08

Carys parlait avec cet homme. Elle lui parlait, comme si elle le connaissait depuis des années. Cela lui paraissait bizarre. De plus, elle connait son nom maintenant. Edward Sheeran. Elle le surnommait Ed, comme tout le monde. Carys n’aimait pas faire comme tout le monde, mais il lui avait dit de l’appelé comme tel, alors elle le faisait. Elle en apprenait de plus en plus sur lui, en ne lui disant presque rien sur elle. Edward ne lui disait pas tout non plus. Il gardait comme même un peu de crédibilité et de mystère. Il lui racontait quelques anecdotes sur lui, que toutes les personnes qui sont fans de sa musique et de tout ce qu’il fait, pourrait connaître. Il avait levé le voile sur des mystères qui entouraient Carys. Elle était loin d’être comme il l’avait pensé. Folle. Elle n’avait jamais été folle, peut-être juste excentrique, et assez ailleurs. Carys se faufilait dans la vie, comme un petit chenapan qui part dans magasin de bonbon, avec des confiseries non payées. Carys se faisait le plus discrète possible. Avec le passé, d’une mère parfaite partie, c’était difficile. Tout le monde avait connue sa mère, sauf ceux de sa génération, mais tout ceux de celle juste au-dessus d’elle aurait pu la connaître. Edward connaissait la mère de Carys, sans même le savoir. Il avait même touché le ventre rebondit de cette femme enceinte, qui attendait une fille. C’est peut-être dans ce geste qui scella leur destin. Ils étaient destinés à se rencontrer. Carys ne croyait pas vraiment au hasard, Ed non plus. Il devait y avoir une raison, pour qu’ils s’entendent aussi bien. Ils sont pourtant si différents. Edward a eu un passé très bénéficient. Il peut-être abandonné l’école à 16 ans pour se concentré sur sa musique, contrairement à Carys, qui a endurée l’école jusqu’à l’âge réglementaire, 18 ans. Elle avait finie l’école à 17 ans. Elle était née, pas une nuit d’hiver, mais une nuit d’été, en mi-juillet. Ed ne regrettait pas d’avoir quitté l’école à cet âge-là, parce que maintenant, il fait ce qu’il aime. Il sait que s’il était resté sur les bancs scolaires, il n’aurait jamais eu l’occasion de faire ce qu’il aime. Carys ne doutait plus des intentions d’Ed. Elle savait maintenant que c’était une personne bien, mais si elle trouvait stupide le fait qu’il ait quitté l’école à 16 ans, mais il devait avoir ses raisons. Edward appréciait la compagnie de Carys. Elle était jeune, jolie, aimable, polie, cultivée, intelligente, curieuse, un peu folle, rêveuse, mais surtout très attachante. Edward avait aussi sentit qu’il allait se passé quelque chose aujourd’hui. Si c’était cette rencontre, il était heureux de s’être levé ce matin. Ed avait envie de la revoir le lendemain. Il n’avait plus envie de se séparé d’elle. Il voulait faire plus ample connaissance, en apprendre un peu plus sur elle. Il savait qu’elle n’en avait pas une folle envie de tout lui dire sur elle, mais Ed voulait savoir comme même plusieurs choses sur elle. Edward souriait intérieurement. Il avait réussit à la faire rire. Une chose, que personne n’avait jamais réussit. Il savait comme même quelque chose que tout le monde ignorait. Même si Carys était presque tout le temps dehors, il avait bien une chose qui la faisait restée chez elle pendant des heures, qui coupait ces heures de sommeil, les jeux vidéos. Elle n’y était pas adique, mais elle aimait tellement, qu’elle y jouait tous les soirs. Carys n’avait pas d’ordinateur. Sa télévision ne servait pas à regardée une série ou un film avant de dormir, non, elle lui servait pour ses jeux vidéos. C’est l’une des seules choses qu’elle a emportée de chez son paternel. Elle n’avait pas envide parlée de sa famille, alors qu’Ed en parlait justement de la sienne. Elle savait qu’elle devait s’attendre un « Et toi ? ». Elle s’y attendait, et n’avait qu’une seule envie, c’était de changée de sujet. Carys ne pouvait pas changée de sujet, comme ça, sans laisser transparaitre sa gêne, son malaise et qu’elle a des choses à cachée. Carys n’avait jamais parlée de sa mère, comme elle devrait le faire avec Ed. IL ne la connaissait pas, il ne pourrait pas lui donné des informations sur elle. C’était peine perdue pour Carys, elle ne saura jamais la vérité sur sa mère. Elle préférait abandonnée que de se tuée à chercher, en mourant toujours avec des questions sans réponses. De toute façon, qu’elle tente ou non de trouver la vérité, il