Le soleil se couchait sur la ville et George vint me chercher pour le dîner.
- s'il te plaît Cat parles moi.
Je passai devant lui sans lui parler. Ma rage n'était pas envers lui mais il était la à ce moment là et puis on était disputé. Le repas se passa dans une ambiance assez cool. La nuit fit place au jour et je ne trouvais pas le sommeil. J'étais enroulé dans ma couverture en train de regarder le lever du Soleil lorsque Fred entra. Je reconnus sa démarche. Hermione était toujours en train de dormir. Il prit une chaise et s'assit à côté de moi. On ne parlait pas. Il savait toute la rage et la tristesse que j'avais en moi et savais qu'il s'en voulait. Au bout de 20 minutes a regardé le soleil prendre sa place dans le ciel je me suis dit que c'était le moment pour parler.
- pourquoi t'es venue ?

- pour parler avec toi . Dis le rouquin en soupirant. Il est assez fier et n'aime pas s'excuser et là il était séreux sans petite taquinerie etc et c'était très rare.
- tu veux parler de quoi ? Du fait que dans quelques heures je vais devoir dire adieux à ma famille ou le fait que vous vous êtes tous dressé contre Malefoy alors qu'il essaie de m'aider ou encore que dans le bureau de Dumbledore tu ne m'as pas accordé un regard.

- ok on a pas été cool tu marques un point. Pour ta famille je peux pas savoir comment c'est dur mais je sais une chose. Ils t'aiment tous les trois et ça même un sort ne l'enlevera pas. Et on a cru que Malefoy se moquait de toi. J'suis désolé.

Je refusais de tourner ma tête vers lui car je savais que j'allais craquer. Le rendez vous avec mes parents se passait dans un chic restaurant et je devais bien m'habiller. Je serai seul mais l'ordre avait sûrement mis un garde. Je remis une des robes que m'avait offerte ma mère. J'étais en train de me préparer lorsque Harry entra dans la pièce. On avait pas énormément parler depuis la gifle. Je pense qu'il m'en voulait toujours.
- salut.

- salut Harry.

- tu es prêtes?

- oui... Je sais pas comment je vais m'en sortir.

- tu vas être merveilleuse comme d'habitude.
Je le serai dans mes bras. Je ne savais pas comment je pourrai m'en sortir. Lupin vint nous chercher. Je fus déposer devant le restaurant. En entrant je les vis immédiatement. Ma mère avait mis une magnifique robe grise. Mon père et mon frère avaient mis un costume. Les larmes me montèrent aux yeux. Je m'approchais calmement et je m'assis à côté de mon frère et en face de mes parents. Mathieu avait put venir exceptionnellement malgres son état de santé. Un serveur s'approcha mais je savais très bien que n'importe quel plat irait. J'étais avec ma famille. Ma mère ne me quittais pas du regard. Les larmes coulaient en silence sur ses joues.
- tu es tellement belle ma chérie.

- merci Papa. Dis je émue.
Cette homme qui m'avait toujours protéger me regardait comme si j'étais une pierre précieuse. Le temps défilait tellement vite. Nous racontions nos souvenirs les plus marquants. Des sourires étaient présents sur les quatres visages. Mon frère me prit la main sous la table. Je la serrai pour lui montrer mon renfort. Dans 10 minutes il ne serai plus qu'un couple avec un petit garçon malade. J'avais l'impression d'être abandonné. Je sais que j'étais égoïste mais je détestais cette idée. Ma mère me tendit une enveloppe. Elle me dit. Ouvre la lorsque on te manquera trop. Je mis le précieux courrier dans ma poche. Je regardaient mes parents. Ils paraissaient inquiets. Les adieux arrivaient. Je me tournais vers Matthieu et je le serrai si fort dans mes bras en lui disant.
- je veux que tu vives très très très longtemps, que tu deviennes un magnifique jeune homme qui sera unique et Merveilleux. Je ne t'oublierai jamais et tu seras toujours mon frère un sort ne changera pas ça.
Il pleurait dans mes cheveux. Je me désolais de ne plus jamais voir le petit garçon joyeux et farceur. Mon père s'approcha de moi et ouvrit ses bras. Je m'y engoufrais. Il avait toujours été un modèle pour moi. Il était si cultivé, intelligent, gentil. Un de ses seul défaut était qu'il cachait ses émotions. Il se pencha et me dit un bisous sur le front en me disant.
- je t'aime ma fille chérie. Cateline continue d'etre toi même. Suis ton instinct. Je sais que tu deviendra une merveilleuse sorcière et une merveilleuse jeune femme. Le monde est cruel et sombre mais tant que tu sera la petite étincelle la flamme de l'espoir ne s'éteindra jamais.
Il s'écarta ensuite me laissant devant ma mère. Elle me prit les mains et me dit.
- Depuis le jour où tu es née, j’ai oublié me soucis
Et le ciel a finalement cessé d’être gris. Avoir une fille comme toi est le plus précieux cadeau
Tu es ma lueur d’espoir et ce que je vis de plus beau
Je t’ai accompagnée depuis ton berceau
Et je ne cesserai de te soutenir sur tous les niveaux. Je t’ai vu rire, je t’ai vu pleurer
Je t’ai vu parler, je t’ai vu marcher
Devenir maman est le plus beau des métiers
On apprend à donner, à sacrifier et à protéger. Je t'aime ma chérie.
Je pleurais encore plus. Un homme vint me chercher et je jetai un dernier regard à mes parents. Je montais dans une voiture. Il y avait Lupin et Harry. Il me prit dans ses bras. Je posais ma tête sur son épaule et je pleurais beaucoup. Nous disparitions dans l'obscurité de la nuit.