Ceux qui étaient tueur à gage : PART I
[Nda: Musique: Wicked games de The Weeknd.]
[ WARNING lol ]
Avant de lire cet os, je me sens obligée de dire que je n'incite pas à la violence ou autre, dans l'histoire, Larry sont tueur à gage qui tue et/ou torture le plus souvent des mafieux ou personnes connu ou très haut placé dans l'échelle social. Ça peut aussi arriver qu'ils tuent des 'innocents' ..
Mais mon os, n'est qu'une simple histoire, je ne veux pas passer pour quelqu'un qui incite à tout ça..!
Je sais, je fais toujours des trucs drôles mais pour ceux qui me connaissent pas, j'ai moi aussi un petit côté sombre..et cette histoire m'est apparut comme Louis tout nu lors d'un de mes rêves- oopsi!
Elle sera quand même humoristique par moment comme mes autres os!
Mais ça parlera de sang, de torture, de mort..sans être dans le hard core (je trouve)
Je vais faire le plus soft possible.
Ne lisez pas si ce genre de truc vous choque, je comprendrais parfaitement!
(Même si, vraiment, je la trouve pas du tout choquante mdrrl)
Merci à ceux/celles qui m'avaient répondu et qui grâce à eux, cette os est née..!
Ce qui avait zappé la partie où je demandais l'avis des lecteurs pour cette os auquel j'hésité vraiment à écrire, je vous invite à lire la partie 'Pas un os hihi' du recueil et mes réponses aux autres, comme ça vous comprendrez mieux
Je suis vraiment contente de vous partager cet histoire qui aura de petite référence sur mon clown et vilain préférée tout confondu..j'ai nommée : Le Joker!
Bonne lecture!
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Assit à une table éloigné de sa cible, il toucha du bout des doigts ses lèvres rosés qui bougeait frénétiquement, semblant chuchoter dans la plus grande discrétion des mots à son interlocuteur.
Il se redressa, posa une main sur son genou replié, et jeta un regard vers l'entrée : 2 hommes en noir.
Baissant un instant la tête, il l'a releva, passant sa main dans ses cheveux châtain. Il fit un petit sourire charmeur lorsque l'une des femmes, assit à côté de sa cible, le regarda en se mordillant la lèvre.
Il se lécha les lèvres, et regarda à sa gauche : 4 hommes en noirs.
D'un geste gracieux, il prit sa flute à champagne et l'apporta à ses lèvres. Il ne but cependant pas le contenu tout de suite mais l'a garda prés de son visage.
Fixant le menu de son autre main, il parla à voix basse.
" Deux à l'entrés, armés.. À neuf heures, quatre, armés eux aussi.. La cible est potentiellement armé lui aussi.. La femme à droite de la cible, la blonde, armée d'un petit couteau.. Sans compter les possibles renfort..allez, quinze! "
" Ok. À toi de jouer bébé. "
Le châtain sourit, posa la carte du menu à plat devant lui, sur la table.
Il bu d'une traite son verre, avant de la déposer délicatement sur la table. Il souffla, passa une fois de plus la main dans ses cheveux et se releva gracieusement.
C'était le moment.
___ (Tourne sur lui même, s'exclame) Mesdames et Monsieur, bonsoir. (Sourit, glisse une main dans sa veste de costume, au niveau de son cœur) Passez vous une bonne soirée ? (Regarde tour à tour tout le monde qui s'était tut) Oh, ne me regardez pas comme ça! Je ne suis pas une bête de foire, je-
___ Vous êtes qui ? (Fronce les sourcils)
___ (Chuchote) Patron, voulez vous qu'on s'occupe de lui-
___ (Sourit grandement, s'approche de la cible et de l'homme en noir) Oh, je ne veux le mal de personne! (Sourit) Je veux juste-
___ (Hausse le ton, s'approche dangereusement du châtain) J'crois que t'as pas bien entendu le boss, ptit merdeux, alors tu vas nous dire qui t'es avant qu'on s'occupe personnellement de toi. (Sourire mauvais)
Louis souffla, blasé, quoiqu'un peu agacé. Il ne supportait pas qu'on lui coupe la parole ainsi.
C'est dans un geste presque théâtrale, qu'il sortit de sa veste sa main, où était précédemment posé prés de son cœur, un petit détonateur relié à plusieurs bombe, posé de part et d'autre de son torse.
Tout le monde dans la salle se tut, les yeux exorbités, la peur émanant de celles-ci. Quelques personnes ne purent cependant pas cacher leurs émotions et firent de petit cris ou pleurait bruyamment.
Louis sourit à ça et se rapprocha de l'un des hommes en noir qui lui avait traîté, il y a quelques secondes, de petit merdeux.
