Child Of Pain

(Nda: Je l'ai pas encore corrigé. C'est pour que les abos decouvrent l'histoire de Child que je le publie tout de suite)

C'est dans un petit quartier de la ville de Springfield (NDA: Non c'est pas la ville des simpson c'est juste un petit clin d'oeil mais ça n'a rien à voir)
Qu'une série de meurtres a eu lieu. Les autorités recherchent activement un jeune garçon de 17 ans, nommé Randy Miller (NDA: Son nom est un clin d'oeil à la pasta de jeff). En effet, le jeune garçon serait le suspect principal dans cette affaire. Les premiers meurtre se sont déroulés dans sa maison.

On aurait apparemment retrouvé sa mère baignant dans le sang et couverte de bleus.
Elle serait morte dû à un traumatisme crânien.

Son père fût retrouvé mort dans le salon pas très loin de la mère. Il s'était fait planter de façon si sauvage, que la police scientifique a eu du mal à l'identifier.

D'après la zone de ces meurtres à répétition, il serait apparemment en ville. Restez cloîtrés chez vous, n'ouvrez à personne, et ne sortez pas seul(e) le soir, sous aucun prétexte. Il n'a pour l'instant laissé aucune victime s'échapper. on peut retrouver sur les scènes de crime, un message peint sur le mur avec le sang de ses victimes. "my life is nothing but suffering and violence, yours is foolish, you are filths that make suffer but i was born to make you suffer, i'm child of pain" (NDA: MADE BY GOOGLE TRAD XD) traduit par "ma vie n'est que souffrance et violence, la votre est idiote, vous êtes des saloperies qui font souffrir mais je suis née pour vous faire souffrir, je suis l'enfant de la souffrance"

C'est quelques mois avant que la série de meurtres se produisent, que vit un jeune garçon avec sa mère et son père. (attention cliché pas cliché vu que vous allez voir) Le père battait la mère de ce garçon, mais il ne battait plus le jeune garçon depuis que ce dernier s'était retourné contre lui et l'avait envoyé à l'hôpital sans remords. Il fut placé en asile suite à cela. mais il en sorti peu après, quand les psys virent qu'il n'était pas perturbé. Randy était un jeune garçon avec de beaux cheveux blond, un teint pas trop pale mais pas bronzé non plus, et il n'était ni mince ni gros, juste très grand. À part ses 2m05, il était un garçon banal.... À l'extérieur du moins. À l'intérieur, il était..... Spécial, depuis petit il s'en était rendu compte, il a toujours été très intelligent, son QI était de 200, il était très intelligent, assez intelligent pour garder un lourd fardeau, un secret qu'il ne pouvait révéler à personne, il n'a jamais rien ressenti aussi loin qu'il se souvienne.

il ne ressentait pas d'émotions à part la tristesse, il n'aimait personne à part sa mère qu'il aimait plus que tout. Randy était ce que l'on appelle, un psychopathe. Ce qui était étrange, c'est qu'il n'hésite pas à aider les autres. On dit que les psychopathes n'ont pas de valeurs, et bien c'était donc le premier à en avoir. Petit, il se faisait harceler, il a tenté de se contrôler, mais en vain. Il faillit tuer plusieurs personnes de collèges alors qu'il n'était qu'en CP, à main nues. Heureusement que le professeur de sport était là pour arrêter ce massacre, car sinon, cela aurait pu mal finir.

À l'age de 7 ans, il savait déjà qu'il avait des pulsions meurtrières, d'horribles pulsions meurtrières, une soif de sang et de mort incontrôlables. Mais il ne pouvait pas faire ça, cela aurait fait de lui ce qu'il était réellement. Il s'était aussi rendu compte très tôt que la société était pourris et corrompue de l'intérieur, dès l'âge de la raison. Randy a maintenant 17 ans, il avait grandis dans la violence, mais s'accrochait à la vie. Que ferait sa pauvre mère si Randy venait à mourir suicidé.

Le garçon, en plus de sa maladie mentale et son QI très élevé, avait une autre particularité, depuis sa naissance, ses pupilles étaient d'un gris blanc presque transparent. C'était la principale arme de son père pour l'insulter.

-Randy? Mon beau il est l'heure de se réveiller...

fit une douce voix en caressant tendrement le visage de Randy. Le jeune garçon ouvrit doucement ses yeux incolores, et vit sa mère, Lisa. C'était une jeune femme, dans la trentaine, pas plus. elle avait de légères pattes d'oie au niveau des yeux mais ce n'était pas très visible, à part cela elle n'avait pas de rides. Elle avait de beaux cheveux blonds, lui arrivant un peu en dessous des épaules, et des yeux d'un vert éclatant. Une frange tombait sur son œil gauche, mais cela n'empêcha pas la mère de Randy voir la petite mine qu'avait son fils.

-Bonjour maman.

dit faiblement le garçon blond pas tout à fait réveillé. Randy avait de grosses cernes sous les yeux, et il était anormalement blanc. Sa mère mis sa main sur le front de son fils pour voir s'il avait de la fièvre.

-Dieux du ciel! tu es brûlant. Je vais prévenir l'école que tu ne peux pas venir aujourd'hui.

S'exclama sa mère en regardant son fils inquiète.

-L'autre abruti qui me sert de père ne sera pas d'accord avec ça...

rétorqua le jeune blond en regardant sa mère dans les yeux. Lisa écarquilla les yeux et couvrit la bouche de son fils pour le faire taire. elle lui chuchota:

-Chhhht ne dis pas ça si fort il pourrait t'entendre...

