Chapitre 1 : Le début de la Fin(avec un grand « F » s'il vous plaît)
Mon nom est Merlin.
Mais les druides me donnent un autre nom: Emrys, certains d'entre eux disent que je suis le plus grand sorcier que la terre n'ai jamais portée.
Je ne sais pas s'ils ont raisons mais en attendant depuis presque quatre ans maintenant je suis le serviteur du prince Arthur. Et, si ma magie a fait de moi l'homme que je suis, si elle me permet de protéger mon roi et mon ami elle me met aussi en danger. Je suis né avec ce don et pour protéger ce que j'aime je vis dans le secret. Ma magie est à la fois mon salue et ma perte. Je protège mon roi et accompli mon destin mais s'il découvrait mon secret...
En attendant si les Druides me voient comme un puissant magiciens Arthur lui me voit plutôt comme un idiot en puissance. C'est sans parler de Gaius...
_Mer-lin ! Fais-ci, Merlin, Fais-ça Merlin ! Oh Merlin va me chercher des herbes je n'en ai plus. Pense aux champignons Merlin on va en manquer ! Oublie pas d'aller déposer ces potions au tavernier de la ville basse sa fille est malade. Nettoie le bocal à sang-sue Merlin.
Fais-ci, fais-ça et le pauvre Merlin dans tous ça ? On l'oublie ? Et beh ouais comme d'habitude!Et là ce n'est que Gaius.
Il ne faudrait surtout pas oublier son altesse royal ! Houlala non je risquerais de la vexer...
_Lave le sol. Mon armure ! Mon discours, tu sais que tu as de la chance Merlin ? Peu de serviteur on l'honneur de rédiger le discours d'un roi.
J'ai l'impression d'entendre sa voix en repensant à toutes ces fois où il m'hurle dessus. Rahh de la chance mon œil que j'ai de la chance. Elle est où la chance ? Pas un merci, rien.
_Mer.....lin ! Dépêche toi non de dieu où est-ce que tu as encore été trainer ?
Oh nul part Arthur j'étais trop occupé à vous sauver le fesses. Et oui, je vous sauves le fesses. Tout les jours même, sale âne ingrat! J'en ai marre moi. C'est quand que j'ai pu dormir déjà ? Oh et par dormir j'entends une vrai nuit complète et dans un lit douillet. Nan parce que moi je veux bien c'est ton destin Merlin ! Tu te dois de protéger le roi pensai-je la voix de Kilghara grondant dans ma tête.
C'est bien joli tous ça, mais moi qui me protège ?
Je pense sincèrement que c'est pour mettre un petit peu de chalenge dans ma vie. C'est vrai que ce serait ennuyant autrement. Si les trois grandes prétresses de l'ancienne religion m'avaient révélé comme destin de protéger quelqu'un comme... Lancelot par exemple, s'aurait été ennuyant. Zéro risque qu'il me brûle vif, il a su pour mon dons et zéro envie de meurtre à l'horizon. De plus, ce n'est pas le fils du roi Uther Pendragon, roi qui a voué sa vie à anéantir les gens comme moi. Nan, franchement s'aurait été mortel sans mauvais jeu de mots. Alors qu'avec Arthur ce qui est sympa c'est que déjà niveau tâche je ne m'ennuie pas, aucun risque la dessus. Et puis, ce qui est super c'est que son père est un tueur de sorcier, il a un cv bien chargé dont massacre et génocide de sorcier font partie!
Arthur a prouvé plus d'une fois qu'il savait faire preuve de pitié et de compassion pour ses ennemis. Est-ce qu'il me considèrera un jour comme son ennemi ? Je ne veux pas prendre le moindre risque. Je vivrai dans le secret jusqu'à ce que l'heure soit venu. Mon destin est de protéger Arthur pour qu'il puisse réunir Albion. Un monde dans lequel les cinq royaume seront en paix, un monde dans lequel les magiciens ne seront plus traquer comme des bêtes.
Arthur est un grand roi, jamais son père n'aurait pu nous apporter la paix mais lui a déjà commencé. Les royaume de Nemeth et de la reine Alice sont nos alliés sans oublier le roi Carléon, quatre des cinq grands royaume son en paix. Bien sur pour cela il faut que ce cromagnon narcissique m'écoute ce qui n'est pas toujours facile. Heureusement que je suis là, sincèrement... Arthur est mon ami et peut-être mon meilleur ami mais je ne pense pas que le constat serait le même s'il savait tout de moi. Aux yeux d'Arthur je suis sont valet incompétent et un peu niais sur lequel il se repose à chaque fois qu'il a un problème. Je répond toujours présent qu'importe les risques car Arthur est plus qu'un espoir, il est plus que mon roi ou mon maître c'est mon ami.
J'ai bu du poison pour lui, plusieurs fois: Bayard et Nimueh. J'ai été capturé et torturé pour lui: Morgane, euh plusieurs fois là aussi. J'ai menti, je cache qui je suis depuis des années pour rester auprès de lui et le protéger. Je lui suis resté fidèle quand tout le monde lui tournait le dos, Morgane(encore), Agravin. J'ai perdu tous ce que j'aimais car mon amour pour Camelot, pour mon roi dépassait toutes mes peines, toutes mes souffrances. Mon meilleur ami est mort à Ealdor en le sauvant et en protégeant mon secret, mon père est mort en voulant aider Arthur, la femme que j'aimais est morte sous sa lance. Je les aimais et ils sont morts sacrifiant leurs vie pour Albion, pour moi ou Arthur. Je n'ai pas pleuré Freya. Je n'avais pas le droit. Comment pleurer le monstre que venait d'abattre Arthur ? Comment lui répondre quand il me demandait pourquoi j'avais l'air si triste ? J'ai perdu mon premier amour, mais pas d'inquiétude Arthur, c'était une druidesse maudite elle se transformait en bête les soirs de pleine lune alors vous l'avez tué. Je comprend ne vous inquiétez pas. Vous ne saviez pas. Comment auriez-vous pu ? Et moi, comment aurais-je pu lui dire la vérité ? Comment dire à son ami et son roi :j'ai perdu beaucoup de personnes que j'aimais en vous servant. Je vous dédi ma vie faites en ce que vous voulez Arthur je serais toujours là pour vous même si vous me tueriez si vous connaissiez mon secret sachez que je mourrai mille fois pour vous. Je ne savais pas comment le dire alors je me suis tu. J'ai eu tords. Je pense que maintenant c'est trop tard...
Je me demande s'il pense à ça quand il voit Sauron reffermer ses fers sur mes poignets sous les yeux ahuri de Gauvain et Elyan.
Au moins je ne me plaindrai plus d'Arthur, ni des tâches de Gaius ou de mon travaille de serviteur. Non, je n'aurais plus l'occasion de me plaindre de grand-chose, en faite. Ce n'est pas le moment de pleurer Merlin, ressaisis-toi. Quitte à affronter la mort en personne il faut que ce soit inoubliable. Il voulait un sorcier ils auront le plus grand.
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