Dalila x Zoro part2 ⌁Lemon⌁
Nda : J'ai perdu un paris.
For Dalila_otaku
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Dalila, face à sa garde de robe, était en train de péter une durite. Elle n'avait absolument rien à se mettre, rien. Enfin ça c'est ce qu'elle voyait, parce qu'a première vue son dressing était blindé, seulement rien ne la faisait tilter.
C'était une soirée assez importante, et elle ne se permettrait pas de se montrer vêtu d'un débardeur et un jogging. Elle soupirait limite épuisé. Si seulement elle était un homme...Il lui aurait suffit de mettre un petit costard, rien de plus. Mais hélas, son patron n'était pas gay, car oui c'était pour lui qu'elle se démenait ainsi, pour satisfaire cet homme qui la satisfaisait dans tout les domaines. Dont le sexe.
Malgré tout attente, après leur ébats charnel au bureau, il n'eut dès lors plus de contact aussi ambiguë entre les deux, sous la tristesse de Dalila. Elle ne savait pas ce qu'il pensait. Roronoa était quelqu'un de très difficile à cerner. Cependant il ne semblait pas regretter, ses regards taquins, provoquant qu'il s'amusait à lancer à la petite brunette ou même des sous entendus...
Et si il le regrettait ? Pourquoi aurait t'il demandé à ce que la brune l'accompagne à cette réception très bénéfique pour l'avenir de l'entreprise ?
Allez savoir...
Bon revenons en à nos moutons. La robe. Elle était si dépourvue...Et que se passe t'il quand on est dépourvu ? La déesse Noldy vient à votre rescousse.
Une nymphe (autrement dit moua) descendit de son jolie royaume, et offrait alors une robe si parfaite à Dalila qu'elle en restait bouche-bée. Compréhensif.
La brunette enfilait donc ce jolie vêtement descendu des cieux. Ça lui allait à ravir.
C'est que Noldy a de très bon gout.
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Un homme l'attendait face à la porte qui menait aux festivités, cet homme qui d'un regard la faisait perdre pied, cet homme qui lui avait fait découvrir le septième ciel, cet homme avec qui elle bossait depuis plus de trois ans, cet homme qui faisait battre son cœur comme jamais. Bref lui. Dès lors ou le verdoyant vit Dalila, il ne put s'empêcher de sourire :
« - Ravissante . S'en suivit d'un sourire charmeur. »
« »- Je ne peux que vous retourner le compliment. Patron.»
Le vert grognait légèrement penchant la tete sur le côté.
« - Plus de formalité entre nous.»
« - Hmm...Mais...»
Elle enlaçait son bras, la proximité de leurs deux corps chaud se rencontrant.
« - Appelle moi par mon nom, c'est tout ce que je demande.»
« - C'est une habitude.»
« - Hmm, Habitude ou pas...Tu l'as bien crié lors de notre tete à tete. Il sourit amusé.»
La brune rougissait, il tapait dans le mille.
« - Serait-ce trop vous demander de ne pas faire ce genre d'allusion en publique ? Avait t'elle demandé, d'une petite voix. »
Le Roronoa laissait échapper un rire sonore, ça l'amusait, elle l'amusait. Sans commenter, il entrait alors dans la pièce ou avait lieu la réception, la jeune femme agrippé à son bras.
Cette soirée s'annonçait mouvementée.
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Au milieu des sonorités, de la nourriture, des personnes importantes, était assise sur une chaise notre très cher Dalila. Prise d'un léger tournis du à la boisson divine qu'elle avait consommé et son mal de cheville du au talon qu'elle portait, elle avait préféré prendre une petite pose, après être resté deux heure debout, engendrant un petit mal de dos au passage, ça pouvait se comprendre.
« - Vous ne vous sentez pas bien ?»
Un rapide regard lancé vers le vert, elle secouait la tete.
« - Je n'ai jamais aimé les talons. Avouait t'elle un léger sourire au lèvres. »
Sa main ferme venait saisir son avant bras, la faisant se lever.
« - Rentrons dans ce cas.»
« - Non mai- Elle se fit couper. »
« - Rentrons. Ordonnait t'il d'une vois plus sévère. »
La brune soupirait alors, suivant cet homme sans broncher vers l'extérieur. Seul la lune éclairait les rues de la ville.
Le verdoyant sans lâcher Dalila, la tirait vers sa voiture, la brune comprenant le lien s'empressait de dire :
« - Ne vous sentez pas obligé...»
« - Je trouve que vous parlez beaucoup.»
Elle s'installait alors dans le côté passager sans un mots de plus. Les joues rouges. Ses souvenirs de son seul tête à tête avec son patron n'était pas un souvenir dès plus sain.
Elle secouait la tête pour effacer ses idées obscènes mais elles revinrent rapidement à la charge quand celui qui hantait ses pensées posait sa main sur sa cuisse. Et cela sans un mot.
Dalila, était troublée. Plus aucun geste ambiguë de sa part, seulement sa main posée sur sa cuisse. C'est lorsqu'elle vit que le monsieur ne se diriger pas vers chez elle, qu'elle comprit que la soirée n'allait pas se terminer comme elle pensait mais plutôt comme elle le voulait.
