j'aime noté des trucs dans mon agenda, plus je devais faire deux poèmes pour un devoir donc voici tout ça :

Agenda :

« Les larmes du monde sont immuables. Pour chacun qui se met à pleurer, quelque part un autre s'arrête. Il en va de même pour le rire. » De Pozzo, En attendant Godot.

« Nous naissons tous fous. Quelques-uns le demeurent. » De Estragon, En attendant Godot

« (...) Quand ! Quand ! Un jour, ça ne vous suffit pas ? Un jour pareil aux autres il est devenu muet, un jour je suis devenu aveugle, un jour nous deviendrons sourds, un jour nous sommes nées, un jour nous mourront, le même jours, le même instant, ça ne vous suffit pas ? » De Pozzo, En attendant Godot.

« notre dépendance est lié animale et non de notre éducation. » prof d'influence de drogue

« il ressemble, mais...que de la fesse gauche quoi ! Un cousin loin » Prof d'influence de drogue

« Freeze, fight or flight ; figer, combattre ou fuir (s'adapté) » jsp qui m'avait dit ça

« on ne peut pas être anxieux pour ceux qui ne le sont pas » prof du cours d'approche psychologique

« ce n'est pas toujours des mauvaise personne qui finissent là. Ils l'ont pas toujours choisis. » Prof d'influence de drogue le 23 Août 2022

« Considérer comme tel (le mal) reviendrait à psychiatriser l'expérience humaine » hors contexte Prof du cours d'approche psychologique

« Sur un croquis, c'est correcte de laisser aller votre funkyness » Prof de dessin technique le 29 Août 2022

« Quand on était un peu jeune et fou » pour parlé qu'il manquait un peu de mesure sécuritaire dans le temps, Prof d'une amie

« Le hamster est persuadé de se rendre à Québec » hors contexte, mais c'était pour parlé du boucle dans le cerveau, Un dude dont j'ai oublié le nom en cours d'approche psychologique

« Une dépendance n'affecte pas juste la personne. Elle affecte aussi ceux qui l'entour » Prof d'influence des drogues

« Tout ce qui monte redescend. Plus tu montes haut, plus profond tu descends » Prof d'influence des drogues le 20 septembre 2022

« des champignons...On comprends tous que c'est pas des champignons de Paris » Prof de Français en parlant du surréalisme (je crois) le 26 sept 2022

« La connaissance c'est comme la confiture : plus on en a plus on l'étale » Prof de Français

« avec la boisson tu deviens chaud, avec les drogues tu deviens gelé. Fait moitié-moitié et on deviens tiède » Un conférencier qui parle de son expérience avec les drogues.

Fun fact : Il y a une fille que je trouve très belle (surtout les premières fois que je l'ai vue) et comme j'arrivais pas à me rappeler de son nom vu que je suis une merde avec les noms, bah je l'appelais « la fille chaude de mon cours ». Ça fait bien rire mes amies et en même temps les décourager.

Être dans tes bras

Un doux rêve

Que j'aimerais

Que j'aimerais

Je t'aimerais

(en liens avec "un crush" que j'ai eu)

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Je souhaite

Que tu disparait

De mon coeur

Comme les malheurs

Qui me sont apparue

À ta venu !

(en liens avec "un crush" que j'ai eu)

Dans mon cahier de note, plusieurs essaies de poème surréaliste :

Août c'est l'école qui se réveille,

Septembre habille Octobre

qui habille Décembre

Décembre parce que ce qui compte c'est sa renommé

Janvier c'est le p'tit nouveau, le bleu

Février fini toujours amoureux

Mars, avril et mai c'est jours de fête

Mais, Mai est examen pour les jeunes

Puis enfin tous ensemble fête Juin & Juillet, leur années de couple.

(essaye de poème sur le thème des mois, plutôt contente)

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Un jugement biaiser

Confiance dans le coma

Amitié à été briser par ta trahison

Amitié était capable de rire avec toi

Traitresse que tu es

A choisis d'établir une guerre au nom d'Amour

Amitié, confiance et respect espère que sa en vaux la peine

Amitié va se faire appeler Megara maintenant

Un champignon qui ressemble à un autre

Le premier toxique, le second un délice

Voilà ce que tu es, toi le traitre de tous,

l'inspiration et même création d'en bas (je sais pas si ça fait partie du poème ou pas ^^')

(J'ai voulu écrire sur une amitié brisé si c'était pas clair)

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À terre, mes armes sont en morceaux