Randy leva les yeux aux ciel, avant de soupirer et de faire signe à sa mère qu'elle pouvait retirer sa main en acquiesçant d'un signe affirmatif de la tête. Sa mère lui fit un tendre sourire avant de quitter la pièce. Randy ferma les yeux et tenta de se rendormir, quand il entendit une voix d'homme crier. De lourds pas se faisaient entendre et s'approchaient de la chambre du garçon malade. Le garçon ne tarda pas à voir sa porte en bois s'ouvrir violemment, laissant apparaître un homme qui devait avoir dans les trente-cinq, quarante ans. il avait des pattes d'oie bien visible contrairement à sa mère, des rides sur le front, et une barbe mal rasée. Il avait un regard colérique.

-Debout sale fainéant! Etre malade n'est pas une excuse pour ne pas aller en cours, même avec cinquante degrés, tu irais en cours.

dit l'homme d'une voix pleine de dégoût et de rage. Randy le regarda avant de se lever et lui rétorqua sèchement.

-Si j'étais à cinquante degrés de fièvre je serait mort, inculte. tu ne sais même pas ça toi qui est soit-disant supérieur à moi?

l'homme serra les poings, et se retint de lui envoyer une claque sachant que son fils était très fort au combat.

-Maudit soit l'homme qui t'a appris ton kung-ju-ji chai pas quelle connerie de combat asiat'! J'aurais déjà brisé mon poing sur ta sale petite tête de mioche, Maudit sois-tu toi et tes yeux du démon.

Lui répondit son père, avant de partir en claquant la porte.

-C'est du MMA et du kung-fu abruti!

Randy quitta le drap qui lui servait de matelas et mis son pull qui lui servait de couette, sur le rebords de la fenêtre. il dormait à même le sol, avec seulement un drap pour le séparer du sol froid de sa chambre. Il avait un pull en guise couverture, et son sac de cours comme oreiller. Il enfila des habits qu'il avait volé au marché la veille. Un T-shirt blanc, une veste noire, un jean noir, et des chaussures Nike montantes noires et blanches. Pourquoi les avait-il volé? Parce que son père ne lui achetait pas de vêtements. Il était obligé de les voler au marché.

Il pris son sac et sorti pour aller jusqu'à son lycée. Randy tenait difficilement debout à cause de la fièvre. Il y avait des hommes qui étaient sur un chantier. en plus du bruit des machines, ils criaient comme pas possible.

-Tss... Déjà que leurs machines font un boucan infernales, ils sont obligés de faire encore plus de bruit en gueulant comme si leurs vies étaient en danger.

Se dit le jeune blondinet au regard pâle et transparent. Il n'aimait pas les endroits trop bruyants, il adorait le calme, et le silence. Il sentit une puissante envie de meurtre envers ces gens, ça lui faisait une sensation de brûlure à l'intérieur de son ventre, comme si quelque chose essayait d'en sortir. Ça lui faisait mal, mais pas vraiment comme une réelle, cela venait du ventre mais c'est son cœur qui lui faisait mal, comme si son corps entier lui ordonnait de tuer mais qu'il ne voulait pas. Il luttait contre ses propres pulsions difficilement, et se dirigea à nouveau vers le lycée pendant que son corps lui demandait de tuer chaque personnes qu'il croisait pendant le trajet.

Une fois au lycée, il se dirigea vers la salle où il avait cours. Il marchait seul dans le couloir, voyant des groupes d'amis parler entre eux, mais lui, il n'en avait pas d'amis. À quoi bon se lier d'amitié avec une personne pour qu'à la fin de l'année, elle le lui parle plus. Malgré cette pensé rationnelle, il se sentait seul. Un chien ou un chat comme ami pourrait lui faire le plus grand bien. Il entendit soudain des cris, et se dirigea vers ces derniers. Il vit un garçon de terminale ES, frapper un élève de sixième. Il, mis sa main sur l'épaule du garçon de terminale.

-Hey, qu'est-ce qu'il se passe ici?

demanda Randy. En guise de réponse, le terminale poussa Randy au sol.

-Dégage de là si tu veux pas finir pareil.

Le blondinet se releva, et sentit à nouveau cette sensation, ces pulsions de meurtre. Il les ignora et tapota à nouveau l'épaule du garçon.

-EH. Retournes-toi pauvre tâche.

Le garçon se retourna vivement et lui lança un regard menaçant.

-Pardon?! J'ai cru avoir entendu "pauvre tâche", j'ai du mal entendre.

-Alors tu as bien entendu.

Provoqua Randy en le regardant avec envie de meurtre. Le terminal mis un coup de poing à Randy, mais le blondinet stoppa le coup d'une main, et fit une clé de bras au garçon de terminal avant de lui asséner un chasser dans le dos. L'agresseur se heurta au mur. Il regarda Randy avec colère, et retenta de lui asséner un coup de poing à nouveau. Randy évita le coup en faisant un pas sur le côté, et lui mis un coup de paume dans les côtes, avant de balayer ses jambes.

-Enculé !

