Izuku Vilain x Reader ⌁Lemon⌁
En ce jour banale tu te promenais dans les rues du centre commerciale. Enfin...Banale, était un bien gros mots. Tomura Shigaraki déambulais dans cette endroit public, une capuche sur la tête.
A ce moment là tu ne t'étais pas rendu compte de sa présence, tu discutais tranquillement avec Izuku Midoriya ton ami de toujours. Vous étiez censé acheter des chaussures pour le camp d'été qui aurait lieu prochainement avec la classe.
Pour être honnête...Toi tu n'avais pas vraiment besoin de faire de quelconques achats, juste accompagner ce jolie petit bout de chou où le brocoli sauvage pour les intimes te satisfaisait énormément.
Ouais bon en gros tu craquais complètement sur lui.
« - (T/P) Tu m'écoute ? Te demanda le vert souriant.
Alors euh...Comment te dire que pas vraiment...
- Oui oui...Te pressa tu de répondre »
Tu lui souris gentiment, et hypocritement.
« - C'est juste que j'ai un truc à acheter...Enfin tu vois quoi ! Je vais y aller attends moi là je reviens !! (Truc féminin)
Il rit doucement .
Purée quel magnifique sourire.
- Tres bien ! Je t'attends ici, reviens vite ! Fit il tout simplement.»
Pourtant lorsque tu étais revenue et bien, il avait disparu. Il ne t'avait pas attendue. Tu vis tout de même une chevelure verte quitter le centre commercial accompagné d'un homme avec une capuche.
Tu avais voulu le rattraper, mais pensant qu'il était accompagné d'un de ses proches tu ne voulus le déranger. Et Aujourd'hui tu le regrettais amèrement.
Car il n'était jamais revenue.
Tu appris plus tard, qu'en faite ce n'était pas ce que tu croyais. C'était le chef de l'alliance des super vilain qui l'accompagnait ce jour-là. Il a été influencé. A subit un lavage de cerveau. Et est devenue l'un des criminel les plus recherchés de la ville. (woaaaaw)
Peut-être que si tu l'aurais rattrapé pour en savoir plus.
L'avenir aurait changé...
Trois ans furent passés, ton diplôme te fut remis (seul diplôme que t'auras chakal), tu exécutais désormais le metier d'héroïne, certes avec une motivation différente de tes autres camarades, qui pour la plupart voulaient rétablir la paix dans ce bas monde.
Non, toi tu voulais a tout pris retrouver CE PUTAIN DE BROCOLIS SAUVAGE POUR LUI FOUTRE UNE DE SES TARTES COMME JAMAIS IL N'EST CONNU.
Bref, calmons nous et passons à autre chose.
Dans un quartier de la ville, le nombre de meurtres avait soudainement monté en pic, tu avais été donc par pur hasard ( Faut bien qu'tu l'ken un moment ) désigné pour patrouiller dans ce quartier. Ce qu'évidemment tu ne refusas pas (mais surtout car c'est la hess et you need money).
Tu te baladais donc innocemment dans ce quartier devenu "mal famé" à cause des meurtres qui se répéter, patrouillant tranquillement toute la matinée jusqu'à l'heure du midi.
Midi = Bouffe.
Tout le monde le sais, où alors c'est que tu vis dans une grotte..
Ton ventre se mit a te signalé que putain, tu avais faim.
Tu regarda au alentours cherchant un quelconque restaurant mais hélas tout est fermé. Que le hasard fait bien les choses (ou l'auteur mais bon, on est pas censé le savoir).
Tu commençais a t'apitoyer sur ton sort, te disant que tu allais sûrement finir par mourir de faim. Mais Dieu, entendit ton message, et un Lidl apparut juste en face de toi.
Alléluia !
Non j'deconne, tu as juste traverser la rue comme toute personne normale.
Tu entras donc dans ce fameux magasin, te dirigeant vers le rayon où se trouvait les nouilles.
Tu t'arrêtais soudainement dans ton chemin.
Pourquoi ?
Devine ?
En faite je tiens à te rappeler que c'est la hess.
T'ES PAUVRE, T'AS PAS D'ARGENT !
T'ENTENDS ÇA JACQUELINE !!?
Oui, y'a que la vérité qui blesse, mon petit pachyderme.
Bref, passons outre ce fait.
Il faut que tu agisse .
Vite.
Et le seul moyen que tu as trouvé pour te sortir de cette merde était de...
Devine. (Oui j'aime les devinettes)
Non on ne vas pas raquetter la personne en face de toi.
Surtout parce que son corps équivaut au dimension d'un frigo, et que toi, t'as masse musculaire equivaut à un mister freeze.
Tu vas juste récolter toute les pièces d'un centimes que tu trouveras par terre.
