"Si vous avez la chance d'avoir vécu jeune homme à Paris, où que vous alliez pour le reste de votre vie, cela ne vous quitte pas, PARIS est une fête".

Je trouve cette phrase tellement avancer et exacte au temps au qu'elle elle avait été écrite, par mon plus chère écrivain américain, Ernest Hemingway, l'un des habitué de la closerie des lilas comme l'auteur que l'on ne retiendra le nom seulement pour son seul grand succès hors du temps "gatsby le magnifique". Et qui sait qu'à cette époque... la fête était d'un cotidient... entre un dîner au "27 rue des fleurus" ou une grand soirée chez Lipp, la fête se créait grâce à l'alcool et l'effet qu'elle produisait. Cela n'a pas beaucoup évolué, une soirée marche toujours en fonction du nombre de bouteilles et leurs effets sur les Personne présentes à celle ci. Prenons l'exemple de la soirée à la quelle Maxime m'a enmener la semaine dernière...

Heu... Je savais plus que James et Mathieu avais toucher à ça mais... disons que... ça illustre bien l'interaction de l'alcool dans une soirée!! (je comprends mieux comment ils on fini ces deux là à la fin de la soirée😂)

Ce que je veux dire c'est que, techniquement, peut importe dans le temps, les fête évolue uniquement par la musique. Et c'est seulement pour ça que j'ai tellement envie de voir comment Hemingway réagissais sur les musique de son temps après une demi douzaine verre de whisky.

Ce n'es pas la seul chose qui m'envie de cette époque ! Si je devais y retourner ce serais à la fois pour la "génération perdue" mais aussi pour la création d'un mouvement pluriartistique appeller le Surréalisme ! Une époque où l'inconscient est le roi et non plus le martyre des sentiments ! Une époque où l'ilogique triomphe sur la raison même du bon sens. Une époque... A la qu'elle j'aurais aimer vivre... D'ailleurs cela me donne une idée ! J'avoue avoir plusieurs fois songer à faire de l'écriture automatique ! Esseyons :
- la raison pour la qu'elle m'a pensée n'est que blasphème est à croire que la vie ne l'est a jamais.
- j'ai déjà pensé Mais pouvoir penser le faire un jour me tourmente de l'envie de comprendre la raison de vouloir le faire.
-si un jour je vivais mais que je ne pourrais plus comprendre ma vie, je préférerais dormir pour que ma vie comprenne que je vais, comme tout le monde, mourir.

Oui... Alors je sais pas si c'est bien mais ça me plaît ! Rien que d'avoir esseyer, cela me redonne de la vivacité, je vais peut être me réveiller maintenant , après une telle chute!

Au plaisir de partir aux années 20, j'attand en espérant que "mon ombre ne se promène et ne se promenera allègrement sur le cadran solaire de ma vie"