S'exclama le terminal en regardant Randy avec un regard de mort. Ce dernier s'approcha lentement et regarda l'agresseur d'un regard menaçant. Il mis un coup de pied dans la tête du terminal, brisant son nez et sa mâchoire. Le choc avait mis le terminal K.O sur le coup, le sang avait giclé partout dans le couloir, il y en avait sur les murs et sur le sol. Randy s'accroupi au niveau du terminal et mis ses mains à son cou. Il se mis à étrangler le garçon K.O, mais le petit garçon tapota l'épaule de Randy.

-Arrêtez s'il vous plaît, je vous remercie de m'avoir aidé, mais si vous le tuez vous allez avoir des ennuis.

Randy ne fit même pas attention à lui, et continua, son regard était vide d'expression, l'envie de tuer avait pris le dessus.

-Qu'est-ce qu'il se passe ici?!

Intervint une voix féminine et stricte. Randy lâcha le garçon et se releva brusquement. C'était la principale du Lycée/collège, Madame Sanchez, elle avait des rides partout sur le visages, elle devait avoir la cinquantaine facile. Madame Sanchez portait un pull rouge en laine, une longue robe blanche à fleurs jaunes. elle dévisagea Randy derrière ses lunettes. son regard se porta alors sur le garçon couché au sol, elle se précipita vers lui quand elle vis dans quel état il était.

-Randy Miller! qu'avez-vous faits?! Dans mon bureau et que ça saute! Je veux que quand je revienne de l'infirmerie, vous soyez tous les deux dans mon bureau!

Cria la femme d'une voix stricte et autoritaire. Le garçon de sixième coupa la principale.

-Madame siou plaît, ne lui attirez pas d'ennuis, il m'a simplement défendu de ce garçon qui me frappait, il voulait mon argent, mais ce garçon est arrivé, il a voulu lui parler, mais l'autre l'a poussé en lui disant que si il ne s'en allait pas, il allait subir le même sort que moi!

La principale avait l'air de réfléchir, mais un homme, un surveillant qui arrivait en courant, la coupa dans sa réflexion.

-Madame Sanchez! Madame Sanchez! C'est urgent!

la principale se retourna et vit l'homme exténué.

-Quoi encore?

-C'est... C'est Lahoussine, il a remis ça, mais cette fois il a carrément envoyé Malik Smith à l'hôpital, parce que soit disant, Malik Smith agressait une jeune fille. (NDA: Petit clin d'oeil à Masked x Reader pour continuer dans les clins d'oeil)

Dit-il entre deux temps de respiration. La principale confia le garçon de terminal au pion.

-Emmenez-le à l'infirmerie, je vais avoir une petite discutions tout à l'heure avec lui et ses parents à propos du contrat qu'il a signé de toutes façon.

elle se tourna vers Randy et le sixième, et repris.

-Vous deux, je vous veux dans mon bureau après ce cours.

Les deux acquiescèrent d'un mouvement de la tête. Le garçon leva les yeux vers Randy.

-Merci beaucoup de m'a-...

Il se stoppa net quand il vit les yeux de ce dernier avant de reprendre.

-Excuse-moi mais, tu sais que les lentilles ne sont pas autorisées ici? Comment tu fais pour avoir les pupilles gris clair limite transparentes sans que les profs ne te sermonnent?

Randy le regarda et soupira.

-C'est pas des lentilles, c'est une maladie unique, il n'y a que moi qui l'ai...

Répondit froidement le blondinet. Le sixième continua de fixer les yeux du blondinet, ce qui rendait Randy très mal à l'aise.

-C'est trop cool! D'un côté ça te rends unique mais en plus ça te donne un air badass!

S'exclama le sixième avec des étoiles dans les yeux. Randy ne s'attendait pas à cela, d'habitude, les gens sont plutôt effrayés en voyant ses yeux, pour la première fois, quelqu'un parlait de ses yeux en bien et non en mal. Il bégaya un peu n'étant pas habitué aux compliments surtout par rapport à ses yeux.

-M-Merci... J-Je dois aller en cours maintenant.

Dit-il en s'en allant. Il n'était pas du tout habitué à parler avec d'autres personnes que sa mère. Il marchait dans les couloirs et arriva jusqu'à sa salle de cours. Il toqua avant d'entrer.

-Randy, tu es en retard.

fit remarquer le prof en pointant l'horloge du doigt. Randy remarqua que le regard de tous les élèves présents dans la classe étaient braqués sur lui, ce qui le rendait très mal à l'aise.

-O-Oui, je sais... D-Désolé...

Tenta d'articuler le jeune garçon gêné. Le prof lui montra sa place pour lui faire comprendre qu'il devait aller s'asseoir. Randy marcha jusqu'à sa place sous le regard des autres élèves. Pourquoi devait-il aller en cours alors que cela ne l'intéressait pas? Devenir un esclave à travailler toute sa vie pour une retraite minable? Hors de question. Pourquoi ne trouvait-il pas sa place dans la société? Pourtant il était très intelligent, il aurait du trouver les réponses à ces questions. Il passa toute l'heure assis là, au coin au fond de la classe, regardant les oiseaux voler dehors. "Eux sont libres au moins" se disait-il intérieurement.

L'heure passa très lentement, si lentement qu'on croirait que le temps était stoppé, mais le cours était enfin fini. Il devait maintenant aller voir la principale avec le garçon de terminal et le sixième. Il marchait dans les couloirs en direction du bureau de la principale quand soudain, il eu à nouveau cette sensation, ces pulsions de meurtres. elles étaient si fortes que son corps entier en tremblait. "Pourquoi ne pas attraper quelqu'un discrètement et le tuer sans laisser de traces" se dit-il. Mais, il revint vite à la raison, il se tint la tête et se frotta la tempe.

