4 mai 2019

J'étais près de l'Etna, ou tout autre volcan italien mais il me semble que c'était bien l'Etna. Il y avait à son sommet un centre commercial et j'y étais avec Lilith avec ses cheveux mi-longs, Soso à côté, Ace avec son sac à dos noir et Foxlover.
Au dernier étage, il y avait un salon de coiffure et sinon, seulement des boutiques d'habits. À un moment après la visite du centre commercial, Lilith nous a regardés et dit :
-Partez devant, je vais vite faire quelque chose.

Il est revenu quelques minutes plus tard (c'était rapide), avec les cheveux coupés comme avant en 2017 quand on s'est connus, très courts (la coupe Playmobil comme on l'appelle entre nous)...J'étais un peu déçue, évidemment.
Ensuite, on est allés visiter des bâtiments historiques alors qu'en vrai, c'était plutôt un style futuriste, comme certains décors de science-fiction similaires à ceux dans les bandes dessinées de LEO ("Aldébaran" et tous les cycles en rapport), en plus noir. Il y avait partout par terre des sortes de petites billes colorées, comme des particules en somme.
Finalement, seuls Lilith et Ace sont restés, les deux autres se sont naturellement évaporés comme c'est l'usage dans mes rêves, et se sont ajoutés là mes parents et le reste de ma classe du moment.

J'ai dit alors à voix haute, en repensant à une émission que j'avais vue, que s'il y avait un choc nucléaire tout proche, les particules fusionneraient et deviendraient plus dangereuses. Tout le monde a ri...
Mais finalement, un missile nucléaire a atterri, ou plutôt s'est écrasé, à peu près derrière le bâtiment du site historique, une sorte de hangar, et les billes se sont effectivement mises à fusionner. Ça a fini par donner des boules de la taille des ballons de gymnastique énormes qui rebondissent et elles n'étaient pas vraiment matérielles, elles pouvaient passer à travers des objets.
Tout le monde a bien sûr paniqué d'un seul coup d'un seul mouvement. On voulait alors fuir le site et fuyant par-dessus le mur d'enceinte. On est alors tous montés chacun son tour par petits groupes sur le toit du cabanon de jardin, la chose la plus près de ce mur d'enceinte.

Pour une raison inconnue, on s'est tous stoppés une fois sur le toit et on s'est tournés pour revoir les boules énormes flotter dans l'air.
Là, une camarade de classe s'est tournée vers moi et m'a dit que finalement, j'avais raison...