Chapitre 22
[NDA : Désolé, c'est un long chapitre, je savais pas où couper...]
~~PDV Mélissa~~
Je me réveillai à côté de Marc, en caleçon. Il ronflait, je le secouai gentiment, il râla et son visage s'illumina quand il me vit. Il se redressa sur les coudes, et ammena sa bouche sur la mienne. Puis dans mon cou. Il se leva, s'habilla et revint s'assoir sur le lit, il me dit après m'avoir réembrassé :
"-Mél ?
-Oui Marc ?!
-Aujourd'hui, je te présente à mon père !
-Quoi ?! Déjà ?! Et si il ne veux pas, il a choisi Julie ! Il ne m'aimera pas ! Julie, elle est belle, distinguée, calme, belle...
-C'est toi que je choisis, il a pas son mot à dire dans ma vie sentimentale, c'est ma vie (NDA : La la la la la, désolé ça m'a échappé, on va s'aimer...)
-Ça peut pas être un autre jour ?
-Ma mère est déjà au courant ! Elle nous attend ce midi ! 13 h 00 !
-Mais il est 10 h 30 !
-T'inquiète.
-Bah justement, je dois me coiffer et tout.
-No stress.
-Si !
-Mélissa, STOP !!!
Je le levai et alla trouver une tenue convenable dans mon armoire. J'avais rien, je sortis mon téléphone et composai le numéro de Jess, car Ashley travaille.
•Début de conversation téléphonique•
-Allô Jess ?
-Oui, c'est moi.
-J'ai besoin d'une conseillère...
-Pour !
-M'habiller, Marc veut me présenter à sa famille
-Eh ben, il perd pas de temps le bourgeois.
-Ta gueule.
-Bon, j'arrive, tu sors des affaires, dans ma chambre, troisième armoire à partir de la droite.
-Ok, à tout de suite !
-Bye.
•Fin de la conversation téléphonique•
Je me dirigeai vers la chambre d'à côté, je sortis de la chambre avant de me rendre compte que j'étais...dans l'appart' des mecs. J'eus un mouvement de recul en voyant Liam qui dormait en étoile et Romain en caleçon. Je m'avançai sans faire de bruit, mais j'en fis trop au goût de Romain.
"-Qu'est ce que tu fais là beauté ?
-Romain, tais toi ! lui dis Marc en débarquant et en posant sa main sur ma hanche.
-C'est bon !
Il se recoucha et ronfla. J'embrassai Marc et réenjambant les habits et les sacs en désordre. Je passai la porte et le pallier. Je le dirigeai vers la chambre de Jessica. Elle était vide, je me dirigeai vers l'armoire dite, l'ouvris, c'est alors que je me rendis compte qu'elle avait dix millions d'habits. Je les regardai tous un à un, tellement, le choix est vaste... Jessica arriva dans la chambre, et se dirigea direct sur l'armoire sans mot dire. Elle en sortis une robe beige et des chaussures marrons. Je les mis, apparemment, ça m'allait à merveille. Je me dirigeai vers l'entrée, il était déjà 11 h 30. Marc m'attendait en chemise à carreaux verts et bleus, dit comme ça, c'est horrible, mais ça lui allait à merveille. Il me prit la main et on se dirigeai vers chez lui, pourtant, il n'était pas l'heure. Nous arrivâmes dans le quartier riche de Boston, les grandes maisons, les grandes façades, les grands jardins... Une maison attira mon regard, ses deux colonnes qui bordent la grande porte vitrée. De très grandes fenêtres qui donnaient sur le rez-de-chaussez. Un grand balcon orné de ferrures et de fleurs de lierres dépassait du deuxième étage, Marc me dit :
-Tu vois le balcon ?
-Oui, il est très joli, ça me fait pensé à Roméo et Juliette.
-C'est ma chambre.
-Mais...c'est magnifique !
-Tu veux monter ?
-On peut ?
-Suis moi.
Il se dirigea vers le dessous du balcon.
-On passe pas par la porte ?
-C'est plus marrant ici !
Il se dirigea vers le lière, qui formaient une échelle tressée, il s'y accrocha et monta facilement. Moi cependant, étant en talons, c'était plus difficile...je lui lançai mes chaussures. J'escaladai le mur végétal. Arrivée en haut, j'eus une vue d'ensemble sur le terrain derrière la maison. Une grande cabane en bois flotté, voyant que je la regardai, Marc me dit :
-C'est moi qui l'ai construite.
-Toi ? Tu bricoles ?
-À mes heures perdues.
-Arrête de faire le modeste !
-Bon, allez...on descend !
-Je suis bien coiffée ?
-Tu es parfaite !
-Merci.
Nous primes la porte et descendîmes. Une grande femme brune aux yeux et aux traits de Marc ne fut nullement surprise de me voir débarquer de l'escalier. Elle m'acueillis à bras ouverts et me serra dans ses bras. Je ne fus qur faire, mais apperement, la mère de Marc m'appréciai.
-Moi c'est Angélique, mère du Marc.
-Bonjour Madame, moi c'est Mélissa.
-Non, pas de madame, Angélique.
-D'accord Angélique.
-Bon, je retourne en cuisine.
Nous nous essayâmes sur la canapé, et j'observai mon univers alentour. Je me trouvai sur un canapé, éclairé par un rai de lumière provenant d'une des fenêtres aperçues de l'extérieur. Un piano à queue se trouvait sur une petite estrade de bois. La hauteur sous plafond était impressionnante, L'écran plat, les canapés de satins, le piano, les lustres de cristaux me confirmaient que j'étais bien chez des riches, Marc me dit, comme si il lisait dans mon esprit :
-T'inquiète, je veux pas vivre comme ça moi, c'est mon père tout ça.
-C'est qui qui joue du piano ?
-Moi, tu veux écouter ?
-Oui, grave !
Il se leva, me prit la main, s'assit sur le siège de velours rouge, me fit assoir à côté de lui, il ferma les yeux et commença à jouer, ses doigts frémissaient à chaque contact avec une touche, son visage, impassible, me faisait rêver. La mélodie, mélodieuse et harmonieuse, me bouleversait. Je ne reconnus pas la musique. Quand ses doigts cessèrent de jouer, il me chuchota à l'oreille :
-Je l'ai composée pour toi."
Voilà, 935 mots (c'est précis), je suis désolé, ça ne se reproduira plus, trop de mots, tues les mots, mais je savais pas où couper pour ne pas gêner la compréhension.
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