___ (Rapproche son visage de l'homme qui retint sa respiration, sérieux) Écoute moi bien le gorille, quand Louis Tomlinson parle, on écoute et on faire sa gueule. (Recule de deux pas, sourit) Bien. Quel petit malentendu! (Glousse, reprend son sérieux) Je veux que tout le monde se mette face à moi, à genoux et les mains posés à plat sur les cuisses.
Cependant, personne ne s'exécuta. Louis leva les yeux au ciel, et retira de sa main libre, un revolver fourré dans sa ceinture, derrière son dos.
D'un geste habile, il le pointa sur sa cible et des cris de peur se firent de nouveau entendre.
___ (Voit les hommes en noir pointé leurs armes vers lui, sourit) C'est ça que vous voulez ? (Fait semblant d'appuyer sur le bouton) La puissance de ces petits bijoux nous feront tous cramés dans la seconde où j'appuyerais sur le bouton. (Regard noir, hausse le ton) Personne ne serait en mesure d'en sortir indemne.
Le souffle presque coupé et la tempe ruisselant d'une petite goutte de sueur, l'un des hommes en noirs osa poser la question que tout le monde s'était posés intérieurement.
___ (Fait un mouvement du menton vers la veste de Louis) Tu mourra toi aussi, qui nous dit que tu vas réellement appuyer et mettre ta vie en danger ?
___ (Sourit) Tu veux parier ? (Clin d'œil)
Un silence apparut alors, les deux hommes se défiant du regard.
Louis ne craignait personne, il était dans le milieu depuis plus de 7ans. Il savait tout faire, se battre, tiré à distance, soutirer des informations au plus grand des muets, tuer sans remords, torturer sans la moindre compassion pour la victime.
___ (Pose un genou au sol, fixe Louis) C'est bon Franck, fait ce qu'il dit. (Regarde tout les autres personnes) Ça en vaut pour vous aussi!
Toutes les personnes s'exécutèrent, se plaçant en face de Louis, à genoux et les mains posés à plat sur les cuisses.
Louis balaya rapidement du regard tout ce beau monde et en compta 45.
Il prit une chaise et la posa en face du groupe, à environ quatres mètres d'eux.
Il s'assit délicatement, croisa les jambes et joua avec l'interrupteur de ses doigts en fixant chaque personne.
Il ne prononça aucun mot pendant de longue minutes, faisant à chaque fois louper un battement de cœur, aux personnes devant lui, lorsqu'il faisait semblant d'appuyer sur le bouton.
C'est des talons, claquant le sol durement, qui fit se redresser toute les personnes de la salle.
Un homme au longs cheveu brun, coupé surement au carré, se posta derrière la chaise où Louis n'avait pas bougé d'un poil. Il était vêtu d'un costume noir et d'une chemise blanche, pour finir par une cravate rouge et des bottines noir vernis.
Il posa l'une de ses mains sur l'épaule du châtain et la pressa doucement avant de s'adresser aux personnes agenouiller devant Louis et lui.
___ (Fronce les sourcils) Bonsoir à toutes et à tous. (Pose ses deux mains sur les épaules de Louis qui ferma les yeux savourant ce petit contact) Je me présente, Harry et je suis ici pour vous Monsieur Carter. (Fixe l'homme qui fronca les sourcils) Vous êtes suspecté de trafique d'être humain et de détournement de fond. (Se place devant Louis qui ne voyait plus rien) Vous avez fait affaire avec plusieurs mafieux et vous leur devez maintenant des milliards- (Se retourne brusquement vers Louis qui lui sourit innocemment, chuchote) Merde Lou, attends qu'on soit à la maison, bonté divine! (Se reprend, se tourne vers les personnes à genoux) Je disais donc, vous devez à plusieurs personnes au placés, dont l'un et notre patron.
___ (Panique) Vous êtes fou! Je ne suis pas ce que vous avez décrit. Je suis un homme humble et-
___ (Roule des yeux, baille) Raah, ta gueule papy et avoue!
___ (Souffle, se tourne vers Louis) Louis s'il te plaît..
___ (Regarde Harry) Mais il saoule l'autre aussi à faire comme si de rien était.
Les deux amants se chamaillèrent en chuchotant, tout en élevant, parfois, la voix.
Monsieur Carter vit là une opportunité et fit un geste discret à l'un de ses hommes qui prit son arme.
On pouvait croire que tout allait se terminer. Que Louis et Harry allaient recevoir des balles dans la poitrine et que leurs âmes allaient se rendre au purgatoire, en attente de leur jugement. Souillés par les nombreux meurtres dont ils en sont l'auteurs, l'enfer était, irrévocablement pour eux, la seul place possible pour ces deux anges déchus.
