CHAPITRE DOUZE ~Nori~

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Les semaines suivantes furent un peu plus compliquées à affronter. Eijiro était reparti terminer son dernier stage et en était même revenu, mais nous ne pouvions pas nous voir pour autant, étant toujours conciliés à domicile. Cependant je conservais toujours mon téléphone, bien que je remarquai que ma mère furetait toujours pour tenter de me le prendre ! Je passais donc mon temps à le surveiller, m'assurant de l'avoir toujours avec moi et c'était stressant !

Je n'étais pas habituée à tant d'hostilité ! Avec elle, ça avait toujours été génial! Elle était la mère dont beaucoup rêveraient. À bien des égards, elle avait l'esprit ouvert, et m'écoutait dans mes petits déboires. Depuis petite, je n'avais jamais eu le sentiment de l'embêter ! Elle m'avait d'ailleurs dit un jour qu'elle mettait un point d'honneur à entendre mes petites bêtises, car à mes yeux d'enfants c'était lourd de sens. J'avais toujours pu compter sur elle. Nous voir alors si distantes et froides m'était très difficile à vivre et j'étais constamment tendue.

Ma grand-mère n'avait pu que remarquer les tensions. Évidemment ! Fort heureusement, son lourd traitement l'empêchait clairement de faire la part des choses. Aussi, sans doute un peu désorientée, elle tentait juste de nous rabibocher sans chercher le fond. C'était bien mieux comme cela, même si cela me faisait du mal de penser de la sorte. J'aimais ma grand-mère et j'avais l'impression de lui manquer de respect.

Pourtant c'était sur cette ligne de front que se présentait mon quotidien à la maison ! Heureusement, j'avais tout de même des alliés...

Mon père n'avait absolument pas à rougir du soutien dont il m'abreuvait ! De son sourire en coin rassurant il semblait m'aider à supporter l'ambiance glaciale. Je sais qu'il s'était plusieurs fois fritté avec ma mère à mon sujet, s'imposant durement contre elle. Mais rien n'y faisait, ma mère se murait dans le silence, réfléchissant continuellement. Mais ses yeux finissaient toujours par se perdre dans l'un des cadres photos de son frère et c'en était finis. Cependant, il avait été clair avec moi aussi. Son avis, ma mère le connaissait, à grand renfort de poumons sans doute. Mais il la soutenait, devenant ainsi un étrange pilier qui change de couleur. Mais ça ne me dérangeait pas. Je n'en voulais même pas à ma mère. Si je devais être honnête, elle me manquait surtout. Je savais de base dans quoi je m'embarquais en choisissant d'apporter de l'importance à cette histoire d'amour, alors j'assumais. De toute façon, je l'aimais bien trop ! Et avec cette nouvelle, les choses ne pouvaient dignement pas avoir un autre son de cloche.

De son côté il avait annoncé la nouvelle à tout le monde ou presque, sa famille et son meilleur ami ! Je n'étais pas très étonnée, il n'était pas de ceux qui pouvaient réellement vivre avec un secret et il avait bien dit que de toute façon, selon lui, il n'y avait rien à cacher. Ses parents étaient mitigés et je savais qu'ils lui avaient fait la leçon, le barbant de discours sur la responsabilité. Mais passé cette étape, sa famille se montrait un peu plus...

Enthousiaste ! J'étais donc rassurée, ce n'était pas blanc, mais certainement pas noir ! Ils avaient tous assuré leurs soutiens pour quoique ce soit et c'était un soulagement certain !

Et de toute façon, à présent je devais m'endurcir.

J'allais être mère !

Cette idée s'était peu à peu installée au creux de mon estomac, me faisant presque mal. C'était ensuite remonté très lentement vers ma tête, me serinant que je me devais d'être plus forte que ça et sans attendre ! Mais maintenant, avec une jolie touche d'émotion, c'était redescendu vers mon coeur, balayant un tas de choses que je pensais pourtant avoir compris jusqu'ici.