Au ciel, sont mes yeux larmoyant

Dans l'eau, coule mon sang déversé à la bataille

Le feu de la haine brûle ma poitrine

Les nuages prends la forme d'une courbe bien dessiner

Les plantes chatouilles mes extrémités

Les poissons parcourent les rivières émergent de mon coeur

Les flammes pétille à la joie de me dévorer

Me dévorer tout entier

Oui

Telle une pomme

(juste un essaye)

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Seule

l'être le plus réel. Le début de l'Homme

Amitié

Un mensonge sale, illusoire, tâchant les étoiles

des étoiles lumineuse tournant autour d'un sale soleil

Amour

Ne sort pas sans illusion et changé

On s'entendais mieux avant que tu prennes la rose rouge

Pourquoi on a changé ? Pourquoi tu me pique ?

Ensemble

Quand la balance est déséquilibré

Quand « we » n'existe plus

Quand Je mérite pas ton poignard manipulateur

Haine

Mon lit au ressort de souvenir amèrement salée

La toxicité de l'année résumer en une relation

Le saignement est bleu, la larme est rouge

(si je me trompe pas deuxième version de mon poème 1 pour mon devoir)

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Maladie aveugle et invisible

elle me rend visite souvent

lorsque je marche, elle est là

je suis son guide

elle me raconte toute sa vie, je suis bien petite

elle me tant un mouchoir et des bonbons

elle me sourit, sentant une inquiétude

« Ne crain rien, c'est contre la toux »

Le bonbon vert gazon me regarde étrangement

Je la mord au sang

lui crache mes deux sac d'air

JE VAIS BIEN

Elle rampe en boule

elle devient jaune, puis éclate

« Hey ! Tu es partie sur la lune ? »

(si je me trompe pas seule version de mon poème 2 pour mon devoir)

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Mon regard se penche sur le centre du monde

la haine que j'éprouve est tel qu'elle me fait mal,

une flamme grandit dans ma paume.

du bois sèche dans mon autre.

Leur fusion est l'enfant parfait de mes envies

une mélodie assourdissante

des paroles agonisante

le froid me dévore et sèche mes larmes

un câlin dans le dos

un voile noir se pose sur moi, tel une couverture

elle me réchauffe de rien du tout

le câlin s'arrête

la musique aussi

les craquements disparaît

le noir envahie mes sens

c'est tout ce qui me reste.

(Commentaire d'une amie après avoir lu se poème : shit c'est bon

mon thème était "vouloir créé la fin du monde et d'y mourir dedans" parce que j'en parlais avec des amies)

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Je me vois à la troisième personne

Je vais en avant, puis en arrière

le bruit se rapproche de moi (note : aurais pu être : Bruit blanc)

Je vais plus vite

Le tintamarre se rapproche

Il devient plus lourd qu'un éléphant

Je vais plus haut

Il devient très aigue, lourdement aigue

Je disparait (note : doit dire un truc que seule la balançoire peut faire)

Place au réveil

(C'était pour un exercice de poème, on devait prendre un rêve ou un cauchemars et moi j'ai pris un cauchemars que je faisais souvent enfant)

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L'horaire me parle que c'est plus tard

Mais toi, tu passes maintenant

Ton numéro change comme tu changes de route

Tel un origami, tu ne change pas réellement

Pardon, j'oubliais que tu étais plus claire qu'un ciel sans nuage

Indisponible, besoin, vitale, écologique

On part tous à 20h, sauf ce traître.

Pourtant, je te suis condané

(poème pour exprimé, pendant un exercice de Français, ma colère pour les bus commun)

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Seule

le sentiment plus humain que l'Homme lui-même

Amitié

Un mensonge plus gros qu'une galaxie

tout en étant aussi lumineux que les milliers d'étoiles

Amour

Que dire d'une illusion autre qu'elle fini évaporé peu importe sa forme ?

Ensemble

Le moment où il n'y a que moi qui donne

Haine

Doux sentiment de confort lorsque vécue trop longtemps dedans

Moi qui n'avait jamais pensé sentir au point de le touché ce sentiment

haine dans Amour, Amour dans amitié

Amitié dans Haine

(note de ma prof : manque lieux significatif, de colère, transforme tes comparaison en métaphore, décrit plus, plus long, plus d'image, Direct)

(première version de mon poème 1 pour mon devoir)

voilà ! Je pense que j'ai tout mis ! c'était long, mais c'est fait. Je vais essayer de faire ça pour l'hiver aussi.

Lidia

le 2022-12-06 à 23:57