Mais non.
Bien qu'ils étaient toujours en pleine petite dispute, Louis leva son bras, et pointa son arme vers l'homme. Et tout en continuant à agresser son copain, il appuya sur la détente.
L'homme se figea, les yeux ronds, et finit par tomber au sol dans un bruit sourd, le sang de Franck se répandit sur le sol en une grosse flaque rougeâtre.
La salle fut remplit de crit, de pleur, de respiration anormalement rapide ou même éteint.
___ ..Ouais bah j'ai quand même mon mot à dire là dessus. Bref. (Souffle, pousse Harry de son bras) Alors, qui avait crut pouvoir nous descendre ? Je veux son nom! (Regarde méchamment Mr Carter qui n'osait plus bouger) Accouche papy.
Monsieur Carter baissa la tête, il ne savait plus quoi faire, ces deux personnes vêtu de costumes sur mesure n'était pas de simple amateur, il en avait eu l'horrible confirmation juste à l'instant.
___ (Relève la tête, murmure) Il s'appellait Franck. Franck dick.
___ (Hausse un sourcil) Ah bah avec un nom de bite, il aurait pas pu vivre encore plus longtemps!
___ (Roule des yeux) Lou, tu les as pas fouillé ?
___ (Fait la moue) J'ai oublié. Je voulais tous les tuer et me barrer d'ici.
Harry leva les yeux au ciel et s'approcha des otages.
Il passa entre tout ce petit beau monde et revint avec plusieurs armes à feu, ainsi que plusieurs couteau.
___ (Pose le tout devant Louis, chuchote) J'ai tué les quelques gardes à l'arrière et devant la maison. (Regarde sa montre) On a 20minutes, Ansel viendra avec la Range et on pourra se barrer d'ici. (Regarde Louis) Par contre, je t'ai pas oublié pour avoir fait les yeux doux à miss blondie.. (Se penche vers l'oreille de Louis) Tu vas me le payer chaton.
Louis déglutit et se mordilla la lèvre.
Il souffla et finit par se relever, détaillant chaque personne.
Mais c'est lorsqu'il vit du coin de l'œil Monsieur Carter prendre l'arme de Franck qui baignait dans son sang, qu'il poussa Harry. Mais la balle finit sa route dans le bras gauche du brun.
Harry grimaça tout en posant une main sur sa blessure.
Il devait se ressaisir et arrêter Louis, car il savait que celui-ci allait péter un câble.
___ (Serre les dents, se rapproche de Louis) Lou, suit les ordres et-
C'était trop tard, Louis s'était rapproché de Monsieur Carter et lui avait prit l'arme en main. Tandis que les otages le regardait avec peur.
Il ne dit un seul mot, mais les traits de son visage montrait qu'il était très, très énervé.
Louis prit le bras de Monsieur Carter, le fit mettre debout jusqu'à la chaise et le fit s'asseoir sur celle ci.
Il essuya larme trempé de sang sur son pantalon de costume et se rapprocha de Carter.
___ (Pointe ses deux armes vers Carter) T'as voulu faire quoi là ? T'as crut t'étais en position d'avoir des droits ? (Rire mauvais, sourit grandement) T'as voulu tirer sur Harry ? Sur MON Harry ? Ah non non non. Ça ne marche pas comme ça. (Se tourne face aux otages) Ton acte de petit fils de pute va coûter la vie à toutes ces personnes.
___ (Écarquille les yeux, panique) Non non! Pardonnez moi! Je vous en prie, pardonnez moi, je-
___ (Réfléchit) Tu veux savoir comment j'ai rencontré Harry ? (Perdu dans ses pensés) C'était à nos 12ans, mais mon oncle n'aimait pas les personnes comme nous. Non non. Alors quand l'occasion se présentait, il nous frappait. (Regard sombre) Et tout comme toi, il avait enfoncé un morceau de métal dans le bras gauche de mon Harry.
___ (Panique, supplie) S'il vous plaît, je, je suis désolé-
___ (Regarde méchamment Carter) Fallait y réfléchir avant, papy.
Louis regarda ensuite la salle de son regard sombre et appuya sur la détente, les corps tombèrent tous un à un au sol, peignant d'un rouge écarlate la pièce.
Il souffla, fit tomber les armes à terre et en prit d'autre jusqu'à ne plus rester de corps vivant.
Harry lui, soupira et retira sa veste et sa cravate. Il l'enroula juste au dessous de la blessure et plaça sa veste là où la balle était toujours logé.
