Je me retrouve seule, toute seule sans personne avec qui confier ma solitude. Seule, pourquoi rien qu'en pensant a se mot je suis déjà horrifier. Pourquoi je me retrouve seule face a tout mes problème. Pourquoi tout ces malheurs ne s'abattent que sur moi et toujours sur moi ! Pourquoi suis-je la cible de tout sauf du bonheur. Et pourquoi n'y a t'il personne pour me réconforter. Pourquoi ??

C'était il y a deux semaines environ que tout a commencer. Je rentrais tranquillement du collège et tout allais bien. Une fois chez moi je vit que mon chien n'allait pas très bien alors je l'ai tout de suite signaler a mes parents. Ils m'ont dit qu'ils l'avait déjà remarquer et que ce n'était rien de grave. Enfin une semaine après mon chien n'allait toujours pas bien donc nous avions décider de l'amener chez le vétérinaire. Après une demi heure d'attente le vétérinaire nous annonça qu'il n'y avait aucun remède pour Comète. Alors mes parents prirent la décision de le piquer mais et moi ! Moi je me retrouvais toute seule dans cette histoire. Car Comète était mon seul ami depuis la trahison de mon ancienne meilleure amie. Car et oui la mort de mon chien n'a pas été mon seul problème dans cette semaine. J'avais une meilleure amie a qui je disait tout et a qui je faisait entièrement confiance. Je lui disait même mais amour secret. Mais quand deux amies tombent amoureuse du même garçon, il y a un problème. Mais le pire c'est quand je lui ai annoncé que j'allais dévoilé mes sentiments à mon amour secret. Elle est partis et s'est diriger vers lui. Et bien évidement elle lui a demander de sortir avec lui et lui....il a accepter😟. Pourquoi à telle fait sa quand je devais lui dévoiler mes sentiments. Je n'aurai jamais du lui dire mais j'avais confiance en elle. Maintenant je suis vraiment seule,  sans personne sauf mes parents. Et heureusement qu'ils sont toujours là pour moi car sinon je ne sais pas comment je ferai. Je me retrouverais seule, toute seule sans personne avec qui je pourrai faire pars de ma tristesse. Je suis contente de la partager avec eux plutôt que le vent.

Mais le fiasco arriva. Nous allions tous les trois à Annecy faire les magasins et aussi passer mon concours de chant. Et pour me faire plaisir mon papa emprunta des chemins vraiment très jolies mais plutôt dangereux. Nous avons soudains  croisés une voiture qu'il allait plutôt vite pour cette route et que nous ne pouvions pas éviter. Heureusement mon papa a réussi mais par la suite la voiture est tomber dans le vide. J'entendis la voiture se cogner partout en roulant dans tout les sens. Je ne savais ou nous étions et je m'en fichait car tout se qui importait c'était que l'on survivent ensembles. La voiture s'arrêta soudain et le temps que je reprenne mes esprits je me rendit compte que nous étions au bord d'un autre vide  ou nous allions retomber. Je sortis donc en précipitation de la voiture. J'entendis alors ma mère m'appeler et appeler mon papa. Mais j'étais là seule des deux sortit de la voiture. Mon papa était toujours coincés et n'arrivait pas à sortir. Il me disait à moi et maman de partir mais nous ne l'avons pas écouter. Maman esseyais temps bien que mal de le sortir de la mais cela était sans succès.La voiture penchait de plus en plus et se mire à tomber mais ma mère était toujours accrocher à mon papa. Et malheureusement il tombèrent tout deux.....dans le vide. 

Par la suite on me mirent dans un orphelinat. Mais moi je ne souhaitais pas y rester. Je voulais partir de la mais pour aller ou ? Je n'avais plus personne chez qui aller et surtout avec qui partager ma tristesse. Je ne voulais pas continuer comme sa. Je prire donc une décision  très importante pour mon avenir. Que je ne continuerais pas comme sa. Alors une fois à l'école je monta sur le toit et pris mon courage à demain. Je voulais rejoindre mes parents. Alors le vent me porta jusqu'au sol. Mais je sentait la douleur se propager en moi car moi souhait n'était pas complet. Une ambulance arriva mais je tombas  dans les pommes.

Voilà où j'en suis maintenant. Je suis dans un lit blanc, recouverte de bandages et brancher à des machines respiratoires. Mais mon souhait n'était pas celui de souffrir, au contraire. J'entendis alors mes parents m'appeler en me disant de ne pas les rejoindres mais pourtant mon choix était déjà fait. J'en leva les machines branchées sur moi et après plus rien. Appart les "bip" affolers des machines et les infirmières se précipiter vers moi en courants. Mais sinon rien tout s'écroule et je ne ressentait plus la douleur causer par tout ces malheurs. Sans vouloir être trop optimiste, j'étais enfin heureuse.