-Quoi?! Mais ça va pas la tête? je peux pas faire ça... Je ne dois pas être faible et écouter mes pulsions, c'est hors de question.

s'ordonna Randy comme si son corps ne lui obéissait pas. Il réussi à chasser ses idées morbides et alla jusqu'au bureau de la principale. La secrétaire lui demanda de patienter sur un siège en attendant. Il s'assit, et vis le garçon de terminal à côté de lui. Ce dernier lui lançait des regards noir, il avait le nez bandé, avec un peu de sang sur la bande qui maintenait son nez correctement. Randy lui fit un sourire provocateur, le garçon de terminal baissa le regard effrayé.

Non pas par Randy, mais par le sourire qu'il avait fait, ce n'était pas un simple sourire provocateur qu'il venait de faire.... Dans son sourire il y avait une teinte, de sadisme, de démence; un sourire psychotique... Randy s'arrêta de sourire quand il senti que sa vessie était pleine, il se leva alors pour aller aux toilettes. Il ouvrit la porte d'un cabinet au pif, et ferma cette dernière avant de se soulager la vessie. Alors qu'il se vidait, il entendit des voix et des rires. il reconnu parmi ces dernières la voix du sixième qu'il avait aidé ce matin.

-Ouais mais non mais t'as vu un peu cet extra-terrestre?!

-Ouais! Je lui ai dis que ça le rendait original et badass, mais ça lui donne juste un air louche. Ça fais peur c'est horrible, en plus je dois revoir son regard chelou là...

-Mon pauvre, t'a pas d'chance, il t'a sauvé mais il fait peur, imagine c'est un tueur psychopathe.

-Pouah galère....

Ils rigolèrent à s'en décrocher la mâchoire, quand Randy sorti de son cabinet. les sixièmes se figèrent sur le coup, regardant la personne sur laquelle ils parlaient. Randy lui fit un faux sourire en se lavant les mains.

-Aller viens, c'est l'heure d'aller voir la principale.

Dit-il en s'adressant au jeune brun aux yeux bleus. Ce dernier avait la voix tremblante.

-Ou-Oui, tout de suite...

Répondit le jeune garçon honteux et mal à l'aise. Randy n'avait rien laissé paraître mais ces paroles l'avaient blessé. Le jeune garçon arriva finalement jusqu'au bureau avec le sixième, et s'assit à nouveau à côté de ce dernier. Le jeune garçon brun aux yeux bleus le regarda et dit faiblement:

-Écoutes... Chui désolé de ce que j'ai dis tout à l'heure...

Randy le regarda et fit à nouveau un sourire factice.

-C'est pas grave, ça ne m'atteint même pas, je suis habitué et puis tu as en parti raison, je suis un monstre avec mes yeux effrayants.

Dit-il avant de rigoler d'un rire forcé. Il pouvait entendre la conversation que la principale avait avec d'autres personnes dans le bureau.

- bon, on va s'arrêter là, tu as déjà dis assez d'absurdités comme ça...

Randy reconnu la voix de la principale. Une voix de garçon se fit entendre suite à cela.

-Oui bonne idée, que je puisse me casser... Mais une dernière chose... Je ne me laisserais pas faire, vous pourrez faire ce que vous voulez, je n'irais pas..

Sur ces mots, il vit un garçon brun avec une franche tombant sur son œil droit sortir du bureau.Il était habillé d'une chemise en jean bleu foncé, un jean en chino d'un bleu marine plus foncé que sa chemise, des chaussures Adidas blanches et noires. Ce garçon avait des cernes énormes sous les yeux. Il eu l'impression que le regard de ce garçon était aussi vide que le sien. À la vue du garçon, le blessé de terminale baissa immédiatement les yeux, il avait l'air paniqué, effrayé. C'est vrai que son regard était effrayant, que son physique était imposant, mais pas jusq'à avoir peur... Mais qu'est-ce qu'il en savait? Le blondinet n'avait jamais ressenti la peur. Randy vit une femme d'environ l'âge de sa mère, elle parlait avec la principale tandis que Monsieur Miel, le prof de français, et Madame Cardus, la CPE sortaient du bureau avec deux têtes d'enterrement.

-Madame, je suis vraiment désolée que l'on doive en arriver là, mais nous n'arrivons plus à gérer votre fils... Il conteste sans arrêt l'autorité des profs, il se bats sans cesse, il est agressif envers certains, il fais ce qu'il veut quand il le veut, et il ne fait que ce qu'il lui plaît... Lahoussine est un adolescent spécial...

-J-Je comprends Madame Sanchez....

Dit-elle en soupirant.

-Je pense qu'il serait bénéfique de lui faire passer des test psychologiques.

Conseilla la principale à la dame. Cette dernière écarquilla les yeux.

-À-À mon fils?! pourquoi faire, il n'en a pas besoin, il est très intelligent vous savez, et il va bien dans sa tête, il a juste toujours été un enfant turbulent.

La principale la regarda longtemps.

-Je comprends votre tristesse madame, mais il faudrait vraiment lui en faire passer.... À part l'empathie et les valeurs il....

-Il?

-Il a tout d'un.... psychopathe...

la jeune femme avait les larmes aux yeux, ses lèvres tremblaient.

-Q'est-ce que j'ai mal fait dans mon devoir de parent? comment ai-je raté mon fils?

