ta main.
J’ai attrapé ta main, par réflexe
Ta paume était glacée dans la mienne
On était en plein été, la nuit
Il faisait chaud, sec, étouffant
Mais t’avais quand même mit ta veste
T’avais quand même froid
Et avec mes sourires, avec mes rires
Toute la nuit, j’ai voulu te réchauffer
Sans le moindre succès pourtant
Je suppose que quoi que je fasse
Même en t’aimant de tout mon cœur
Je serais jamais suffisante
Pour réchauffer ton cœur
Glacé par les années, les décennies
À être abandonné, laissé de côté
Détesté, renié, blessé
J’aurais souhaité t’offrir toute la chaleur
Que l’amour le plus pur peut procurer
Mais jamais je n’aurais deviné
Que le froid t'avait déjà emporté
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