Bah oui tu crois quoi.
C'est pas avec ton corps de mollusque que tu vas frapper quelqu'un.
Boloss va. (ducoup vous avez pas d'charisme face aux villains ptdr)
Tu te promenais donc dans les rayons du magasin jusqu'à voir un gars avec une capuche, marcher juste devant toi.
Les gens qui mettent des capuches on le sait tous ils sont dangereux.
Ou il ne sont juste pas aller chez le coiffeur mais bon...
D'un coup, une brise venant de je ne sais où enleva la capuche de la personne mal coiffée et la...
Et la...
Cheveux vert.
Mais pas un vert pomme ou le vert tout moche sur le pull que mamie t'as fait pour Noël mais le vert que TOUT le monde cherche depuis longtemps.
Oui Michel t'as compris.
You know what I mean~
Attend attend attend attend attend attend attend attend attend.
Comment vas-tu l'aborder ?
Oh mon dieux, une idée de "génie" vient de naître dans ton esprit.(génie de quoi même ?)
Tu t'approcha de lui tel une Totaly Spies
et passa ton bras autour de son cou avant de lui murmurer des mots creepy à l'oreille tel un fétichiste des mains que je ne nommerais pas.( my husbando with hands)
Mais lui, il a des réflexes de vilains, et surtout un cerveau car on laisse pas n'importe qui nous toucher.
Le consentement est important ne l'oubliez pas les enfants.
Je disais donc que lui, il a des réflexes que toi tu n'as pas (car les (t/p) sont toujours des miskines). C'est donc 2 secondes plus tard que tu te retrouve avec un poignard sous la gorge.Il te plaqua contre un mur, tu croisa son regard sur lequel une lueur pétillait.
Non de dieu, il c'est passé quoi pour qu'il devienne ainsi ?
Il te devisagea un instant semblant te reconnaître, il raffermit sa prise sur toi. Tu haussais un sourcil :
« - Et beh, pas content de me voir ?
Il détourna le regard et ne répondit rien.
– T'as drôlement glow up ma parole, tu me dépasse en taille maintenant. Ah et tu devrais penser a bloquer mes genoux et pas que mes mains, parce que ça m'empêchera pas de t'en foutre une mon chou.
– Je ne t'ai pas autorisé à m'adresser la parole. »
Aoutch.
On entendit un "Yes Daddy" dans le fond.
« - Je sais que tu ne me tueras pas. Ça se voit à ton regard, pi' tu m'aime trop, allez lâche moi maintenant. » Soupirai-je
Il sourit et caressa ta joue.
Là vous vous dîtes "Ohh c'est mignon, on a réussi a l'amadouer"
Il te touche indirectement, c'est son couteau qu'il utilise. Et il a un sourire creepy qui fait froid dans le dos.
Ouais là on est moins content.
« - Qui dit qu'avec un visage couvert de sang, tu ne serais pas plus jolie ? Demanda t'il haussant un sourcil.
Tu n'étais plus aussi sereine tout d'un coup.
- Je veux juste causer avec toi... »
Il te dévisagea un instant avant de te lâcher rangeant sa lame.
« - Bien. Discutons. Je te tuerais plus tard. »
Tu te dirigea donc vers la sortie mais il te maintenue.
« - Pas par là. Suis moi »
Tu le regardas hésitante, il ne rajouta rien et ouvrit une porte avant de pénétrer à l'intérieur, tu le suivis parce que l'amour rend fou bordel (mais con surtout). Il descendit des marches d'escalier et enclencha un interrupteur.
« - On est où là ?
- Dans la reserve. J'ai détruit les caméras juste avant, personne n'est au courant de notre présence ici. »
Il se laissa tomber sur des cartons retirant sa veste, il rajouta par la suite :
« - Si tu cris je te tue. Si tu appelles de l'aide je te tue. Et si tu tentes de m'attacher et bah...je te tue ? De toute façon je doutes que tu sois capable de me balancer aux autorités, c'est évident. Puis on est amis après tout ?
Tu haussais les sourcils balbutiant des choses incompréhensibles, alors que tu rougissais légèrement. Il eut un sourire très intimident.
- Ne cherche pas à me contredire au début la torture mentale c'était moi qui m'en occupais, sûrement parce que les autres ne sont pas très patient. Bref passons outre ce fait, parlons. »
Tu le regardais un instant avant de t'assoir soupirant.
« - J'me demande encore pourquoi tu as fais tout ça, du jour au lendemain tu es parti et tu m'as rien dit. Tu m'as blessé énormément et j'avais même pas eu le temps de te dire ce que j'avais sur le coeur ! Parc-...
Il me coupa de suite.