___ (Pose une main sur l'épaule de Louis) Ans' ne devrait pas tarder. Attache lui les mains dans le dos et sortons.
Louis resta immobile un instant, comme pour reprendre ses esprits et se rapprocha de Harry, inquiet.
___ Ça va ? Tu peux marcher ?
___ (Glousse) Lou, c'est au bras, pas aux jambes. (Roule des yeux, sourit) Dépêche toi de l'attacher, emprofite, il a l'air traumatisé le pauvre. (Pouffe)
___ (Dépose ses lèvres sur celles de Harry, sourit) Ok.
Louis attacha les mains de Carter avec une corde qui était enfoui dans sa poche et le prit par la nuque en l'emmenant dehors. Monsieur Carter se laissa complètement faire, tel un pantin.
5minutes plus tard, une énorme Range Rover noir fit son apparition dans l'allée.
Louis et Harry se précipitèrent vers le véhicule, le châtain jeta Carter à l'arrière, celui-ci grimaça et essaya de se redresser en s'asseyant sur la banquette.
Harry quant à lui, monta côté passager après avoir refermer la portière de Louis qui s'était mit à l'arrière, à côté de Monsieur Carter.
___ (Regarde dans le rétro viseur, sourit) La pêche a été bonne ce soir ? (Pouffe, démarre la voiture)
[Nda: Bon faite comme si c'était une Range Rover noir et qu'il faisait nuit mdrrffl.]
___ (S'étire) Tu parle! C'était pas amusant..mais le connard qui a tiré sur Harry est juste à côté de moi.. (Fixe Carter qui tremblait, sourire en coin, parle à voix basse) ..alors je peux t'assurer que je vais bien m'amuser ce soir.. (Se lèche les lèvres)
___ (Fronce les sourcils) Non, ce soir on dort. Tu pourras faire joujoux avec Carter demain matin si tu veux.
Louis fit la moue comme un enfant mais hocha la tête.
___ (Rit) On voit qui porte la culotte dans votre couple.
___ (Roule des yeux) Raah, ta gueule Ans' où je nous fait tous exploser.
Ansel rit tout en empruntant un chemin sous terrain, tandis que Harry sourit en secouant la tête.
Mais lorsqu'ils remarquèrent le silence de Louis, Ansel freina d'un coup, faisant voltigé Carter qui se retrouva avec le visage enfoui sur le dossier de Ansel. Il grimaça en sentant du sang couler de ses narines.
Ansel et Harry se tournèrent directement vers Louis qui n'avait pas bougé d'un poil, une jambe replié sur l'autre, les deux mains à plats à côté de ses hanches.
___ (Fronce les sourcils, regarde le torse de Louis où était posé les bombes) Me dit pas que ce sont des vrais ?! (Se tourne vers Harry) Je croyais que quand il faisait son petit numéro du Joker, il prenait des fausses bombes pour faire peur aux victimes ? (Panique)
___ (Roule des yeux, pose son regard sur Louis qui fit un petit sourire en coin, hausse le ton) C'est ce qui a toujours était convenu pour ne pas avoir d'accident et reproduire ce qu'il sait passé il y a 2ans! Louis, merde, j'avais dit pas de vrai bombe. Comment tu veux que je te fasse confiance dans nos missions si tu me désobéis. (Souffle)
___ (Se mord la lèvre, parle d'une petite voix) Sorry Daddy..
Malgré que Harry était agacé, il sourit et se mit à mordre sa lèvre inférieur en reluquant Louis de bas en haut.
___ (Fait des mouvements avec ses bras) Ewww, arrêtez avec vos trucs sexuelles là! Ces trucs sont interdit dans ma voiture.
___ (Roule des yeux, sourit) Tout le monde au boulot sait que t'as baisé avec Gwen la secrétaire il y a quelques jours..ici, dans ta voiture.
Harry et Louis se mirent alors à rire sous les joues rouges de leur collègue et ami, Ansel.
Après que Louis leur ai finalement dit que cela était de fausse bombe, ils reprirent la route, sous un Carter qui appréhendait beaucoup la suite des évènements et de son existence.
___ (Fixe la route, sourire en coin) Même que je l'ai prit en levrette sur ce siège. (Désigne d'un mouvement de tête la place de Harry)
Louis et Harry s'offusquèrent tout au long du trajet, sous le rire de Ansel, fier de sa blague..pas si blague que ça en fait.
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2h45, maison Styles-Tomlinson.
___ (Pose ses clés sur la commode) Voilà notre chez nous Monsieur Carter! (Sourit)
Harry roula des yeux en souriant sous l'air joyeux de Louis.
