Histoire (Yaoi) : Un amour impossible, troisième partie

(Bonjour chers lecteurs et lectrices, on se retrouve donc pour la troisième partie de cette histoire. Je sais que cela fait un baille que vous attendiez tous la suite. Mais ça y est, cette troisième partie est enfin sortie. Bonne lecture à tous !! ^__^)

PDV du Villageois : Je voyais que ce Dark Lino, m'avais enfermé avec Lino et....ma petite sœur. Quand je la voyais je commencer à pleurer de joie car j'avais crus qu'elle était morte il y a un an. Mais apparemment non, elle est belle et bien vivante.

Alors je la prenais directement dans mes bras en la serrant très fort contre moi puis je lui faisais un bisou sur le front. J'étais tellement heureux et elle aussi puis je lui disait.

Le Villageois : Oh petite sœur je suis si content de te revoir, je croyais vraiment que tu étais morte à cause de ce hérisson bleu foncé.

La petite fille : Moi aussi, grand frère je suis très heureuse de te revoir. J'ai bien crus que je ne te reverrais plus jamais, toi ainsi que papa et maman.

Le Villageois : Je sais, après ta disparition maman était très malade et papa n'arrêtais pas de péter des plombs.

La petite fille : Oh je vois.

Le Villageois : Mais maintenant que tu es revenu, dès que tu rentreras à la maison ils seront très content de ton retour.

PDV de Lino : Je suis très heureux que ce jeune villageois revoit enfin sa petite sœur. Je suis tellement joyeux pour eux. Mais ce que je ne comprends pas c'est pourquoi Dark Lino à t'il capturée Juliette alors qu'elle n'avait rien fait ? Et surtout pourquoi m'a t'il capturer ?

Je suis tellement triste qu'il est redevenu le méchant qu'il était il y a trois ans.

Je pensais vraiment qu'il aurait été très gentil avec moi ainsi que mes amies mais apparemment il m'a dit que je l'ai abandonné...Je le regrette tellement cela me fait terriblement mal au cœur.

Je me souviens que, ça c'est passé il y à peine deux mois. Je me promenais dans les bois puis c'est alors que j'apercevais Dark Lino qui était assis par terre, accroupis puis avait mis sa tête sur ses genoux. Je le voyais en étant inquiet de le voir dans cet état.

Alors je me dirigeais vers lui, même si il était de dos. Il ne m'avait pas répondu et donc ce que j'ai fait c'est que je posais ma main droite sur son épaule et dès qu'il avait senti que je lui ai touché son épaule.

Il avait levé sa tête et me regarder droit dans les yeux. Je le regardais de même puis c'est alors que je vis qu'il avait une toute petite larme sur le coin de son œil. J'avais vraiment eu de la peine pour lui.

Alors je le prenait dans mes bras pour le réconforter mais hélas il m'avait bousculé par terre et s'en allait loin de cet endroit.

Rien que d'y repenser je voudrais tellement lui pardonner de l'avoir laissé tout seul et c'est peut-être pour cela qu'il m'avait capturé pour pouvoir se venger.

Mais bon revenons au moment présent, je voyais que le villageois et la petite fille me fixait. Je leur disais.

Lino : Ne vous en faite pas, les amies j'étais juste entrains de penser à quelque chose.

La petite fille : Oh d'accord.

Le Villageois : Et tu étais entrains de penser à quoi, Lino ?

Lino : Oh ce n'est sans aucune importance.

Le Villageois : Ok.

PDV de La petite fille : Je suis si malheureuse que nous soyons à nouveau enfermés. Cela voudrait dire que nous serons pour toujours coincer dans ce maudit château.

Si seulement il avait un moyen pour que nous puissions nous échapper une bonne fois pour toute.

Peut-être qu'il y aurait une clé qui serait rangé dans cette pièce, si c'est le cas je dois tout de suite le dire à mon grand frère et à Lino.

La petite fille : Grand frère, Lino ! Je dois vous dire quelque chose ?

Le Villageois : Nous t'écoutons, petite sœur.

La petite fille : Eh bien voilà, je crois avoir une idée de comment nous pourrions sortir de cette pièce !

Lino : Ah bon et comment parce que mon double à fermé à clé ?

La petite fille : Je sais et justement peut-être que dans cette pièce ou nous, nous trouvons il doit certainement avoir une clé pour ouvrir cette porte.

Le Villageois : Attends petite sœur, tu veux dire qu'ici il y aurait une autre clé pour ouvrir cette porte ?

La petite fille : C'est ça, grand frère.

Lino : Dans ces cas là, pas le temps à perdre. Trouvons vite cette fichu clé, pour que nous sortions très vite de cet endroit !

Le Villageois : Tu as parfaitement raison, allons-y, commençons nos

recherches !

La petite fille : Plus vite on trouve la clé, mieux c'est.

Lino : Oui allé on y va !

Tout trois, commençaient donc à chercher cette fameuse clé.

Après une demi-heure de recherche.

Ils finissaient par trouver la clé qui permettait d'ouvrir cette porte.

