Dans une rue près d'un lycée, une jeune femme sort de ses cours et se dirige vers sa maison, attendue par sa mère au foyer. Alors que cette jeune femme insouciante se baladait dans les rues du Quartier Nord, elle tremble un peu du froid qui persiste. Vous vous demandez qui est cette fille, he bien je m'appelle Isabelle Fraïze. Alors que je rentrais chez moi, une bande de débile venaient me siffler et me draguer honteusement et vulgairement, je les simplement ignorée comme me disait ma mère. Je regardais les stands du marché, je souriait aux vendeurs si gentils. Les gens ne sont pas très gentils dans la ville mais  peu on la gentillesse ou la douceur de ma mère, je me souviens pas vraiment de mon père, je le voyais qu'une fois tous les deux semaines. Il était de taille de moyenne, avait un visage fatigué mais souriait toujours en me voyant, ces cernes me faisait rire, des fois, il me portait, me mettait sur ses genoux et me couvrait de bisous. Lorsqu'il rentrait, il disait : " Je suis rentrééé et j'ai un nouveau bras ehehehe". Ma mère, naïve, courait et le grondait en se rendant compte de sa supercherie. Pour ma part, j'en rigolais plus qu'autre chose. Mais revenons à la réalité, je veux bien rentrer à la maison mais le trajet est bien long, je préfère prendre le raccourci. Alors que je rentrais dans cette noire mais étroite rue, un des débiles qui m'accostais se mit à se rapprocher de moi et de me faire des choses ..... voilà quoi . Alors que je résistais, deux types venaient me mettre un mouchoir sur la bouche. Alors que je me sentais faible, et que mes yeux se refermaient, je repensais à quelque chose de chaleureux, comme mon père. Mais ils me lâchèrent par terre et semblant fuir. Je ne sut pas pourquoi jusqu'à ce que je vis un type seul, de taille moyenne, avec une voix fatiguée. Il se tenait là, seul, les bras ballants et le dos courbés. Il portait un masque a gaz, laissant de la vapeur froide sortir de son masque, il semble surtout dégagé de la glace à chacun de ses pas, les murs ainsi que le sol étaient glacés. Pour les  murs, la glace semblait grimper le mur, la masse de la glace semblant proportionnels à la hauteur du mur. Il avait une combinaison hazmat , les manches semblaient être arrachées. Les mains aussi dégagées de la vapeur de glace, il avançait lentement et respirait bruyamment. Il n'a rien de costaud, il n'est pas très stoïque, plutôt frêle et moyen, mais il dégagé quelque chose de terrifiant, une aura de peur. Il se rapprocha des débiles quand il me vit, son cœur sembla s'accéléré et son calme disparaître . Il me regarda et concentra de la glace de façon intense :

" - T'es qu-qui t-toi ?

-Cryo

- Et tu veux quoi ?"

Il stoppa sa respiration lente mais rythmée pour devenir accélérée et irrégulière. Il serra fort ses mains pour lâcher une phrase plus du tout correspondante à son teint, un ton plus féroce prit le dessus, la voix toujours aussi amplifiée avec le masque , gardant un je ne sais quoi de calme :

" Je vais vous tuer . Pourquoi ? ........... Vous ......avez ....... fait mal ........ à ....... "

" ma fille "