Dit-elle en laissant quelques larmes couler avant de s'en aller. La principale alla voir Randy et les autres et leurs fit signe de venir. Les trois s'exécutèrent sur le champ. Randy soupira légèrement et entra dans le bureau. La pièce était plutôt bien décorée, la principale avait le sens des combinaison de couleurs. Le bureau sur lequel son ordi était disposé était blanc et les pieds du bureau étaient rouge. Les chaises à roulettes étaient chair presque blanches et les roulettes étaient rouges. Des classeurs rouges étaient disposés sur le bureau. Les murs étaient d'un blanc immaculé, une armoire noire étaient disposée derrière.

La principale leurs fit signe de s'asseoir, et les trois s'exécutèrent à nouveau.

-Alors... Randy, James et Aaron, vous allez m'expliquer ce qu'il s'est passé. James, comment ton nez s'est-il cassé?

Il montra Randy du doigt.

-C'est lui qui me l'a cassé...

-et pourquoi?

Répondit la principale d'un ton sec.

-Je sais pas.

-Tu n'en sais rien? Randy serait donc venu te voir et t'a cassé le nez sans raison?

Rétorqua ironiquement madame Sanchez. James baissa les yeux. La principale tourna alors son regard vers le blondinet.

-Et toi Randy, je peux avoir ta version? Pourquoi lui avoir cassé le nez?

Randy plongea son regard vide et transparent dans celui de la principale.

-J'étais dans les couloirs et j'allais vers ma salle quand j'ai vu ce garçon de sixième se faire agresser par James. Je suis donc intervenu, j'ai tenté de le raisonner mais il m'a poussé et m'a menacé.

Déclara le jeune blondinet en regardant le dénommé James. La principale regarda le garçon brun aux yeux bleus d'un regard perçant.

-C'est vrai ça Aaron?

Demanda madame Sanchez d'une voix sévère, en le regardant bien dans les yeux, cherchant à voir s'il allait mentir ou non.

-Ou-Oui madame....

Répondit faiblement le sixième intimidé. La principale continua de fixer le fameux Aaron, et sembla réfléchir longuement avant de finalement briser le silence qui venait de s'installer.

-Bien, vous pouvez sortir.

Les trois se levèrent alors. La principale pointa James du doigt.

-Pas vous James.

Le garçon baissa les yeux et se rassied en s'excusant. Randy sorti du bureau, en regardant ses chaussures noires et blanches, la tête baissée, perdu dans ses pensées comme à son habitude. La sonnerie retenti dans tout le bâtiment scolaire, annonçant l'heure du repas. Le blondinet se dirigea alors vers la cantine, en luttant en continu contre ses pulsions de mort.

Le reste de la journée se déroula sans encombres, le garçon avait mangé seul à la cantine, à son habituelle table. Il était resté seul dans son coin pendant la recréation précédant les cours de l'après-midi. Il était resté seul pendant les cours, s'asseyant dans son coin et écoutant attentivement le cours de physique-chimie qui était son préféré. Quand la sonnerie annonçant la fin des cours se fit entendre, Randy regardait depuis l'ombre d'un arbre mort, des groupes d'amis de son âge parler entre eux, rigoler et s'amuser. Il les jalousais... Solitude... C'était elle sa seule amie... La solitude ne trompe pas, elle. Le garçon voulait avoir un ami, mais en même temps il n'en voulait pas....

Une forte pulsion en lui se fit sentir lorsqu'il aperçu le petit sixième de tout à l'heure, sortir de l'enceinte du bâtiment pour rentrer chez lui. Randy ne savait plus ce qu'il faisait, il délirait presque. Et sans vraiment crier gare et sans pouvoir y faire quoi que ce soit, il se mis à le suivre. Oui, il suivit le petit jusqu'à chez lui, une forte pulsion au niveau de l'estomac se faisait à nouveau sentir. Randy se tint la tête. Pourquoi avait-t-il suivi cet élève? Pour le tuer? Hors de question, il devait aider les gens, pas les tuer.

Mais...Est-ce que quelqu'un l'aidait lui? Oui.... La seule personne qu'il aimait réellement en ce monde, sa mère. Le jeune garçon rentrait chez lui tranquillement, la nuit était tombée sur la petite ville de Springfield, et la lune éclairait sa route, ainsi que les lampadaires. Il commençait même à neiger un peu.

Le garçon marchait, quand il entendit un léger couinement provenant d'une ruelle. Il se dirigea vers ce couinement lentement, et vit un espèce de panier entre deux poubelles avec un chien dedans. L'animal avait dû y établir sa "maison". Le garçon lâcha un faible sourire et s'accroupit doucement.

-Hey... Coucou toi...

Dit-il en souriant avant de tendre lentement la main vers le chien. L'animal renifla sa main avec hésitation, et finalement se rapproche doucement de lui. Randy pût remarquer que c'était un petit berger allemand, le pauvre avait dû être abandonné. Il aurait voulu le prendre pour lui, mais ses parents étaient clairs "Pas d'animaux à la maison". plusieurs fois il avait repliqué "Et alors pourquoi on a un porc à la maison?" en regardant son père, mais rien n'y avait fait.

Il l'attrapa alors, et décida donc d'enfreindre cette règle... Il en avait assez d'être seul, bien qu'il envoyait bouler ses camarades qui venaient vers eux. Il préférait avoir des enfants ou les animaux comme amis, car eux ne sont pas corrompus.

