Un beau jour ou peut être un soir quelle importance cela a-t-il ? Tant que la dominance magnifique des astres semble tout balayer. Dans l'effervescence de l'instant l'éphémère devient intemporel ! Ce qui dura un instant durera jusqu'à ce que tout devienne utopique, mais qu'est qui nous retient de faire du monde notre nirvana ?

Pourquoi des broutilles tel que le nombres treize aurais une connotation malveillante le treize pourtant en alchimie il signifie la fin, mais qui dit fin déclame également le début tel un formidable ouroboros, oh magnifique serpent sera tu leurs dévoiler leurs véritables peur?

La peur est fondamentalement celle de l'inconnue de l'imprévisible. Tendit que l'inopiner devient effrayant, que les superstitions nous ancre désespérément nous restons immobile alors que tout évolue.

Le chat noir nous regarde avec dédain se pourléchant les pattes avec mépris, tendit que ce profiteur embrasse l'avenir à corps perdu nous coulons, mais l'abstention est en soi un plus grand péché que l'abandon.

Jurer est-il vraiment utile les menaces proférer dans l'entrain d'une conversation enflammée sont-elles attractives pour les démons ou autres entités tout aussi perfides ? Foutaise !

Si de telles menaces sont dignes d'intérêt, elles seraient l'issue d'un contrat et nul démon ne se déplace sans avoir son pesant d'or en contrepartie, le contraire aurais été une information eronné.

Tel est la loi de l'équilibre. Un prétexte pour bien des maux certes, mais néanmoins essentiel, nos menaces, nos torts, nos reproches, sont nos propres mea-culpa.

Serions-nous capables d'allumer les bougies de notre propre destinée ? De prendre en main l'avenir avant que tout ne se fane ? De sortir de l'obscur souterrain et d'oser marcher à la lumière?

De renier les travers rigide de nos aïeux, de tenir nos démons par les cornes, valsant avec notre vie et notre mort, de devenir notre propre faucheuse, ne laissant nulle opportunité aux autres de choisir notre futur. Ainsi, se finit mon récit.

Alea jacta est, que l'avenir vous sourie, voyageurs!