Un tout petit être que j'aurais construit moi-même. Je serais à ses yeux, tout ce que ma mère a longtemps représenté aux miens. Et si aujourd'hui, je pouvais largement accepter les côtés pointus de ma maman, je ne pouvais pas oublier ce qu'elle avait fait de moi ! Elle m'aimait et avait donné, se battant comme une lionne en pleine cagne pour ramener de quoi abriter et protéger son petit. Aujourd'hui c'était cette certitude qui m'aidait à lui pardonner, l'accepter même si finalement, nous ne trouverons jamais de compromis. Mais c'était aussi elle qui me montrait ce que je devrais être pour mon propre enfant.

Pour cet enfant, je serais donc la lionne !

Pour lui offrir le futur qu'il devrait avoir, je me lançais alors à corps perdu dans les études, changeant radicalement mes habitudes. Le bac arrivait à grands pas et je devais sans doute donner l'impression d'avoir attendu la dernière ligne droite pour carburer, mais c'était bien plus que ça. Je ne lâcherais rien, pour lui, pour moi et pour nous. Alors je n'abandonnai rien, basant sur tout pendant que je le pouvais encore. Je ne savais pas si je pourrais réellement suivre mes études, mais je pensais sincèrement au moins essayer. Même si je ratai certains cours, je restais passionnée par le sujet, et sans doute que cela m'aiderait à réaliser ce rêve ! Je m'y attelais en tout cas...

Peut-être trop fort sans doute...

Ce que je n'avais pas remarqué c'est que tout avait radicalement changé autour de moi. Pour moi l'annonce de bébé avait complètement changé les couleurs dans lesquelles je vivais jusqu'ici. Que ce soit à l'école, à la maison ou avec Eijiro. Bien que le seul qui semblait me comprendre, c'était lui !

Pour commencer, il ne semblait absolument pas oppressé par la situation ou son urgence. Il voyait les choses, de son regard viril, d'une façon presque simplette. Il savait ce qu'il devait faire alors il le faisait. Il s'occupait de trouver un appartement et s'était même renseigné sur la crèche de son agence. Au cas où, avait-il précisé. Il posait des questions, souvent sans queue ni tête, mais qui semblait avoir un sens pour lui. Mais ce n'était pas grave, car il agissait, me promettant que tout serait prêt pour la fin du lycée avec un petit clin d'oeil pixelisé plein de mystère.

Je lui faisais donc confiance !

Mais de mon côté, mes amitiés déjà très bancales s'étaient presque effondrées. Excepté Myano qui n'était pas au courant, mais qui pourtant semblait avoir compris qu'il se passait quelque chose, ou du moins remettait ma nouvelle lubie pour les études sur le compte de la relation à présent musclée que j'avais avec ma mère. Je ne savais pas. Cependant, alors que j'avais réussi à me faire un presque groupe d'amis, bien que masculin, tout s'était de nouveau craquelé ! Peu naturellement les garçons m'adressaient la parole où peut-être était-ce moi qui avais changé, impossible de le savoir. Tenruki le premier me le faisait comprendre, me lançant des pics un peu plus acerbes alors que je ne décrochais pas les yeux de mes cahiers ainsi que des vieux cours que le directeur de musée m'avait gentiment prêtés. Et si Tenruki faisait grise mine, les autres suivaient sans trop se poser de questions...

Le dernier rempart était donc ce bon vieux Myano qui tentait une nouvelle fois d'arrondir les angles. Ce n'était pas forcément une réussite, mais j'appris à mes dépens que mon seul ami de lycée pouvait faire preuve de culot si c'était nécessaire. C'était donc très surpris que j'ouvris la porte sur lui, un mardi soir. On s'était vu en cours et il avait mon numéro... Bref sa présence ici ne s'expliquait pas !

- Myano-kun ? Tout va bien ? m'inquiétais-je d'abord.

- Tout va bien Nori-chan, ne t'inquiète pas ! Je suis venu parler avec tes parents !

