mais surtout à John.
Oui surtout à toi, je suis désolé