« epilogue »
Un livre de photos sur le sol, sur la pièce, sur certaines pièces, une bande d'adolescents, un énorme sourire sur les lèvres, d'autres à porter, un grand brun, un bébé dans les bras, ce sourire . Elle s'étouffait tant bien que silencieusement au bord de ses lèvres et devenait une inspiration, terriblement douloureuse chaque fois qu'elle inspirait un peu d'air, elle se sentait horrible. Horrible, parce que, elle, elle était encore là, elle respirait, elle observait l'univers elle était là, alors qu'ils s'étaient battus férocement pendant la quatrième grande guerre, ils perdaient la vie sur un champion bataille pour une paix, qui sûrement ne durerait pas.
Ses génoux s'écrasèrent brutalement sur le sol de la chambre et elle se plaquait sur ses lèvres, sa souffrance dans sa cage thoracique Du bout des doigts, elle effleurait le cadre photo du sol du bout des doigts, elle retraça les contours du visage défunt époux et les larmes s'échappèrent d'elles-même de ses paupières, dévalant ses joues, tristement.
La colère prit soudainement dessus au dessus de sa voix et dans un élan colérique, elle balança le cadre photo contre l'un des murs de la pièce il s'éclata en deux morceaux, dans un bruit assourdissant, alors qu'elle étouffait Larmes.
Un bruit de pas à l'allure s'est effondré instantanément dans les escaliers et la porte de sa chambre. Il s'est brutalement agrippé au mur, mais il a aussi perdu son sang-froid. l'acheva. Il était là, du haut de ses dix-sept ans, presque tremblant et encore une fois, de la ressemblance entre fils et son époux lui sauté au visage, douloureusement.
«Maman» lâcha-t-il, dans un murmure inquiet
«pardon, Shikamaru» souffla-t-elle, douloureusement, d'une voix faible
Tendrement, le brun se rapprochant d'elle et se posant sur le sol frais, le tirant contre son torse, dans une étreinte douce démonstratifs, ils s'aimaient de loin. Shikamaru était le portrait de son père, physiquement et mentalement, il était ce garçon dont elle était si fière.
Le cri empreint de souffrance au bord de ses lèvres s'échappa, en une demi-seconde.
«Comment est-ce qu'il a pu» s'écria-t-elle, douloureusement, en larmes «il m'a abandonné»
«je suis là, moi, maman» déclare le brun, au bord des larmes «je ne t'abandonne pas, je suis là »
Une telle transaction a été faite du corps de sa mère, il avait peur de disparaître, il était effrayé à elle-même, elle se détestait pour être le portrait de son père. Chaque fois qu'elle posait les yeux sur elle, elle se souvenait elle n'oublierait jamais, hantée douloureusement par les souvenirs, par l'amour d'une existence bafouée.
Pendant un court instant, elle plongea son regard brun dans le sien, cherchant dans les tréfonds de son âme quelque chose et la réalité lui sauta soudainement au visage. Le petit garçon qu'elle avait mis au monde, l'enfant devenu un beau jeune homme, avait assisté à la mort de son père, avait participé à une guerre et sûrement que son cœur saignait abondamment dans sa cage thoracique.
« je suis désolé, maman » murmura-t-il « j'aurais aimé faire quelque chose, j'aurais préféré que ce soit moi »
Les mots s'échappaient des lèvres du jeune homme et le son de sa voix brisée se répercuta aux murs de la pièce ils étaient là, noyés dans leurs souffrances, au milieu de toutes ces photographies. D'un geste doux, elle tira son garçon dans une étreinte douce, séchant tant bien que mal ses larmes.
« ne dis pas ça, s'il te plaît » grogna-t-elle, tristement « ton père n'aurait pas survécu sans toi »
« et c-comment je suis censé faire sans lui, m-moi » bégaya le brun, entre deux sanglots
Comment feraient-ils, sans lui, tous les deux ? Lui, sans son paternel pour lui montrer les bons chemins elle, mariée à un homme décédé, tourmentée par son amour pour lui. Elle renifla bruyamment et resserra sa prise autour du corps imposant du brun oui, il n'était plus du tout ce petit garçon qu'elle avait mis au monde.
« tu es intelligent » souffla-t-elle, doucement « tu es le fils de ton père, fais-toi confiance quel que soit l'obstacle, tu survivras, Shikamaru »
« je ne suis pas sûr, maman » répliqua le brun, tristement « il me manque tellement »
Les pleurs du garçon la touchèrent au plus profond de son cœur et elle caressa doucement ses mèches brunes au ton bordélique, lui soufflant quelques mots doux au creux de l'oreille aucun d'eux ne s'était douté qu'un jour ils devraient apprendre à vivre sans cet idiot.
Ils restèrent ainsi, de longues minutes.
D'un revers de manche maladroit, il chassa ses larmes, honteusement, une moue boudeuse sur les lèvres et le visage arrondi du bébé qu'elle avait mis au monde lui sauta au visage délicatement, elle effleura sa joue légèrement rugueuse. Un sanglot la tira de l'instant et elle tourna la tête vers l'encadrement de la porte, les sourcils froncés ses prunelles d'un bel ébène effleurèrent la silhouette d'une jeune femme, qui assistait silencieusement à l'échange, un petit sourire triste au coin des lèvres. Shikamaru sembla soudainement se rendre compte de la présence de l'étrangère et se hissa maladroitement sur ses deux pieds, attrapant délicatement sa main dans la sienne il la tira dans la pièce et aida sa mère à se mettre sur ses deux pieds.
« maman » commença-t-il, doucement « tu sais, une fois, j'ai demandé à papa pourquoi est-ce qu'il t'avait choisi toi comme épouse j'étais dans l'âge idiot, je ne voyais que le fait que tu me disputais constamment et que tu lui lançais toujours un tas de reproches au visage » un petit sourire triste se glissa sur ses lèvres à ce souvenir et il prit une inspiration « il m'a répondu que lorsque tu souriais, il se sentait bien et que ce sourire était la raison de votre mariage, la raison de ma venue et de votre existence ensemble »
Le brun passa doucement un bras autour des épaules de l'étrangère et la tira contre lui.
« c'est Temari Sabaku, la sœur aînée du kazekage et elle est.. elle est ce sourire, pour moi »
Timidement, la dite Temari s'avança, se penchant à la peau du chef du souvenir tant de souvenirs submergèrent la brune qu'elle retint de fondre en larmes, une seconde fois. Les années s'étaient envolées, et l'adorable petite fille qui avait collé doucement son oreille à son ventre était devenue une magnifique femme.
«Enchanté, madame Nara» lâcha la jeune fille, quelques nuances rose sur les joues
Dans un geste doux, la brune, la forme, le texte, l'attrapant, les différentes photos, qui ont été traînés sur le sol, ils ont été masqués, ils ont été silencieusement fermés. un sourire.
«J'ai quelque chose à vous raconter, les enfants»
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