Il courru jusqu'à chez lui, avec le berger allemand dans ses bras, et arriva finalement devant sa petite et misérable maison. Sed parents n'avaient pad beaucoup d'argents, ils avaient donc une toute petite maison mal isolée et que l'on pouvait cambrioler facilement. Le garçon fit descendre le chien par un petit trou dans le sol menant à la cave. Le chiot se laissa faire.

-Pas bouger d'accord? J'arrive.

Dit-il en s'éloignant, rentrant chez lui. Son père était sur une chaise en face de sa mère, autour d'une petite table ronde. Les deux étaient affalés sur la table, au milieu de tonnes de paperasse. Randy s'approcha doucement et attrapa quelques papiers pour les lires en les survolant rapidement.

-À découvert.... Crédit en retard... Huissiers.... Rendez-vous.....

Le garçon leva quelques instants les yeux, les ecqrquillant.

-Oh putain de merde....

Dit-il avant de reposer les feuilles et de descendre à la cave. La cave, personne n'y allait, c'était juste... L'endroit où son père le punissait en l'y enfermant. Mine de rien, enfermer les enfants pas sages dans une cave, ce n'était quelque chose de pas si choquant que ça il y a quelques années. Alors pourquoi l'était-ce aujourd'hui ?

Le garçon fit une couchette douillette dans un coin de la cave pour le chien, et y déposa des morceaux de viandes séchée et un bol d'eau.

Les jours passèrent, un mois entier était passé. Le chiot avait vite grandi en un mois, Randy lui avait trouvé un nom et il avait même réussi à faire un passage pour Hope de la cave au jardin dès les premiers jours. Il jouait souvent avec Hope, il se sentait moins seul, il avait un minimum retrouvé le sourire. Mais ce n'était pas suffisant pour qu'il soit heureux...

À chaque fois qu'il revenait de cours, sa mère qu'il aimait tant, avait de nouveaux bleus sur le corps. Il se dirigea vers la salle de classe, et décida de se livrer au moins à son professeur principal... Il attendit que le cours fut fini, et alla voir son professeur.

-Monsieur?

Le professeur qui avait la tête plongé dans ses copies leva cette dernière et regardant Randy dans ses yeux incolores.

-Qu'est-ce que tu as mon grand?

-J'aimerais vous parler....

Avoua Randy en baissant ses yeux incolores, par honte envers ses yeux monstrueux, mais aussi à cause du poids de ce qu'il allait livrer au professeur.

-Je t'écoute Randy, parles donc.

Le garçon pris une grande inspiration, et regarda le professeur dans les yeux.

-Alors voilà... Hmm... C'est pas facile pour moi de dire tout ça... Mais je sais que vous êtes professionnel alors... J'me lance... Depuis que je suis petit... Mon père bât ma mère... Et il ne me donne ni vêtements, ni nourriture, ni matelas... Je vous en supplie monsieur.... Aidez-moi....

Le garçon demandait bel et bien de l'aide. Lui qui n'avait confiance en personne, lui qui était trop fier pour demander de l'aide... L'homme inspira un grand coup et regarda Randy, choqué. Il se racla la gorge, en remontant ses lunettes.

-Et bien.... Tu sais... Je ne peux rien y faire malheureusement mon pauvre Randy. Régler cela est bien au delà de ce que je peux faire, tu devrais contacter la police ou aller voir la CPE. Ce ne sont pas mes affaires ce genre de choses.

Répondit l'homme, d'un ton rempli de gêne. Le blondinet hocha lentement la tête, acquiescent ce que l'homme disait. La CPE n'était pas là aujourd'hui. Mais normalement, demain ou après demain, elle sera présente. Le garçon sorti de la salle de classe, un sourire amer collé au visage. Pour une fois il avait essayé de se livrer et demander de l'aide. Mais il n'avait pas encore essayé la CPE, ni la police.

Il était sur le chemin du retour, le soleil était seulement en train de se coucher, Randy ayant fini les cours plus tôt. Lorsqu'il arriva devant sa maison, il y trouva son père en colère, l'attendant devant la porte d'entrée. Le blondinet aux yeux incolores s'approcha en regardant son père dans les yeux. L'homme au regard foudroyant et à la méchanceté sans limites, avait quelque chose derrière lui, un carton.

-Bon...soir?

Fit Randy, en recalant une mèche blonde devant ses yeux, pour les cacher car, il n'aimait pas ses propres yeux de démon.

-Randy. Tu peux m'expliquer cette merde que j'ai trouvé ?

Dit-il en balançant le carton qu'il tenait, renversant son contenu qui n'était autre que le petit chien de Randy.

-Il était abandonné! J'pouvais pas le laisser comme ça!

Répliqua le garçon, qui paniquait car, il ne savait pas à quoi s'attendre avec son père.

-Pas d'animaux à la maison. J'te l'ai déjà dis cent fois. Tu es trop con pour comprendre ou quoi?! Cette bête va dégager! Aller casses toi sale clebs!

Fit l'homme en donnant un coup de baller au chien, le faisant s'enfuir en courant. Le blondinet s'apprêtait à sauter au cou de son père, quand il vit un camion passer sur le pauvre chien qui était en train de traverser la route.

-HOPE!

