Quand les mots dépassent la pensée, moi je l'ai inscrit sur un morceau de papier pour éviter de les divulgués. 

Lorsqu'il me pousse dans mes retranchements et qu'il absorbe toute mon énergie, je m'écroule à genoux. Il ne me reste rien pour sourire et relativisé alors je pleure et m'arrête de mentir le temps d'une larme. 

Ce moi dépressif et qui retire son masque dès que la nuit tombe peu le connaissent réellement. 

Tandis que moi je rejoins les étoiles tous les soirs, lui continue de s'acharner sur mon cas. 

Ces mots transpercent mon cœur et me font douter naïvement de tout et rien. 

Quand la batterie est trop faible pour que je me rebelle, je m'accroupis et je subis. Ensuite des idées malsaines me viennent en tête. 

Me faire mal serait-ce une solution pour évacuer ? Non. 

Je résiste parce que le faire ne réglera pas mes problèmes. 

L'énergie est comme un petit bout de charbon, il vous suffit d'en prendre une bouchée pour aller mieux. 

Donc c'est ce que nous faisons tous dans ses moments là. Nous puisons dans nos ressources pour relever la tête. 

Le 30 juillet 2018