La petite fille : Grand frère, Lino j'ai trouvé la clé !

La jeune fille prenait la clé qui était posé sur la table mais plus précisément en dessous de la nappe.

Le Villageois : Bien joué, petite sœur. On va enfin pourvoir sortir d'ici !

Lino : Dépêchons nous, qui c'est mon double ne pas tarder à revenir !

La petite fille : Tu as parfaitement raison, filons !

La jeune Juliette mettait la clé sur la serrure ce qui fait que la porte s'ouvrit.

PDV de la petite fille : Une fois que la porte était grande ouverte. Moi, mon grand frère et Lino on se mettait à courir à pleine vitesse.

Ont avaient couru pendant une dizaine de minutes, puisque ce château était si grand où devrais-je plutôt dire, cette demeure paraissait si gigantesque qu'on aurait dit un énorme labyrinthe.

Après ça, nous avons pus finir par trouvé l'entrée du château et qu'une fois qu'on était sorti.

Je commençais à soupirer car je pensais vraiment que je n'allais plus jamais revoir la lumière du jour.

En tout cas je suis bien contente, qu'on soit dehors et je suis surtout très heureuse de revoir mon grand frère, depuis le temps que j'attendais ce moment.

La petite fille : Enfin je suis sortir de ce maudit château ! Je n'en pouvais plus. J'ai bien crus que j'allais en mourir à force d'y rester pour l'éternité.

Le Villageois : Oui mais à présent tu peux enfin respirer l'air et surtout tu as ton grand frère à côté de toi, qui t'aime et qui te protégera toujours !

La petite fille : Oh grand frère, c'est si gentil de ta part, merci !

Le Villageois : Je t'en prie, petite sœur c'est tout à fait normal.

Le jeune homme enlaçait à nouveau sa petite sœur dans ses bras en la serrant très fort contre lui.

Le Villageois : Pardonne-moi, si je ne t'ai pas sauvé à temps. C'est parce que je ne savais pas que ce serait ce hérisson qui s'en ai pris à toi, frangine. Je le regrette tellement, après que tu ais disparut quand je l'avais annoncé à nos parents. Ils n'étaient pas bien du tout, ils avaient pleurés toutes les larmes de leurs corps...Mais maintenant que tu es là, ils vont pleurés de joie.

La petite fille : Oui j'ai tellement hâte de les revoir car à mon avis, ils doivent travaillés en ce moment même où nous discutons, grand frère.

Le Villageois : Oui je le pense aussi. *voit Lino* Ça va Lino, tu ne dis plus rien depuis que nous sommes partis de ce château ?

Lino : Oh excuse-moi.

Le Villageois : Ce n'est rien, t'inquiète.

PDV de Lino : Je l'admets j'étais entrains de penser à ce que fais mon double. A mon avis, il a du voir qu'on est sorti de sa demeure.

Je sens qu'une fois qu'il va nous retrouver, on va passer un sale quart d'heure avec lui. Mais je suis très inquiet pour lui, je ne sais pas pourquoi même si c'est mon sombre double je me fais du souci pour lui.

C'est bizarre j'ai cru entendre il y a un instant des bombardements. Même le jeune villageois et sa sœur ont eux aussi entendus. Je ferais mieux d'aller voir ça.

Lino : Vous avez entendus ?

Le Villageois : Oui et je n'aime pas ça du tout.

La petite fille : J'ai peur, grand frère.

Le Villageois : Ne t'inquiète pas je suis là, frangine.

Lino : A mon avis, vous feriez mieux de rentrez chez vous, pour être à l'abri.

Le Villageois : D'accord, mais et toi ? Que comptes-tu faire ?

Lino : Je vais aller voir d'où provenait ce bruit.

Le Villageois : Ok. Fais très attention à toi, Lino.

Lino : Ne t'en fait pas c'est promis.

La petite fille : Bon courage, Lino. A tout à l'heure.

Lino : Oui à tout à l'heure.

Le Villageois partait en courant avec sa petite sœur en direction de son village.

PDV de Lino : Après que le villageois et sa sœur soient partis. Je suis parti voir d'où provenaient ces bombardements. Je vis soudainement des cadavres qui étaient éparpillés puis entassés.

Ah !! Quelle horreur ! Et moi qui ne supporte pas de voir les gens qui meurent, cela me met à l'aise. Alors je courais à travers toute la forêt puis d'un coup plus rien, je voyais tout noir. J'étais complètement à terre en ayant les yeux fermés.

Je ne savais pas ce qu'il c'était trop passé à part que j'avais entendus de nouveau un gros bombardement lorsque j'étais entrains de courir.

Quelques minutes ce sont écoulées, je ne sais pas combien de temps j'étais inconscient mais ce que je sais c'est que j'ouvrais mes yeux et je voyais mon double qui était en face de moi, le pauvre il a dus me voir que j'avais perdu connaissance après cette explosion. Je le regardais puis je lui disais.

Lino : Dark Lino, que fais-tu d'ici ?

