Peu importe

Sur le gris du ciel et de l’océan
Sur les lamentations mornes du vent
Et sur celles, sourdes, des années passant
Les rochers s’usent

Ils n’en peuvent plus d’être ici, à mourir
Mais cependant rien d’autre ils ne désirent
Sans fin, sans but, voilà le Non-Agir
Les rochers s’usent

Haut dans le ciel, deux mouettes se chamaillent
Là, un groupe de touristes qui piaillent
Bien équipés de blousons à leur taille
Qu’est-ce qui les intéresse ?

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