C'est le départ, le grand . Le départ du cocon familial pour l'université le monde des ......GRANDS . Et oui je suis stressé , beaucoup stressé.

" - Ça va ma chérie, anonça ma maman.

- Oui mais je suis très stressé, j'ai peur de ne pas .... comment dire , de me perdre à Paris je suis habituée à un petit village, ou qu'il y ait des problèmes, répondis-je

- Ne t'inquiète pas , il n'y a pas de raison que ça ne se lasse pas bien , conclua ma mère.

Je fis mes valises mais je ne savais plus quoi mettre. J'ai trop d'habits à prendre et je dois me préparer car je vais aller dire au revoir à ma famille et mes amies car elles m'ont demandé de venir . On s'aime trop pour se quitter sans au revoir et elles vont me manquer . Mes grands parents aussi s'inquiète donc je vais aller les voirs . Je me suis calmé et je me suis reposé

J'ai dit à mes parents que je partais, c'était un peu comme si je prenais mon envol. Je partais vivre seule à l'université.

Une heure plus tard je reviens de mes périples dans plusieurs maisons. Et je recommence, je cours, stresse, bouge, et mon coeur bat. Il bat très très fort. Il bat même trop fort et s'arrête net . J'étais fragile et ça c'est prouvé. Ma mère anonça en sanglot :

- Elle nous a dit qu'elle partait, qu'elle prenait son envol et qu'elle partait seule. Mais contrairement à ce qu'elle disait elle n'est pas parti à l'université. Elle est parti ... au ciel.

-Elle s'appelait Claire , a continué mon père , et nous ne lui avons pas dis au revoir.

Ma mère était en pleure. Mon père lui aussi était en sanglots.

FIN