- Mow...Comme c'est sentimentale. Fit il un petit sourire au lèvres amusé. »
Tu serrais les poings, devant tant de -je m'en foutisme- de sa part et dis :
« - Je t'aime, connard. »
Son sourire disparut de suite et il te regarda d'un regard perçant. Toi tu le regardais très sérieusement et malgré qu'il soit intimidant tu continua à le regarder dans les yeux. Il finit par détourner le regard serrant les poings.
Tu te levas par la suite te dirigeant vers la sortie
« - Cependant l'amour, je doute que tu te souviennes de ce que c'est. »
Tu l'entendis claquer sa langue contre son palais avant qu'il n'apparaisse en face de toi. Tu détournais le regard mais il saisit ton menton te forçant à le regarder.
« - Avant j'aurais sûrement approuver cela. Maintenant c'est impossible et tu le sais. Un mur nous sépare, ( T/N). Nous ne sommes pas du même côté. Il rapprochait son visage du tiens et tu soutenue son regard avant de répondre :
- Un mur n'est jamais incassable. »
Il haussa un petit sourcil et se rapprocha un peu plus de toi avant de poser ses lèvres contre les tiennes entamant un baiser qu'il menait bien évidemment. Tu répondais au baiser passionnément tout en enlaçant sa nuque alors que soudainement il passa ses mains sous tes cuisses te soulevant avant de te plaquer contre un mur sans rompre ce baiser.
( Si t'as pas compris lemon mgl)
(C'est pas comme si c'était dans le titre bouffonne)
Tu entremêla tes doigts à ses cheveux alors que le baiser se fit plus intense, tu le désirais et il te désirait (Surtout pour simplifier les choses) et vous vous êtes mutuellement compris sur ce fait.
L'envie et le désir étaient à leurs apogées .
Tu rompit le baiser pour reprendre tout souffle les joues rosit alors qu'il te regardait d'un regard qui ferait tomber n'importe qui à ses pieds. Tu laissas tes mains glisser sur son torse qui depuis le temps avait pris du muscle. Il colla ton dos contre le mur derrière toi et plongea sa tête dans ton cou te mordillant la peau arrivant à te soutirer quelque gémissement. Tu saisis sa chemise et commença à déboutonner les boutons de celui-ci assez rapidement. Il finit par un peu se redresser et attrapa la fermeture de ta robe, te la retirant. Tu l'aidais a la tâche et te trouvais maintenant en sous-vêtements face à lui qui se mordait la lèvre inférieure. Tu le devetis complètement de sa chemise et put te rincer l'oeil sur son torse magnifiquement musclé. Il entreprit la tache de caresser chaque parcelle de ta peau alors que tu traçais un sillon sur ses abdominaux.
Il revint alors prendre possession de tes lèvres. Tu commençais à rouler ton bassin contre le sien lui soutirant un grognement alors que tu pouvais sentir son erection qui commençait à prendre forme. Il t'arracha littéralement ta culotte sans te quitter du regard alors que tu gémit surprise. Il se dévêtit de son pantalon se sentant probablement à l'étroit avant de frotter sa bosse a ton intimité, par la suite il abaissa son boxer laissant son membre assez imposant se dresser. Tu te mordis la lèvre enfouant ta tête dans son cou.
« - Sache que je t'ai toujours aimé, moi. Te souffla t'il à l'oreille. »
Il te pénétra par la suite, alors que tu soupiras de plaisir, les joues en feu par ce qu'il venait de dire. Il commença alors à onduler son corps contre le tiens. Des vagues d'excitation ne cessaient de vous chauffer tout les deux. Il bougeait de plus en plus rapidement alors qu'il laissait échapper quelques sons érotique. Il plaquait durement ses lèvres contre les tiennes pour essayer de faire taire tes gémissement un peu trop bruyant. Tes ongles se plantèrent sur ses épaules. Tu tremblais et ses va et viens se firent de plus en plus violent, te procurant une sensation de bien être intense.
Une sensation de chaleur emplit ton corps tout entier, tu étais au bords de l'orgasme alors que tes gémissement se transformèrent en cris de plaisir, des gouttes de sueur commençait à perler sur le torse du vert qui n'arrêtait pas ses mouvements.
Et ce fut a cette instant que vous atteignirent l'orgasme en hurlant le prénom de chacun.
Il se retira de toi et se rhabilla te laissant faire de même.
- J'ai faim.
Silence.
D'un coup Izuku éclata de rire.
- Très glamour.
- Ouais je sais mais écoute baiser ça creuse mon chou.
- C'est bon j'ai compris, y'a un macdo pas loin.
Voilà pourquoi c'est le best.
Et c'est ainsi que main dans la main et lui avec sa capuche creepy que vous vous dirigez vers le macdo.
Peut-être qu'un jour je laisserais un Os avec une fin niaise et romantique.
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