Les Asubéens rencontraient des difficultés à contrôler les sept milliards d'humains sur la planète bleue. Tandis que la résistance humaine et Altaïrienne s'organisait depuis la ville sous-marine de Neptune, des mines à ciel ouvert défiguraient l'Antarctique, témoignant de l'exploitation sans merci des Asubéens. Mais parmi ces oppresseurs se trouvait un groupe de résistants, les Guiguuks, menés par Googak, aspirant à renverser la tyrannique reine.

Alors que le jour de la contre-attaque approchait, l'ONU clandestine de Neptune apprenait l'existence d'un allié inattendu issu du cur même de l'empire Asubéen. Un message de Googak, chef des résistants Asubéens, retentissait, annonçant leur souhait de renverser la reine et de s'allier avec les Terriens et les Altaïriens. D'une importance stratégique, cette union offrait un nouvel espoir pour le succès de l'insurrection imminente.

Les préparatifs avançaient rapidement : des bataillons de soldats de la Terre et d'Altaïr s'exerçaient au maniement des armes à rayon laser, et des véhicules de guerre étaient équipés de missiles Altaïriens. Les forces de la résistance, cachées partout sur Terre, s'apprêtaient à recevoir des armes capables de mettre fin au règne des Asubéens.

Sur le continent glacé de l'Antarctique, les mines polluantes des Asubéens écorchaient la planète, causant un drame écologique. Des travailleurs humains y enduraient des conditions épouvantables, extraisant des métaux précieux pour l'effort de guerre asubéen tout en amplifiant le réchauffement climatique.

La réunion entre les rebelles Asubéens et les forces combinées humaines-Altaïriennes se tenait en Alaska. Les Guiguuks arrivaient sur Terre, où le lieutenant-chef Harry Ford de l'armée des États-Unis les conduisait à un camp de résistance. C'étaient des moments tendus, alors que la reine Asubéenne intensifiait sa prise sur Terre et les Guiguuks faisaient parvenir des informations essentielles à la résistance.

La campagne pour récupérer la planète débutait, avec l'approche du jour J. Les forces de résistance recevaient des renforts et étaient prêtes à lutter. Dans un acte décisif de guérilla technologique, Ishaï Lévy, un jeune étudiant israélien, introduisait un virus informatique dans le système de la base lunaire asubéenne, créant le chaos au sein de l'ennemi.

Le virus terrien, efficace au-delà de toute attente, se répandait à travers l'empire Asubéen, provoquant des soulèvements sur Altaïr et d'autres planètes opprimées. Sur Terre, les forces libres du monde reprenaient progressivement contrôle de leurs cités, tandis que de scènes de liesse éclataient partout.

La Terre, enfin libre, commençait à panser ses plaies, avec l'aide de la technologie Altaïrienne : le Régénérateur Biogenèse, un satellite capable de terraformer des planètes dévastées. Il renvoyait un rayon rouge vers la Terre, déclenchant une pluie chargée d'un fertilisant qui revitalisait la végétation à une vitesse miraculeuse.

Ainsi, tandis que les cloches des cathédrales annonçaient la nouvelle aube de liberté et que la vie à Neptune reprenait son cours habituel, la Terre renaissait. Fleurs et arbres bourgeonnaient dans les déserts auparavant arides, offrant la promesse d'une renaissance écologique et d'un avenir meilleur pour tous ses habitants. La victoire ne marquait pas seulement la fin du conflit, mais aussi le commencement d'une ère de coopération interplanétaire et de guérison pour la planète ravagée. Les célébrations mondiales reflétaient non seulement le soulagement de la fin de l'oppression, mais aussi la joie d'un nouveau départ.