Chapitre 38


Takao avait peine à mâcher ses mots et surtout il ne s'attendait pas à la voir exactement comme elle l'était il y a plus de 10 ans... c'était carrément flippant en quelques sortes. Elle s'approcha de lui et posa sa main sur sa joue, la même tendresse qu'avant se disait le brun mais il n'oublierait jamais ce qui s'est passé....y avait plus d'amour dans ses gestes mais juste de l'obsession.

Takao : Sœur Theresa... ?

Elle : exactement mon cher Takao, mon enfant tu as si bien grandi. Je ne savais pas que tu serais aussi adorable et que tu grandirais comme un enfant normal...(Sourit)

Takao : un enfant normal dites-vous ?

Elle : oui, car tu es spécial pour le monde et pour moi aussi^^ tu dois bien reconnaître que tu es mi-chat après tout

Takao : vous vouliez juste m'enfermer dans un centre scientifique à l'époque alors que moi je vous considérais comme ma mère...alors comment est ce que vous osez me recontactez après toutes ces années ?

Elle : c'était pour te guérir et que l'on puisse former une famille, il n'est pas trop tard tu sais, on peut toujours former la famille dont tu rêvais mon enfant. Tu étais si spécial à mes yeux mais tu as tout gâché avec cette maladie que tu possèdes ; j'ai fais des recherches et des recherches sur ton cas mais même la science n'a pas d'explication à ce qui t'arrives alors je suis revenu et je sais maintenant comment faire pour que tu sois purement humain

Takao : vous êtes folle...et comment est ce que vous avez fait pour être aussi jeune ?

Elle : oh, eh bien figure toi que ton ADN en est la raison, quand j'ai fais des recherches avec ton ADN il s'est passé quelque chose que je ne peux l'expliquer et me voilà qui ne vieillit pas... doit je dire que c'est une bénédiction ?on peut voir ça comme ça et puis après tout ce n'est pas si mal , une fois que je t'aurais guéri alors tout s'arrangera on pourra toi et moi vivre longtemps

Takao : donc vous êtes devenu...un chat aussi ?

Elle : non, figure toi que ce n'est pas le cas, et heureusement d'ailleurs vu que je déteste les chats ils sont justes porteurs de maladies et de microbes

Takao : est ce que c'est vous qui avez fait du mal à la mère de Shin-chan ?

Elle : oui, elle le méritait vu comment elle t'a traité

Takao : et pourtant vous aussi vous me considérez comme un monstre....

Elle : pas du tout, tu es juste malade mais bientôt tu iras mieux mon enfant

Takao : ce n'est pas une raison pour faire du mal à des gens, oui elle m'a fais du mal mais elle est la mère de celui que j'aime et je ne supporterais pas de le voir souffrir

Elle : tu es trop gentil, c'est pour cette raison que les gens profitent de toi... mais bon je vois bien que tu as peur de moi mais tu sais tu n'as pas à avoir peur de moi (sourit légèrement) je ne te ferrais aucun mal

Takao : ce serait mieux que vous vous rendiez à la police pour avoir poignardé quelqu'un...vous avez tenté de la tuer !

Elle : je voulais juste te protéger... tu exagère

Takao : je pense que cette discussion ne mène à rien, rendez-vous juste à la police et je ne veux pas que vous vous approchez de Shin-chan

Elle : tu veux que j'aille en prison ?tu n'a aucune considération pour moi ?

Takao : (pense : la situation risque de dégénérer.. elle semble instable émotionnellement) je ferrais bien de rentrer, au revoir ...

Il s'en allât et s'attendait à ce qu'elle le retienne ou lui fasse du mal mais au contraire elle lui a juste murmuré « à bientôt Takao », ça lui semblait louche mais sur le moment il voulait juste voir son petit ami. Quand il arriva à l'appartement, Midorima était déjà là entrain de boire un chocolat chaud.

Takao s'approcha doucement vers lui, et s'immisça pour être dans ses bras, celui-ci lui ébouriffait les cheveux en riant. Le brun déposa un baiser sur les lèvres.

Takao : tu m'as manqué

Midorima : et toi tu étais allé faire quelques courses non ? Tu reviens les mains vides ? (rigole)

Takao : je n'ai rien trouvé d'intéressant à acheter et pour le moment on a tout ce qu'il nous faut J

Midorima : je suis bien d'accord avec toi, je t'ai prit du latte, c'est à base de lait et c'est connu que tout les chats aiment ça

Takao : je vais me lécher les moustaches tiens (rigole) comment ça s'est passé avec Akashi ?

Midorima : c'est encore notre première séance après qu'il ait rechuté alors je dirais que c'est déjà un début

Takao : ah d'accord (son tel sonne)

Midorima : tu ne réponds pas ?

Takao : je ne connais pas ce numéro... tu veux que je te passe une brioche ?

Midorima : oui je veux bien, Takao tu sais que je suis là pour toi pas vrai ? si ca ne vas pas en ce moment

Takao : je vais bien, je voudrais juste que tu fasses attention à toi d'accord ?

Midorima : bien sûr

Takao ne pouvait s'empêcher de s'inquiéter pour lui... même s'il était là en face de lui, il avait un mauvais pressentiment, il allât chercher ensuite des glaçons que le binoclard les mettent dans son verre, mais Aomine les avaient entreposés dans la cave, non mais quelle idée aussi se disait le brun.

D'un coup, le courant fut coupé et plongea le bâtiment dans le noir total, le brun ne serait pas inquiété s'il avait réussit à ouvrir la porte...

Takao : m'aurais t'elle suivi ?...SHIN-CHAN ! (hurle en tapant la porte)

J'espère que ce chapitre vous as plu J, bisous *.*

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