Cria le jeune garçon, en accourant vers les restes du corps de Hope. L'homme rentra à l'intérieur, totalement indifférent du sort de ce chien ou de la tristesse de son fils. Randy était anéanti... Son seul ami, le chien qu'il était en train d'élever, celui qu'il avait renommé "Hope" qui voulait littéralement dire "espoir" dans l'espoir d'une vie meilleure avec son ami le chien. Il regarda le cadavre de l'animal à terre, en retenant les larmes qui voulaient couler.

C'est sa mère bien aimée mais pleine de bleus dont un cocar, qui le réconforta toute la soirée comme elle le pouvait. Enfin... Qui essayait de le réconforter.

-Maman... Il t'as encore frappé.

Dit-il en frottant doucement le cocar de sa mère avec son pouce.

-C'est rien mon chéri.... Il a glissé c'est tout...

Tenta de mentir la jeune femme blonde. Pour elle, c'était encore son petit bébé à elle, mais en vérité elle savait qu'il avait grandi...

-Quel crétin... J'vais lui défoncer sa gueule de gros porc moi. Ce mec c'est tellement un porc que même les musulmans en ont peur.

La jeune femme ricana doucement, et caressa les cheveux blonds de son fils.

-Tu as de magnifiques cheveux d'or...

Elle se perdit dans ses pensées et reprit.

-Mon chéri.... Je veux que tu me fasse une promesse.

Le garçon la regarda, d'un air interrogateur.

-Laquelle?

La femme aux cheveux d'or le regarda dans les yeux, prenant un air plus que sérieux.

-Ne frappes jamais une femme... Jamais... Promi?

Le garçon la regarda dans les yeux. Hors de question de s'abaisser au niveau de son crétin de père. Il la regarda avec franchise et répondit.

-Je te le promet maman...

Sa mère lui sourit, et sorti de la chambre. Il était allongé dans son lit et fixait le plafond, en fait non, il regardait le vide, et ce pendant facilement une heure voire une heure et demi. Il ressenti à nouveau cette sensation, mais cette fois, c'était plus fort que toutes les fois précédentes. Il ressentait le besoin d'utiliser le couteau qu'il avait dans son sac, pour tuer son père. Comme s'il allait mourir s'il ne le faisait pas. Mais finalement, au bout d'un quart d'heure de souffrance et d'impression de brûlure, il réussi à s'endormir.

Le lendemain, il se réveilla et alla au collège-lycée, comme tous les jours. Il ne pensait qu'a voir la CPE, et ce, toute la journée. Il y était enfin, devant la CPE et ses cheveux blonds ondulés avec des mèches noires. Il s'assit donc devant elle, et la regarda dans les yeux.

-Bien... Randy, comment vas-tu depuis la dernière fois?

Demanda la femme en le regardant, un sourire collé aux lèvres. Randy secoua doucement sa tête pour faire un signe négatif de la tête, et commença.

-Honnêtement? Je ne sais pas moi-même... En ce moment je me sens vide, et la mort de mon chien n'a rien arrangé...

Avoua le garçon en la regardant d'un regard inexpressif. La femme hocha la tête en signe de compréhension.

-Tu ne m'as pas convoqué juste pour me dire comment tu allais, je le vois, il y a autre chose.

Le blondinet la regarda de son habituel regard inexpressif. Mais pendant un court instant, il y eu un regard glacial, un regard qui criait la soif de sang en lui. Mais ça n'avait pas duré assez longtemps pour que la CPE ne le remarque.

-En effet, je devais vous parler de quelque chose...

Fit le garçon, tentant de garder son calme, ayant senti cette pulsion.

-Je t'écoutes.

Le garçon aux cheveux blonds et aux yeux incolores lui expliqua alors sa situation, exactement comme il l'avait fait avec son professeur principal. La femme l'écoutait attentivement, penchant légèrement sa tête sur le côté, ce qui prouvait qu'elle écoutait ce que Randy disait. Elle sembla réfléchir plusieurs secondes, et le regarda dans les yeux.

-Je suis désolée... Mais je ne peux rien faire pour toi pour le moment, je suis trop débordée. Tu devrais aller voir la police...

Dit-elle simplement, refusant d'aider ce pauvre Randy. De simples conseils... Voilà ce qu'il avait eu le droit d'avoir, après tout ce qu'il faisait pour autrui. Il regarda le vide, rattrapé par la réalité. Son regard cria son envie de mort, pendant plus d'une seconde cette fois-ci. Il avait même affiché un sourire psychotique pendant un instant. Il se leva quand il eu réussi à se reprendre, toujours en regardant le vide, comme rattrapé par la réalité.

Le garçon sortait du collège, sous un début de pluie. De faibles gouttes d'eau lui tombaient sur le visage. le réveillant. Il lui restait encore la possibilité d'aller voir la police, celle-ci sera forcément la plus efficace!
Il parti donc en courant vers le commissariat. Il avait une veste marron à capuche, en dessous de cette veste à capuche marron, il avait un pull gris à capuche. Et même avec ces deux couches de vêtements il commençait à avoir froid sous la pluie.

Il entra dans le commissariat, et s'adressa à la réception.

-Bonjour, j'aimerais vous dénoncer un cas de violence conjugale...

Fit Randy à un policier. Ce dernier le regarda en fronçant les sourcils.

-Tu vois pas que j'suis occupé toi? Reviens plus tard. J'en ai rien à faire de tes histoires.

Randy écarquilla les yeux, et regarda le policier.

-Mais...

-Pas de "mais". Casses-toi gamin. Ton cas ne m'intéresse pas, y'a plus urgent. Vas voir ça avec "SOS femme battue".