y restera comme même des questions sans réponses sur sa mère ou sur d’autres sujets. Carys avait envie de partir à la recherche de la vérité, que d’abandonner. Mais elle avait envide d’abandonner. À l’instant. De tout abandonner. Edward avait envie de resté et de se battre. Ils avaient encore une nouvelle différence. Carys ne voulait plus se battre. Le monde est bien trop atteint que pour qu’elle puisse le sauvée comme l’amour. L’amour avait toujours une part de vérité, une part de quelque chose qui ne pourrait jamais être atteint. Elle savait que l’amour avait comme même du mal. Mais ce que retenait Carys, et ce dont elle pourrait ripostée, c’est que l’amour fait plus de bien que de mal. Edward savait qu’elle n’avait pas eue le passée le plus beau. Carys était une personne bien. Ed le savait, et serrait capable de le crié sur tous les toits. Il ne comprenait pas pourquoi toutes ses personnes refusaient d’allés vers elle. Ils avaient bien mieux à faire que de parlés à avec une folle. Il avait été comme toutes ses personnes, il l’avait jugé. Il se rendait compte maintenant, qu’il avait fait une grave erreur, qu’il aurait du allé plus vite vers elle. Il se doutait comme même que s’il l’avait jugé, et que maintenant il lui parlait, c’est qu’il y avait bien une raison. Pendant qu’Ed parlait, Carys l’écoutait, et essayait de trouvée qui pourrait être son âme-sœur, qui aura la chance d’être celle qui lui est destiné. Carys ne jalousait pas cette personne. Elle ne l’avait pas encore découverte non plus, mais elle se doutait que se serait sûrement, l’une de ses filles belle et drôle, intelligente et cultivée, mais aussi peut-être arrogante ou prétentieuse. Carys se disait qu’il n’allait pas avec les personnes prétentieuses et arrogantes, mais si cela se trouve, c’est une personne comme cela qui lui est destiné. Carys se souvenait de ce que lui avait souvent dit son père. « Incapable et bonne à rien. Trop loin de la perfection que pour trouvée une personne qui pourrait s’occupée de toi, qui pourrait venir te sauvé ». Les mots font mal, mais son père était bourré lorsqu’il lui disait cela. Carys aurait aimée faire traductrices, mais elle n’avait pas le temps de faire des études universitaires, elle devait sauvée l’image de l’amour. Pour elle, l’amour est plus important que tout, tellement important qu’elle en oubliait presque de vivre. Elle vivait comme Cupidon. Avide d’amour, au point de s’oublier et de se perdre, de ne plus savoir ce qui est réellement important et ce qui n’a aucune utilité. Carys était séparée en deux. Une partie d’elle voulait partir et tout abandonnée, partir avec les oiseaux et immigrée vers un autre pays. Tandis que l’autre partie, avait envie de restée et de se battre. Les deux mots qu’elle redoutait le plus, que l’on mettait dans beaucoup de questions pour demander l’avis de quelqu’un. « Et toi ? ». Carys avait totalement envie de fuir. Ed comprit au visage qu’elle eue, ses traits qui changèrent d’expression, qu’il ferait mieux de changé de sujet. Il n’en voulait pas la blessée, et la famille avait l’air d’être l’un des sujets qui fâchent chez Carys. Alors Ed, controuva la question avec les remerciements que Carys lui donnait dans sa tête. Ed les interceptait. Il avait comprit que même si elle ne lui disait pas, elle le pensait. Carys se sentait bien mieux maintenant qu’Edward changeait de sujet. Il n’était plus question de parlée de sa famille, Carys était beaucoup plus à l’aise. Elle avait frôlée le passé, elle avait frôlé l’arrête cardiaque. Elle rêvait de papillons, mais jamais de plusieurs papillons en même temps, en tout cas venant d’une même famille. Ils étaient toujours solitaire ou en couple, mais jamais, ce n’était une famille entière. Carys se sentait bien mieux. Elle essayait toujours de savoir avec qui irait bien Ed, mais elle ne trouvait personne. Sans même voir la personne qui lui était destinée, elle devinait son visage. Elle ne connaissait pas tout le monde sur cette terre, et pourtant en voyant ton visage, elle sait te dire avec qui tu iras. Pour Ed, elle ne voyait personne. Elle cherchait pourtant, mais elle tombait sur personne. Carys voyait parfois son visage, mais elle secouait son visage, elle changeait de pensées. Carys ne devait pas voir son portrait. Ce n’était pas possible. L’amour se n’était pas pour elle.

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