DL : Je t'ai amené ici parce que je t'ai vu à terre, totalement inconscient. Cela m'a fait énormément de la peine et je vois que tu as réussi à sortir de mon château, toi ainsi que le villageois et sa sœur.

Lino : Comment tu sais ça ?

DL : Ben avant que je te ramène ici, je les ai vus entrains de courir à pleine

vitesse en direction de leur village.

Lino : Oh d'accord, je vois. Mais par pitié ne leur fait pas de mal, ils ne méritent pas de mourir. Prends toi plutôt à moi au lieu d'eux.

DL : On en discutera plus-tard de ça.

Lino : Ok. *dit t'il en regardant sa main gauche*

PDV de Lino : Aie, mes mains me font terriblement mal. Je saigne un tout petit peu. Il ne faut surtout pas qu'il voit ça. Aller hop, je cache mes mains dans les poches de mon pantalon.

DL : Lino, j'ai vus que tes mains saignaient un peu.

Lino : *ment* Mais non pas du tout, t'inquiète je pète la forme là.

DL : Lino...

Lino : T'en fait pas, c'est trois fois rien.

DL : Lino...S'il te plait...

Lino : *le voit* Bon ok.

PDV de Lino : Je sortais mes deux mains venant de mes poches, j'enlevais mes gants bleus puis je voyais qu'il l'examinait.

DL : Ça va, ce n'est pas très grave. C'est juste de toutes petites égratignures que tu as dans tes deux mains.

PDV de DL : Je sortais du désinfectant pour désinfecter les deux mains de Lino. Je voyais qu'il avait un peu mal puis je lui mettais un bandage sur ses mains.

Lorsque je lui avais mis les bandages, j'avais rougi parce que je touchais ses mains, j'espère qu'il ne m'a pas vu rougir comme une tomate.

Lino : Merci Dark Lino.

DL : Je t'en pris.

PDV de Lino : Je m'asseyais sur une colline puis je contemplais le ciel. Je voyais que Dark Lino c'était assis à côté de moi et m'avais vus que je regardais le ciel.

Lino : Il fait beau aujourd'hui.

DL : Oui.

Lino : Ah oui Dark Lino, je suis tellement désoler de t'avoir laissé tout seul depuis tout ce temps. Je le regrette terriblement. Je ne voulais pas te rendre malheureux. Parce que si tu veux, tout à l'heure j'avais repensé à tu sais le jour ou quand tu avais pleuré et que je t'avais même réconforté.

DL : Ah ce n'est rien tu sais, je l'ai très vite oublié ça

PDV de Lino : Je voyais que Dark Lino qu'il avait baissé sa tête. Je lui relevais doucement sa tête en le regardant puis je lui disais d'un ton sincère.

Lino : Dark Lino, a partir d'aujourd'hui je jure que je ne te laisserais plus jamais tout seul. Je n'aime pas te voir triste, cela me fait mal au cœur.

DL : D'accord. Mais Lino il faut que je te dise quelque chose ?

Lino : Je t'écoute.

PDV de DL : Je mettais mes mains sur les joues de Lino en fermant doucement mes yeux puis sans hésiter je l'embrassais. Après que ce baiser, je commençais à rougir comme un piment rouge et quand à Lino, il avait lui aussi rougi en étant un peu surprit ce qui est normal car il ne s'y attendait pas à ce que je fasse ceci. Je le regardais droit dans les yeux et je lui dis.

DL : Je t'aime Lino, oui je t'ai aimé le jour où je me suis enfin libérer de ton esprit. Je sais, cela peut te paraître idiot, je comprends parfaitement. Mais sache que moi je t'aime non pas parce que je suis un gros psychopathe qui ne pense qu'a tué des gens mais c'est parce que tu es mon double lumineux.

Lino : J-Je ne sais pas quoi dire.

DL : Tu dois certainement te dire que notre amour est impossible. Mais comme on dit « l'impossible peut devenir possible. »

Lino : Je sais. Mais Dark Lino, tu sais quoi moi aussi je t'aime. Je n'oser pas

trop te le dire, j'allais faire le premier pas lorsqu'on c'est revu la dernière fois mais tu l'as fait à ce que je vois.

DL : Oh d'accord.

Lino : Tu sais ce n'est pas grave si tu m'aimes même si avant tu me faisais souffrir et ce n'est pas grave non plus que j'aime mon propre double car je n'en ai pas honte.

DL : C'est pareil pour moi aussi, aimer soi-même ce n'est pas trop la fin du monde. *voit que le Villageois et sa sœur s'avancent vers eux*

Lino : *les voient* Huh ?

Le Villageois : *s'adresse à Lino* Lino tout va bien, il ne t'as rien fait, j'espère ? Mais qu'est que tu fais ici avec lui ? Et surtout pourquoi tu es avec ce monstre ?

A Suivre Dans La Quatrième Partie.

(Alors cela vous à plus cette troisième partie ? N'hésitez surtout pas à aimer cette histoire et de mettre un commentaire sur ce que vous en pensez. On se retrouvera pour la quatrième partie. A très bientôt. ^______^)

By Lino_the_hedgehog

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top

Tags: #oc#sonic