Je savais que le regard que je lui lançais la était étrange, plein de questions, pas forcément agréable en plus.

- Qu'est-ce que tu veux dire par là ?

Suite à ma question, le jeune homme me sembla bien peu à l'aise, ses yeux fuyant largement les miens alors qu'il semblait chercher quelque chose à me répondre. Mais il fut cependant sauvé par ma mère... J'avais certainement mis trop de temps à revenir, aussi peut-être avait-elle eu peur qu'il s'agisse de quelqu'un qu'elle ne voulait clairement pas voir. Elle arriva alors derrière moi, toisant un instant Myano avant de se détendre en remarquant l'uniforme de lycée, pareil que le mien.

- Oh bonjour ! Je m'appelle Murata Myano, je suis un ami de lycée de Nori-chan, je suis venu pour parler avec vous ! Annonça mon ami bien plus sur de lui à présent.

Il courba largement le dos, implantant dans l'esprit de ma mère "un jeune homme charmant". C'était presque dans la poche !

- Bien sûr ! Entre donc Myano-kun, Nori m'a déjà parlé de toi ! dit-elle avec un sourire doux que je n'avais pas revu récemment.

Je soupirais, toujours inquiète des raisons de sa présence. J'avais beau tenter de réfléchir à tout, je ne comprenais pas ce qu'il pouvait vouloir à ma mère.

Il suivit ma mère, souriant d'un air bienheureux et s'installa dans le fauteuil de mon père alors que ma mère allait chercher de quoi servir un thé. J'en profitais pour lui lancer un regard interrogateur, mais il éluda doucement mes yeux. Les lèvres pincées, il regardait un peu partout sans oser faire de commentaire, semblant se retenir de regarder d'un peu plus prés les nombreux portraits de moi a tous âges. Je poussais donc un large soupir exaspéré, peu encline à subir de nouvelles surprises. Mais de toute façon ma mère revint bien vite et je me murais donc dans mon silence.

- Alors Myano-kun, en quoi puis-je t'aider ?

Il y avait à présent une certaine tension qui planait dans la pièce. Je ne savais pas trop si ma mère se méfiait de ce que mon ami avait à dire ou autre et en vérité, moi aussi ! Mais mon camarade se lança dans un discours presque pompeux et très bien travaillé, sur la réunion des anciens élèves de collège qui avait lieu justement le vendredi qui arrivait. C'était bien une sortie à laquelle je n'avais aucune envie d'aller, bien qu'effectivement Murata avait fait la moue quand je lui avais fait part de mon absence. Et il avait alors le toupet de m'inviter à l'accompagner à la fête, estimant que j'avais besoin de faire une toute petite pause.

Comme s'il devinait le fond du problème, il répondait directement aux craintes de ma mère, précisant alors qu'il s'assurerait personnellement de venir me chercher et me ramener.

Vraiment, je pensais que ma mère refuserait, pourtant elle accepta, presque gourmande que je sorte avec "quelqu'un d'autre". Moi je ne savais pas si j'étais en colère contre lui ou elle, mais dans tous les cas je n'avais aucune envie ni intention de m'y rendre. Mais je comprenais bien vite que je n'aurais pas le choix, ma mère étant bien décidée à faire de Myano son futur gendre !

Le tout maintenant était de faire avaler cette pilule à Eijiro et je savais qu'elle allait avoir du mal à passer...j'avais un peu éludé les choses la veille, accusant le coup sans doute, mais je ne pouvais pas lui mentir de toute façon. Nous étions mardi et je touchais mon ventre plat après avoir vu, impatiente et sans doute effrayée de la première échographie qui allait avoir lieu le lendemain.

C'était mon père qui m'y accompagnait, feintant à ma mère de vouloir m'emmener au cinéma voir un reportage spécial sur le crétacé, ce qu'elle n'avait pas relevé. Le centre culturel organisait souvent des diffusions du genre, et c'était déjà arrivé que nous y allions tous en famille. Seulement voilà, la coupure était telle, que ma mère ne releva terriblement pas, ne prévoyant même pas de nous accompagner !

