La vie. A quoi sert-elle ? D'après moi, a rien. Il y en a pour qui c'est facile et a qui tout réussi. Mais d'autre souffre et a qui tout est  un échec. Bien évidement je fais partie du deuxième cas. Pourquoi moi ? J'ai l'impression que tout le monde a une vie parfaite sauf moi. Et tout sa a cause de quoi ! Une seule et insignifiante différence. Pour moi ce n'est rien, mais pour les autres...c'est l'apocalypse. Il ne veulent pas être ami avec une personne tels que moi. Elena 12 ans mais aveugle. Je ne vois strictement rien. Je ne suis pas myope ou quoi. Non ! je suis aveugle. Les personnes de mon collège me regarde de travers. Vous vous dites surement mais comment fait-elle puisqu'elle ne voit rien. Et bien c'est très simple je le ressens. Quand un mauvais regard est posé sur moi je le sent au fond de moi. Au plus profond de mon être.

Voilà pourquoi aujourd'hui je n'est toujours pas d'ami. J'ai une famille mais qui ne m'aide jamais. Je  suis même sur qu'il ne sont pas au courant de mon handicap. C'est a peine si il sont au courant qu'ils ont une fille. Je me dit souvent que se serai bête de tous laisser tomber pour si peu mais souvent sa ne dure pas longtemps. Chaque nuit j'espère faire un rêve plutôt qu'un cauchemar. Et chaque matin je me réveille en me disant qu'un miracle est peu être arriver pendant la nuit. Que se miracle m'aurait fait retrouver la vue. Et qu'un des sentiment que je n'est jamais vécue aurait pu apparaitre. Mais non. C'est aujourd'hui que j'ai souhaiter faire un choix. Même si dans ma tête il n'y en a qu'un seul possible. Mais pour cette fois il va être réaliser. Mes parents auront plus d'argent pour eux et les gens du collège n'auront plus de souffre douleur. Il suffit d'une seule chose. J'attrape donc mon bâton et me lève de mon lit. J'ai froid. Nous sommes en hiver do,nc dehors se sera encore pire. Je m'approche de ma porte fenêtre a taton. Je finis par l'atteindre. Je souffle un bon coup, il faut que j'en est le courage.  Je finis par l'ouvrir après 5min de réflexion. Je m'approche du balcon. Il faut super froid. Je sent le vent porter mes cheveux. C'est la dernière fois que sa arrive. Je pose mon bâton sur le sol et m'agrippe a la rambarde. J'aimerais tant pouvoir admirer le paysage. Mon coeur se sert. Je n'ai jamais vu le visage de mes parents, ni la mer ou encore la montagne. Je n'est jamais vu le visage de mes professeurs ou encore de mon frère. Je ne veux plus me référer qu'a la voix. Je veux pouvoir avoir la vue !

Je me pousse et m'assois sur la barrière. Je tend les bras et respire l'air profondément. Je ne sais pas ou je suis n'y combien de mettre il y a en dessous de moi. Mais tant pis. Je pend mon élan et tombe dans le vide. La tête la première le vent me frotte a toute vitesse. Je revoie ma misérable vie devant les yeux. Je pense que c'était le meilleur choix. Adieu la vie et adieu le destin !