Il s'enfuit directement dans la salle de bain, tandis que Louis amenait Monsieur Carter au sous sol, en le tirant par le bras.
Arrivé au pied de l'escalier, Louis tira Carter dans un couloir sombre et le fit entrer dans une pièce. Il alluma les lumières, et la pièce se vit être éclairé de gros néon, où Carter pu voir que cela ressemblait à une pièce banal.
Les murs étaient blanc ainsi que le plafond. À gauche était posé une grande étagère où était disposé diverses livres et album de musique, qu'il ne pu cependant pas voir le nom des auteurs.
Il regarda à sa droite, et vit une commode en bois sombre avec sur le dessus un vase avec des roses rouges dedans et une platine juste à côté où reposé certains vinyle très anciens sur le rebord du meuble.
En soit, cela était limite une pièce de relaxation. La pièce était charmante, peu de meuble, aéré, propre et sentait la fleur.
Mais Monsieur Carter sentit sa respiration s'accélérer en regardant droit devant lui.
Plusieurs mobiliers principalement destinés au domaine chirurgical lui faisait face.
Son cœur rata un battement lorsqu'il aperçut plusieurs ustensiles eux aussi destinés à la médecine.
___ (Souffle, sourit) Pas mal hein. (Fait asseoir Carter sur le fauteuil, lui détache les mains) C'est moi tout seul qui ai aménagé la pièce. (Sourit)
Louis réagit rapidement lorsqu'il pressenti la futur attaque de Monsieur Carter qui s'était relevé et avait essayé d'étrangler le châtain.
Celui-ci lui fit directement une clé de bras en le plaquant au sol.
Louis se rapprocha de son oreille et dit d'une voix calme.
___ Ce qui est arrivé à ta baraque t'as pas suffit ? Tu veux me mettre vraiment hors de moi c'est ça ?
___ (Souffle) Lou, quand t'auras fini de faire mumuse avec Monsieur, j'aimerais bien que tu m'aide avec ça. (Fait un mouvement du menton vers son bras)
___ Oh! Oui oui, j'arrive toute suite amour. (Sourit)
Harry lui sourit en retour et partit dans leur chambre.
___ (Relève Carter, le fait s'asseoir de nouveau dans le fauteuil) Tu vas faire un gros dodo ici, et promit demain je te ramène un grand verre de lait. (Sourit, attache les poignets de Carter aux accoudoirs)
___ Vous êtes complètement malade! (Crit) AU SECOURS! AIDEZ MOI! (Regarde méchamment Louis) Allez vous faire foutre!
___ (Hausse un sourcils) C'est ce qu'on comptait faire avec Harry. (Sourit, éteint la lumière) Passez une très bonne nuit, Monsieur Carter. (Referme la porte)
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___ (Soupir, se mord la lèvre) Besoin d'aide ?
Harry lui offrit un petit sourire et se redressa un peu mieux sur son fauteuil.
Tandis qu'il se mettait à l'aise, Louis se rapprochait de lui avec quelques ustensiles médicales afin d'extraire la balle, ainsi qu'une bouteille d'alcool et une serviette.
___ (S'assoit sur les cuisses de Harry, concentré) Il a dit quoi Liam quand il a su que j'avais buté tout le monde ?
___ (Passe sa main libre autour de la taille de Louis, grimace) Rien. Je l'ai eu au téléphone quand t'étais partit mettre Carter dans sa nouvelle chambre. (Pouffe)
___ (Sourit, jette un regard vers Harry) Prêt ? (Fait couler l'alcool sur la blessure de Harry qui ferma les yeux) Désolé. (Grimace, enfile des gants, concentré) Donc, il n'a rien dit ? Bon, tant mieux alors.
___ (Fixe Louis qui était concentré dans sa tâche) Ouais..Lou, tu dois te calmer à l'avenir. Le plan était juste de ramener Carter ici et de le torturer pour qu'il nous livre les informations sur ses trafiques d'être humains, pas faire de son salon un bain de sang en tuant les autres invités. (Hausse le ton) Louis, regarde moi quand je te parle. (Soupir sous le regard noir de Louis) Ces personnes n'était pas censé mourir ce soir, t'imagine leur proche quand ils découvriront qu'ils ne sont plus de ce monde et que-
___ (Reprend sa tâche qui fit grimacer Harry) Je m'en fiche. (Extrait la balle) Voilà! (Sourit) Si ces personnes connaissait Carter, c'est qu'ils étaient pas aussi sain que ça, alors leur vie ici devait être exterminer.
