Cornelis Benshmar

"Bienvenue dans ta nouvelle maison, je m'appelle Cornelis mais tu peux m'appeler Coco. Je peux te faire un câlin de bienvenue ?"

Cornelis Benshmar

Membre du gang des NoName

31 ans | 1m70 | Autrichien | Trafiquant d'enfants

Don: Ne possède pas encore de don à l'instar du reste du gang

Sa profession pourrait en effrayer plus d'un et pourtant Cornelis n'a ni la carrure ni l'autorité des autres gérants du gang. Enfantin, puéril et immature, Cornelis s'avère être un homme des plus affectueux envers les enfants qu'il héberge dans un présumé "orphelinat". Jamais Ô grand jamais Cornelis ne forcerait un adolescent ni même un enfant à entretenir un rapport avec lui, non. Cornelis veille à ce que ses "amis" se prêtent au jeu volontier dans le joie et la bonne humeur. Ses gestes paraissent hasardeux, souvent insouciants si bien qu'il est difficile de comprendre au premier coup d'œil, qu'il possède un réel problème.

"On joue au docteur si tu veux ? Regarde, tu dois me déshabiller, prendre ma température et vérifier que je n'ai rien.. Je suis peut-être blessé derrière.. Tu peux regarder s'il te plaît ?"

Étrangement les enfants l'apprécient en général, il faut dire que le bleuté se démène dans l'espoir d'être aimé par les plus méfiants. Cornelis leur offre une vie des plus appréciables malgré ses vices, et ce, jusqu'à ce que les enfants soient achetés. Atteint du syndrome de Peter Pan le trafiquant semble digérer assez mal le fait d'être adulte, il affirme par ailleurs se sentir plus en harmonie avec les enfants et les adolescents. Les adultes représentent à ses yeux une grande menace dont il essaie de préserver ses "enfants". Selon Cornelis une fois adulte, les humains perdent leur part d'insouciance face un monde qui n'a rien de candide et la réalité souvent fataliste les emmène à forcément changer.

"Je ne suis pas un adulte comme les autres, je préfère rester avec toi plutôt qu'avec eux. Ils sont si ennuyants.. Et effrayants."

Sa personnalité douce et attentionnée fait de lui un homme adulé par les plus jeunes qui pensent se trouver dans un orphelinat et non un commerce macabre. Cornelis a tendance à s'accrocher énormément à ses protégés, développant même fréquemment des sentiments à leur égare. Chaque départ s'avère être une source de stresse pour le jeune homme qui essaie parfois de repousser les ventes malgré les réclamations de son supérieur ou de la clientèle.

"Zelo, Émile est malade aujourd'hui il ne pourra pas partir. Il reste encore un peu, mh ? S'il te plaît... Ça fait une semaine qu'il est démoralisé à l'idée de partir."

Dans toute son irrationalité, Cornelis ne souhaite en aucun cas être le "donneur" dans un rapport mais plutôt le "receveur". Ses relations au début platoniques, commencent dès 5 ans jusqu'à la majorité. Au delà de cet âge Cornelis estime qu'ils ne sont plus des enfants et donc.. Des adultes. Le monde des grands l'effraie à un point qu'il peine à fréquenter des gens de son âge sans se sentir vulnérable voir en danger. Ce sentiment est dû à un traumatisme infantile dont il n'a même pas conscience, celle d'un abus arrivé bien trop tôt pour qu'il puisse s'en souvenir. À son sens les adultes sont forcément virulents et incapables d'aimer aussi fort que lui aime ses "enfants".

"Je t'aime je ne veux pas que tu quittes la maison.. Mais je n'ai pas le choix. Ce sont les décisions des grands. Avant de partir promets-moi de ne jamais... Jamais leur faire confiance. Fais attention à toi."

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