Ses doutes se confirmèrent quand son supérieur s'arrêtait face à une maison assez luxueuse.
Ce n'était que pas chez elle effectivement.
Le vert sortait de la voiture et invitait la brune à faire de même. Celui-ci ne prit pas la peine de l'attendre, ouvrant déjà la porte de sa demeure, il n'était pas dupe et connaissait les pensées de son employée vis-à-vis de lui.
Il savait qu'elle n'éprouvait pas qu'un simple désir charnel. Que ce n'était pas qu'un simple fantasme. Il lisait pratiquement en elle comme dans un livre ouvert.
Un don sûrement, ou peut-être son instinct de mâle alpha, allez savoir.
Dalila regardait l'intérieur. C'était grand, beau et spacieux. Ça ne l'étonnait pas vraiment.
« - Asseyez vous. »
La brune retirait ses talons avec joie. Venant s'installer sur le canapé, lâchant un long soupir de confort.
Soudainement, le grand vert venait s'agenouiller face a la brune, sans qu'elle ne comprit quelque choses. Des rougeurs apparurent sur ses joues.
« - Q-Que faites vous ?»
« - Tes chevilles sont dans un piteux état.»
D'une main délicate, il saisissait une de ses chevilles, caressant la partie endolorie. D'une main qui semblait experte, il commençait à tracer des cercles avec son pouce. C'était agréable.
« - Vous devriez vous reconvertir en tant que masseur...»
Le Roronoa eut un petit sourire, déposant un chaste baiser sur le genoux de la brunette.
« - Ah oui ?»
Sa main remontait alors se faisant plus baladeuse. Glissant entre ses cuisses sans qu'elle ne dise un mot, beaucoup trop absorbé par ses actes.
Soudainement il s'arrêtait, dès lors ou sa main venait se glisser sous sa robe, il se redressait. Dalila ne le quittait pas du regard.
« - Détends toi. Avait t'il soufflé.»
De sa main, il la poussait à s'allonger sur le ventre.
Il glissait ses mains sur le dos de la brune, venant abaisser sa fermeture. La déshabillant.
« - Je-...»
Il soufflais un "chut" à son oreille, un sourire taquin accroché au lèvres. Elle frissonnait sans un mot de plus, sentant son corps chauffer à chaque caresse qu'il exerçait sur celui-ci.
Il la massait, caressant la dentelle de ses sous-vêtements, titillant ses zones érogène, se mordillant la lèvre. Sa main allait vers sa chute de reins. Sans pouvoir se retenir plus longtemps, il vint embrasser la jeune femme, dans un baiser passionné sur lequel elle se pressa de répondre.
Zoro passait une main autour de ses hanches et la retournait sur le dos, pressant son corps contre le sien rompant leur baiser.
Dalila ne restait pas immobile, venant déboutonner la chemise de son supérieur de manière hâtive. Elle traçait plusieurs lignées sur ses abdominaux si bien taillée pendant que son partenaire couvrait sa poitrine de baiser brûlent.
Il redressait sa tête venant embrasser le coin de ses lèvres, pour redescendre parsemé ses baisers sur toute son anatomie. Il prit alors la parole.
« - Je ne veux pas ébranler tes sentiments mais...»
Des bruits de tissus sans suivirent, le métal de sa ceinture tintait. Il vint se glisser entre ses jambes, poursuivant alors :
« - Je crois bien...que je ressens plus qu'une attirance sexuelle envers toi. »
La brune rougit, surprise par ses mots.
«- Vous voulez dire qu-...»
Un cri de surprise la coupait dans ses mots, en une grande poussée, il venait de la pénétrer durement. Venant par la suite susurrer à son oreille :
«- Tu as très bien compris, maintenant trêve de bavardage, et apprécie... »
Il entamait directement une série de va et viens, rapide. Lui laissant à peine le temps de se remettre de cet envahissement de luxure. Il n'avait pas changé toujours un si bon coup. Ses va et viens se firent plus instant, lui sortant totalement de la tete ces précédemment mots. Elle gémissait sous lui, complètement obnubilé par son amant.
Soudainement il s'arrêtait, soutirant un grognement de la part de la brune. Il la saisissait pour la retourner à quatre pattes, venant s'insérer en elle avec plus de profondeur. La sensation était meilleure, le plaisir que monsieur lui procurait était inimaginable. Gémissant à pleine voix :
« - Z-zoro...~ ! »
Celui-ci souriait en coin, accélérant la cadence sous ses soupirs de plaisir, la savourant tout simplement de l'intérieur. Malheureusement les instants de pur bonheur ne durent pas éternellement. La jeune femme atteignit alors le septième ciel, et tout ça en concordance avec son partenaire qui ne tenu pas plus longtemps.
Il se retirait, venant porter la demoiselle exténuée, pour aller la déposer sur la surface délicate qui n'était d'autre que son lit.
La brunette se tournait vers lui, le regardant pour venir l'embrasser avec chasteté.
« - C'est réciproque, vous savez...»
Le vert esquissait un leger sourire en coin.
« - Je l'ai toujours su. Dalila. »
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