___ (Pouffe) C'est un peu culotté de dire une tel chose sachant que tu n'es plus une personne sainte.. (Se mord la lèvre) T'es un meurtrier Louis. Tout comme moi d'ailleurs. (Souffle)
___ (Hausse les épaules) Un meurtrier sexy alors. (Bouge ses sourcils faisant rire Harry) Et puis, je suis calme dans nos missions.
___ (Fronce les sourcils) Pas quand cela me concerne. Dès qu'il s'agit de moi, tu sors de tes gonds! Ça me touche, vraiment mon cœur, mais..tu peux paraître vraiment..méchant quand tu es hors de toi.
___ (Pose ses mains sur les épaules de Harry, sourire en coin) Je te fais peur..?
___ (Rit) Change pas de sujet Lou. (Caresse la joue de Louis) Essais juste de, de te contrôler, tu pourrais faire une gaffe un de ces jours et c'est pas des livres qui seront sur les étagères de Liam mais nos têtes.
Louis fit la moue mais hocha la tête.
Il ressera un peu plus le bandage de Harry et se blottit contre lui tout en déposant de petit baiser dans son cou.
Le brun serra un peu plus sa taille de sa main libre et l'embrassa dans les cheveux. Il se perdit dans ses pensés en se demandant comment avaient ils pu en arriver à tuer des gens sous l'ordre de quelqu'un.
Pourtant, lui comme Louis, était des personnes aisé niveau fric, ils ne faisaient pas ça pour l'argent et les corps tués qui les rapportés gros lors d'une affaire.
Harry secoua la tête quand sa mémoire lui fit rejouer la scène du pourquoi du comment lui et Louis avait été embarqué là dedans.
Puis, sentant les douces lèvres du châtain sur son visage, il sourit, se remémorant de sa rencontre avec Louis qui fut banal.
___ (Prend une petite voix innocente) Alors..Daddy n'a pas apprécié mes petites œillades envers miss blondie ? (Roule lentement des hanches) Loulou mérite d'être affreusement puni.
Harry se lécha les lèvres, fixant le visage, à l'instant, innocent de Louis et rapprocha son visage du sien. Il ne l'embrassa pas de suite mais fit glisser ses lèvres sur le visage du châtain qui fit glisser ses mains dans les cheveux brun de Harry.
Il tira sur ses cheveux, faisant basculer la tête de Harry en arrière et l'embrassa.
Toujours en roulant des hanches, il fit glisser sa langue sur les lèvres du brun et finit par se glisser dans sa bouche.
Le baisé était doux, calme, presque lent et c'est ce qu'il leur fallait après une soirée comme celle ci où ils avaient prit la vie de 44 personnes. Carter étant la 45ème mais toujours en vie.
Mais..
Si Louis ne s'était pas comporté tel un Dieu, à qui tout lui réussissait, il aurait su que dans la fameuse demeure des Carter, se cachait un jeune homme du nom de Bill et qui n'était autre que le petit bâtard de Monsieur Carter.
Lorsque Bill, était sortit de sa chambre où on lui avait interdit d'en sortir avant la fin de la soirée, il avait cru s'évanouir en voyant tout ce sang dans la pièce de la maison de son père.
Il s'était cependant cacher lorsque des personnes habillé tout en blanc était venu 'nettoyer' la scène de crime dans un silence complet.
Bill Istvan Günther Skarsgård, âgé de seulement une vingtaine d'année, se sentit soudainement prit dans un tourbillon où il ne voulait que les têtes des personnes qui avait tué son père. Malgré qu'il n'aimait pas spécialement son paternel, il lui en était reconnaissant de l'avoir prit sous son aile lorsque sa mère, l'une des esclaves sexuelles de son trafique, s'était donné la mort quelques mois après sa venu au monde.
Bien que Monsieur Carter l'avait toujours cachés au monde, il ne le traité pas comme un chien et il lui en était reconnaissant. Il n'était qu'un gosse, il n'avait jamais su comment rendre son paternel fier de lui, qu'il l'aime comme un réel fils.
Mais à ce moment, il savait..il savait quoi faire pour mériter la reconnaissance de Carter.
Il allait retrouver ces personnes qui ont fait ce massacre et allé retrouver son père.
Assit dans son fauteuil en cuir, la maison dans laquel il y était posé appartenant à son paternel, Bill mima de ses doigts un revolver et brandit sa main devant lui en murmurant pour lui même :
___ (Perdu dans ses pensés) Game over.
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Durant les quelques jours qui ont suivit, Louis et Harry se doré la pilule dans l'un de leurs nombreuses villa.
Le lendemain du massacre chez Carter, Louis s'était empressé de sauter hors du lit et de faire la misère à Carter.
Sous les cris et parfois les pleurs de sa victime, Louis lui avait d'abord fait de nombreuse petite coupure sur tout le visage.
