Métro
Elle avait pour espoir, ce qu'il appelait instinct
Et pour folie du soir, ce qu'ils nommaient destin
Je remplirai tes bras des peines de mon corps silencieux
À ceux, qui accrochent nos yeux fous sur les quais
Aux dieux, et aux lunes qui ont bercé nos nuits, je sais
Que nos pensées sont liées dans l'éternité de nos sommeils amoureux
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