Les choses étaient sans doute vouées à s'effondrer...

Je poussais alors un soupir complètement désarçonné, les yeux tremblant devant cette situation qui perdurait bien trop et qui, lentement, me coutait une énergie folle. Et dans mes mains, mon téléphone sonna, me sortant des limbes et mon coeur s'emballa en voyant le nom d'Eijiro. J'avais totalement besoin de le voir là...

"Coucou toi ! Tu me manques trop !"

"Oh ! Pourquoi tu pleures Nori ? Il s'est passé quelque chose ? "

"Non, juste l'ambiance à la maison, ça me fatigue et me stress. J'ai vraiment hâte que ça se termine !"

"Essaie de t'apaiser, c'est vraiment presque fini ! N'oublis pas non plus que tu peux aller chez moi, mes parents sont au courant ne t'inquiète pas."

"Je sais merci. Ma mère me manque. Je... je t'aime et je ne regrette pas évidement, mais je ne pensais que ce serait si dur."

"Bah c'est ta mère ! C'est naturel que tu sois mal. Je suis désolé de ne pas être là ou de pouvoir te soutenir mieux !"

Eijiro se trouvait sur son balcon, les yeux rivés vers les étoiles qui apparaissaient peu à peu dans le ciel qui s'assombrissait doucement à mesure que la journée se terminait. Il semblait y trouver du réconfort ou du courage, car il souriait de son air confiant, me faisant clairement ressentir un sentiment de bien-être. Je savais qu'il avait totalement raison et que tout ceci arriverait bien plus vite. Le mois de mars était là, glissant sur nous la conviction de "très bientôt" nous retrouver et je me sentais sincèrement prête pour le Daigakenyugakehigun*.

"Au moins, j'utilise tout mon temps libre pour étudier, mais tu me manques affreusement ! Je savais que ce serait compliqué, mais ça plus l'effet prison !"

"Demain tu vas voir notre fils, assures toi qu'il va bien et dit lui bien pourquoi tu subis tout ça et surtout explique lui pourquoi son père n'est pas là ! Tu es forte Nori, c'est notre dernière ligne droite !"

Encore une fois, il avait raison, et je ne pouvais pas me lancer dans un avenir avec lui sans me montrer totalement honnête avec lui. Maintenant que nous allions avoir un enfant, peut-être serait-il moins jaloux de Myano ! Dans tous les cas, je devais lui dire qu'il ne l'apprenne d'une autre façon. Mais je savais d'avance qu'il n'apprécierait pas du tout l'initiative de mon ami de venir le demander personnellement à mère alors que lui-même était prié de ne pas approcher de mon domicile...

"Eijiro, je dois te parler d'une chose, mais s'il te plait, ne te mets pas en colère !"

Sur le petit écran de mon téléphone, je le vois se retourner vers moi, soudainement sur ses gardes, et je me crispai tout autant.

"Vendredi il y a la fête du collège réunion des anciens, tu vois. Hé bien, j'ai l'autorisation d'y aller ! ... "

Je laissai un léger silence planer, cherchant désespérément la meilleure façon de m'exprimer pour ne pas provoquer inutilement sa jalousie.

"Myano pensait que ça me ferait un peu de bien, alors il est venu chez moi et a demandé la permission à ma mère... "

"Quoi ? C'est quoi ce bordel ?"

"Ne te fâche pas, il pense bien faire je t'assure ! Il ne se passe rien avec lui ! Et puis si tu veux, tu peux peut-être venir ?"

"Je ne peux pas, je bosse ! Et ne me dis pas que tu as l'intention d'aller avec lui ?! Nori c'est un rencard !"

"Non je t'assure que ce n'est rien de tel ! Et puis je n'ai pas envie, mais ma mère m'y oblige totalement là !"