Le garçon écarquilla les yeux. Il n'en croyait pas ses oreilles, le policier ne voulait pas l'aider? Son dernier espoir venait de s'envoler. Il sorti du commissariat, et marchait sous la pluie d'un regard vide. La pluie qui maintenant, était passée de "faible pluie" à "violent orage glacial".Randy marchait le regard vide jusqu'à sa maison. Il réfléchissait à pourquoi il avait aidé tout le monde si le monde ne lui rendait pas en retour.

Quand il passa la porte d'entrée, il remarqua que la maison était étrangement calme. C'est seulement lorsqu'il passa la porte du salon, que ce dernier comprenait pourquoi il n'y avait pas de dispute. Il vit le corps de sa mère, baignant dans le sang. Son père était assis sur le canapé, fusil en main. Il avait le fusil pointé vers Randy.

-Je ne voulais pas la tuer.... Juste lui faire mal....

Randy s'approcha du cadavre de sa mère, et s'agenouilla les lèvres tremblantes, les larmes coulants sur ses yeux.

-M-Maman! Maman j't'en prie dis moi que t'es pas morte! Mamaaaan!

Hurla le jeune garçon en pleurant, serrant le cadavre de la jeune femme dans ses bras. Il serra les poings et les dents très fortement, et adressa un regard plein de haine à son père, un regard psychotique. L'homme ricana en pointant le canon du fusil sur Randy.

-Maman? C'est même pas ta vraie mère.

Ricana l'homme. Randy n'en croyait pas ses oreilles. Ce qu'il venait d'entendre était impossible.

-Qu-quoi?!

-Ta vraie mère... Elle était rousse aux belles tâches de rousseurs un peu partout sur les joues. Mais tu as pris sa vie à ta naissance comme le monstre que tu es. Quand elle t'a vu, elle a grimacé et a dit "Ce n'est pas mon bébé, regardez ces yeux, c'est un monstre, tuez le. Il ne mérite pas de vivre il n'est pas humain" Puis elle a fermé les yeux, et elle est morte. Tu vois? Tu n'es qu'un monstre, une erreur de la nature. Tu es venu au monde en prenant la vie de ta mère. Tes yeux sont la preuve que tu n'es pas humain. Tu n'est qu'une erreur qui inspire la souffrance.

L'homme ricana et poursuivi.

-Cette femme... Elle était ma maitresse. Étant donné que dans le passé elle avait découvert être stérile, le fait que je lui laisse le droit de s'occuper de toi l'enchantait. Elle t'a aimé dès qu'elle a posé les yeux sur toi. Je voulais t'abandonner mais elle ne voulait pas. C'est drôle... La femme qui t'as mis au monde t'as détesté dès qu'elle eu le regard posé sur toi. mais l'autre imposture de mère t'as aimé. Mais tu n'es qu'un déchet, tu ne mérite que d'être seul toute ta vie, tu mérites la mort.

Randy tremblait de rage, il embrassa le front de sa "mère" en la serrant fort contre lui. Puis, il se précipita sur son père, qui lui tira une balle, puis deux, puis trois, puis quatre. Il tira une quinzaine de balle sur son fils. Il avait pourtant fallu juste 2 balles pour qu'il tombe à terre, mais il avait continué de s'amuser avec le cadavre de Randy, pendant que ce dernier souhaitait la mort, il souhaitait répandre la souffrance jusqu'à son dernier souffle et même après.

Randy tomba au sol, à côté de sa "mère". Son coeur ne battait plus. L'homme donna un coup pour voir s'il réagissait, mais il n'eu aucune réaction, le garçon était mort. L'homme parti alors chercher de quoi nettoyer tranquillement la maison, et disposa le corps de la femle de façon à ce que l'on croit que Randy l'avait tué.

Pendant ce temps, le corps du garçon gisait toujours au sol. Le sang de sa mère rentrait dans l'une de ses blessure. Le garçon entendit la voix de sa mère résonner pour dire une phrase. "Haïs tout. Répends la souffrance chez les humains". Le coeur du garçon a remis à battre. Le sang de sa mère se rependit dans ses cheveux, les faisant passer du blond au rouge. On raconte que l'amour de sa belle mère serait resté sur ses cheveux, le rouge étant la couleur qu'elle préférait. Même en prenant une douche, la nouvelle couleur de ses cheveux ne partait pas.

Le père de Randy dans le salon, matériel de nettoyage en main.
Mais quand il arriva, il ne vit pas Randy, son corps avait disparu. Il n'y avait plus que le corps de la femme, qui avait beaucoup moins de sang que tout à l'heure. Il senti une main l'attraper, d'une force surhumaine.

C'était Randy, qui avait des cheveux rouges comme le sang, comme pour symboliser le sang qu'il verserait pour faire souffrir. Il attrapa son père par le cou, et le claqua au sol, avant de claquer sa tête violemment contre le sol plusieurs fois d'affilés, explosant son crâne qui ne ressemblait plus à rien. Il continuait quand même de s'acharner sur le cadavre, lui arrachant bras et jambes avec ses mains.

Il pris un sac à dos, du whisky, un couteau de boucher, et il sorti pour répendre la souffrance, après avoir écrit une phrase sur le mur avec le sang de son père :

"my life is nothing but suffering and violence, yours is foolish, you are filths that make suffer but i was born to make you suffer.

i'm child of pain"

(NDA: 7000 mots :3 )

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