Chronique n°1 : No Grave But The Sea

NDA : Ceci est la toute première chronique qui sera considérer comme pilote pour la suite des futures chroniques.

L'album No Grave But The Sea est le cinquième album du groupe de folk/pirate metal britannique Alestorm sorti le 26 mai 2017 via le label Napalm Record que le groupe a rejoint en 2007, année de sorti de leur premier album, Captain Morgan's Revenge.

Concernant la pochette, la palette de couleur est essentiellement axé sur le bleu/vert pour illustrer les fonds marins avec les algues et la faune marine ; on peut apercevoir en autre des poissons et même un requin. On aperçoit au premier plan, des crânes, des squelettes humains, un coffre rempli de pièces d'or et au premier plan, un pirate, enchaîné, au corps squelettique et un visage qui peut faire rappeler le film Pirates des Caraïbes, La Malédiction du Black Pearl. Mon ressenti sur cette pochette, je la trouve bien réussi, cela illustre comme toujours les caractéristiques du groupe : parler de conquêtes, de pillages, de bières, de pirates et de voyage en mer.

Pour la partie musicale, c'est entraînant, rapide, précis et qui donne envie de chanter avec le groupe, avec un verre de bière à la main. Ce n'est pas moi qui le dit, c'est l'esprit du groupe qui le montre en concert et pour avoir été au concert en Octobre, ils vous entraînent dans leur univers musical, en confirmant leur statut de «Kick Ass Live Band», littéralement «Groupe qui botte les fesses sur scène» . Entre les riffs de guitares, le rythme effréné de la batterie, et les sonorités au clavier, Alestorm nous emmène, comme dans les albums précédents, dans un voyage en mer, rempli de rencontres, de haltes, de soirées en tout genres, pour finir avec le titre Treasure Island qui se finit par la mélodie de l'océan, reposante, et qui laisse supposer que le groupe repart en voyage vers de nouvelles contrées inexplorées. Pour nous conter de nouveaux récits de pirates, dans un futur proche.

Concernant la voix du chanteur, on entend bien les R roulés, typique de l'accent écossais, et on peut entendre à certains moments, un chant hurlé, voire guttural notamment dans Rage Of The Pentahook, fait par Christopher Bowes, mais également dans Alestorm ou encore To The End of The World mais occuper par le second claviériste du groupe, Elliot Vernon, qui faut avouer, ce débrouille plutôt bien. Dans cet album, on retrouve certaines similitudes à leurs albums précédents ce qui fait la marque de fabrique de ce groupe qui progressivement s'affirme, de mon point de vu personnel, comme l'un des groupes phares du genre folk metal.

Pour ce qui va en être de la note final de cet album, je donne un bon 8,5/10 pour la pochette qui est splendide, respecte bien l'univers du groupe mais qui, pour moi, n'égale pas celle de l'album Sunset on The Golden Age, où on y retrouve l'essence pirate avec le bateau qui vogue sur les flots, dans la tempête. Pour la partie musicale, le groupe reste fidèle à se qu'il a su toujours faire, en s'améliorant au fil du temps, et cet album est bien abouti sur cet aspect avec des titres comme Mexico, Alestorm (oui, oui, ce titre est le nom du groupe) ou bien encore Man the Pumps. Au final, je mettrais une note de 9/10. Pour ceux qui cherchent un groupe qui donne envie de boire une bière en écoutant des histoires pirates, cet album, ainsi que le reste de leur discographie, ce groupe est fait pour vous !

Note globale:17,5/20

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top