"AH ? Ah je vois, il fait un bien meilleur parti que moi hein ! Putain non... Tu ne peux pas y aller ! On sort ensemble, on a des projets et on va fonder une famille ! Tu veux qu'on se marie ? Très bien, faisons-le, mais ne viens pas me faire accepter un truc pareil ! Tu ne peux pas aller à un rencard avec un autre gars ! Que ça plaise à ta mère ou non !"

"Eiji, s'il te plait, je ne fais pas ça pour te mettre en colère ! Il ne se passera rien, et je ne le laisserais rien faire ! Il veut juste me changer les idées ! C'est toi que j'aime..."

"Bah justement, si tu m'aimes ne fais pas ça ! Nori, va chez mes parents, tu seras mieux. Je vais appeler ma mère pour qu'elle vienne te chercher dans vingt minutes !"

"Eijiro ! S'il te plait, écoute-moi ! Je ne veux pas faire ça."

"Il n'est pas question que tu fasses ça non plus Nori !"

"Fais-moi confiance s'il te plait..."

"J'ai confiance en toi ! En lui, pas du tout ! Je ne veux même pas imaginer ce qu'il a en tête avec toi !"

"Enfin Myano est quelqu'un de gentil, jamais il ne me ferait de mal !"

Je sentais complètement la conversation s'envenimer avec ardeur et même moi qui tentaient de rester calme jusqu'ici, je sentais que je perdais complètement mes moyens. Certes, je m'énervais sur le fait qu'il dise du mal de mon ami, d'un autre coté au vu de certains regards que me lançait ledit ami, je ne pouvais nier que je pensais qu'il était intéressé. Mais surtout le fait qu'il se sentait apte à m'interdire une telle sortie ne me plaisait pas du tout !

Et ça, ça me mettait dans une colère noire !

"C'est un mec ! Et je ne veux pas laisser une chance à ce gars, qui passe son temps à baver sur ma copine ! En plus dans ton état... non vraiment je..."

"Hey ! Tu n'as pas le droit de m'interdire quoique ce soit, monsieur le héros !"

"La joue pas comme ça, je dis que tu ne peux pas accepter d'avoir un rencard avec un gars alors que tu es engagé ailleurs"

"Bah si je peux, je peux parce que c'est qu'une sortie entre pote et que mon "engagement" doit me faire confiance ! À plus tard, Kirishima"

"Nori.."

Sur ce je raccrochais, grognant ma colère. Je passais une nouvelle fois ma main sur mon ventre, comme pour bercer le petit habitant.

Ton père fait vraiment l'imbécile ! Que dis-tu de le bouder un peu ?


Et même si j'étais bien décidé à l'ignorer, le lendemain alors que je regardais notre enfant sur l'écran de l'échographe, la main accrochée à celle de mon père, tout aussi ému que moi, c'était bien la première personne avec qui je voulais vivre ça ! Alors je ne pouvais dignement résister de lui envoyer toutes les informations que j'avais pu avoir ainsi que le photo de l'échographie avec le prénom de garçon que je préférais parmi la liste que nous avions faite en plaisantant bien qu'on ne sache toujours pas son sexe...


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Bon, me revoici pour la suite ET la fin de cette histoire. En tout cas, l'écriture est terminé ou presque, il ne me reste que trés peu à mettre en place et ce sera terminé d'ici la publication. 

Evidement, je m'excuse de cette TRES longue pause, mais cette fois-ci, il n'y aura plus de pause ! Il reste une dizaine de chapitre à publier, donc c'est partit !

Comme d'habitude, je vous remercie toujours grandement du soutien incroyable que je reçois quotidiennement ! J'ai conscience que cette histoire est beaucoup moins attendue que les potentiels Yaoi, et les OC font rarement l'unanimité, mais cela reste une de mes petites histoires et elle mérite sa fin !

Amarylice

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*Daigakenyugakehigun
C'est donc le bac ! 

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