Selon lui, Monsieur Carter était quelqu'un de vraiment pâle et qu'il se devait de lui ajouter de la couleur sur tout son corps.
C'est ainsi, qu'il avait posé sa lame sur le plateau en acier et avait prit une batte de baseball posé à côté de la commode.
Il avait essayé de soutirer le plus d'information possible à Carter mais comme celui ci n'avait pas voulut coopéré, Louis lui avait alors sourit, mit un vinyle sur la platine, les voix d'Olivia Newton et de John Travolta remplir la pièce, tandis que Louis commencé a frappé Monsieur Carter dans les côtes tout en chantonnant.
[Nda: Musique: You're the one and i want tiré du film culte Grease.]
Monsieur Carter criait, appelait à l'aide, en vain. La pièce étant insonorisée, personne n'aurait pu se douter que dans cette grande maison luxueuse, un homme était en train de torturer un autre, qui lui était assit et attaché sur une chaise conçu principalement pour le domaine médicale.
___ (S'essuie d'un revers de main le front) Toujours pas décidés à nous dire la planque de ton trafique ?
___ (Essouflé, regard noir) Allez vous faire foutre toi et ton copain la tafiole!
Cet petite 'insulte' fit juste rouler les yeux de Louis qui soupira en regardant Carter se tortiller sur sa chaise, en quête d'en sortir.
Il se rapprocha de lui et remit ses gants, après avoir posé la bate au sol. Il prit une nouvelle lame un peu plus petite, et l'a fit glisser le long de la mâchoire de Monsieur Carter qui retint sa respiration.
___ (Fixe le coin des lèvres de Carter, chuchote) Alors..et si je colorer encore un peu plus ce visage si laid.. (Fait glisser la lame sur les lèvres de Carter) À chaque fois que vous refuserez de parler, je vous ferais un énorme sourire! (Sourit grandement)
___ (Fronce les sourcils, crit) Vous êtes complètement fou! Vous brûlerez en enfer!
___ (Pose la lame sur le coin des lèvres de Carter, calme) Oh mais pour se rendre en enfer il faut avoir une âme papy.. (Presse la lame sur la peau de Carter qui grimaça) ..et moi je n'en ai pas.
Louis continua de tracé à l'aide de sa lame une courbe sur la peau de Carter, allant du coin des lèvres, pour finir par remonter sur ses pommettes.
Il fit pareil de l'autre côté et sourit en regardant son chef d'œuvre.
___ Il faut toujours sourire! Sourire rend les gens beaux. (Glousse) Mais vous vous êtes un cas à part, la laideur règne en maître sur vous.
Après ça, il avait eu les informations qu'il souhaitait et toujours pas satisfait du sort de Carter, Louis lui avait retenu la langue avec une pince et de son autre main, le lui avait coupé. Il avait sourit sous le regard en larme de Monsieur Carter qui se mélangeait avec le sang sur son visage en un rose claire.
Louis était satisfait. Il avait mit de la couleur sur cet humain autant sale à l'extérieur qu'à l'intérieur.
Après avoir tout enregistré, il fit par de tout ça à Harry qui appela directement leur boss, Liam, qui ordonna à ses hommes de venir chercher Monsieur Carter, le visage défiguré et les côtes surement cassés.
Harry peinait à guérir de sa blessure, il ne le montrait pas à Louis pour ne pas qu'il s'inquiète et ne tue directement Carter mais il souffrait de ça.
À cause de leur 'métier' ils ne pouvaient pas se permettre d'aller à un hôpital quelconque.
Bien que la plupart des policiers savait pour les magouilles de Liam Payne, et était de son côté, Liam étant l'un des hommes les plus puissants de la terre. Louis et Harry ne pouvait décidément pas se faire prendre en charge à un hôpital pour une blessure par balle. Bon, ils ne voulaient surtout pas faire part de ceci à leur patron qui l'ai penserait inapte à faire partie de son équipe, ayant été blessé.
Louis avait cependant remarqué le silence de son copain et avait directement fait le rapprochement avec sa blessure.
Il n'avait rien dit et avait poussé Harry à partir quelques jours dans leur villa se situant près de la mer, même si celle ci disposait d'une énorme piscine.
Les deux amoureux était actuellement sur des transats, Louis voulant un bronzage parfait, tandis que Harry s'était mit sous un grand parasol qui lui cachait du soleil et ainsi de sa blessure.
___ (Soupir d'aise) Ça fait pas de mal un petit week end ici, loin de tout.. (Pose ses lunettes de soleil sur le haut de sa tête, fixe Harry) Tu fais quoi ?
___ (Concentré sur son MacBook) Rien. (Fronce les sourcils) Je sais que t'es bon en calcul, mais tu es sur d'en avoir compté 45 la dernière fois chez Carter ? (Pose son regard sur Louis qui se redressa, s'approchant de lui)
___ (S'assoit à côté de Harry qui lui fit une petite place) Ben oui, pourquoi ? (Fronce les sourcils)
Harry ne savait si il devait dire à Louis qu'il avait fait des recherches sur la famille Carter et qu'il avait découvert que celui-ci avait eu un enfant caché avec l'une de ses nombreuses esclaves sexuelles.
Il ne voulait pas lui mentir, mais il ne voulait non plus pas l'inquiéter.
Le brun souffla, et ferma son appareil, le posant au sol qui fit hausser un sourcils à Louis.
___ (Incite Louis à s'assoir entre ses jambes) Pour rien. (Embrasse le front de Louis qui se blottit contre lui)
Les deux amoureux se blottirent dans les bras de l'autre et pris d'une énorme fatigue, ferme un instant les yeux qui les firent directement emmener dans le monde des rêves.
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Après leur réveil, Louis s'était proposé à prendre un bon dîner pour lui et son chéri dans leur restaurant préféré qui se trouvait à 20minutes de leur villa. Harry étant par la suite partit se recoucher dans leur chambre.
Tout content, il passa la porte de leur chez soi avec des sacs de nourriture et une bouteille de vin rouge et les posa sur le plan de travail en appelant son Harry.
___ Je suis rentré!
Louis n'était pas si inquiet que ça, il pensait juste que Harry était toujours fatigué et qu'il dormait.
Alors, il haussa simplement des épaules et disposa le repas sur la table à manger.
Mais..l'intuition de Louis le fit se redresser et il marcha d'un pas rapide vers leur chambre.
La panique s'infiltrant dans tout son corps, il prit le revolver qu'il cachait toujours dans son dos, coincé dans sa ceinture et avança un peu plus rapidement vers la pièce.
Avant d'entrer dans la chambre, il scruta rapidement les alentours, vérifiant qu'il n'y ai pas eu d'infraction. Il souffla en ne voyant rien d'anormal et rit nerveusement avant d'ouvrir la porte.
Cependant, il s'immobilisa en voyant la pièce sans dessus dessous. Les meubles étaient tous au sol, tout comme leurs vêtements, les draps, les oreillers..le sang de Louis ne fit qu'un tour lorsqu'il vit des gouttes de sang de part et d'autre du matelat et une corde, elle aussi taché de sang, au pied du lit.
Extérieurement, Louis semblait très calme. Son regard était neutre et n'exprimait pas de sentiment.
Mais intérieurement, Louis essayait tant bien que mal de réfréner ses envies de meurtre et de couper la tête de celui ou ceux qui a enlever son Harry.
Si ça ne tenait qu'à lui et son côté incontrôlable quand on touchait à son chéri, Louis aurait surement mit le feu à leur villa sous la colère ou aurait appelé Liam pour lui livrer Monsieur Carter et le torturer une fois de plus dans sa salle, évacuant sa rage et sa colère en brisant définitivement les côtes de Carter, peut-être même lui ouvrir les veines sous une musique douce qu'il aurait préalablement mis, sous les cris de douleurs de Carter. Enfin, plutôt ses gémissements vu sa langue coupé.
À la place, il vérifia de fond en comble la villa, cherchant un indice lui permettant de savoir si cela n'était qu'un simple cambriolage qui aurait mal tourné ou réellement un kidnapping.
Son portable émit une petite sonnerie et lorsqu'il décrocha hâtivement après avoir vu que le destinataire n'était autre que son Harry, sa respiration se coupa lorsqu'une voix grave lui dit cette simple petite phrase, les gémissements de douleurs de Harry en arrière plan.
' Game..over..Lou..is.. '
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5716 mots.
Fin.
Harry se voit être kidnappé durant 20ans avant de mourir de mal nutrition, Louis se noit dans l'alcool et meurt lui aussi..
MMdrrlrlf
J'plaisante! La 2ème partie est pour demain soir! Mdrrrr
Bill Skarsgård fait partie de ma liste d'homme à qui j'aimerais bien lécher le biceps! 😯😯😌
Dans cet os, il était parfait pour être le méchant, mais je l'aime vraiment beaucoup beaucoup! 😳😊
J'espère que vous avez aimé cette première partie ? 🤔
Vous l'aurez compris, tout comme le Joker sur la raison de son sourire (ses cicatrices), y'a un petit mystère sur la rencontre de L et H..!
Et qui ne sera jamais révélé..🤔
À demain..😌
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