Etrange incident

Rapport de police concernant les meurtres récents.


Le dernier en date est celui arrivé il y a un jour : deux personnes, un enfant et un homme, 8 et 35 ans, une jeune femme étant retrouvée, les habits déchirés et surmontée de plusieurs blessures plus ou moins profonde. Cette femme avait un air de pauvre petite chose, son maquillage coulait sous ses paupières, devinant largement ses pleures, ses cheveux étaient ébouriffés, partaient dans tous les sens, formant un chaos ordonné, la noirceur de ses cheveux la rendait plus effrayante encore, pour finir, sa robe blanche tachée de rouge et son regard ainsi que sa voix aigue donnaient un aspect de peur, de folie à ses pleures. On pourrait croire à une femme devenu folle, ou a fait un burn out, et qui s'en serait pris violement sur l'enfant et l'homme ..... mais ce ne fut pas le cas. Cette femme n'était autre que la rescapé d'un massacre " venant de ses cauchemars ".     

Un officier lui fit signe d'aller dans mon bureau. Un peu réticente, il du la prendre par le bras pour la faire entrer dans mon bureau. Ce moment se révéla être un signal pour moi, un signal pour aller travailler. Finissant le café amer, j'entre dans mon bureau, redressant ma cravate, le goût du café encore dans la bouche, je m'assois et la regarde dans les yeux. Elle était assise de côté, ses cheveux longs noirs cachant son visage, elle tourna la tête de l'autre côté de la pièce, les bras croisés je devinais qu'elle pleurait, des petits gémissement se faisait entendre. Je sortait les archives et lui demanda les faits, elle se retourna pour me dire que le petit garçon était son fils, puis me raconta d'une voix tremblante le meurtrier. Elle commença la description du meurtrier, il ne me fallut pas 3 minutes pour comprendre qui était le meurtrier. Elle me dit avoir vue des yeux blancs briller dans les égouts, puis après "l'incident", elle vit un corps verdâtre, une peau en décomposition, soudain la forme se retourna. Elle vit un visage paralysant: deux yeux écarquillés, un sourire montrant les dents acérés et teintées de sang, une langue de serpent, un monstre. Ca ne m'as pas vraiment étonné. Mais une chose m'intriguais, l'homme a été retrouvé le ventre perforé et pour ce qui est de l'enfant, on ne retrouva que son squelette, avec une substance gastrique recouvrant une partie des os, mais ..... elle, elle est vivante, certes amochée mais, vivante , et pourquoi ? Je lui demandais mais elle ne savait pas pourquoi. Je posait mes mains sur mon menton, les croisant, et la regardais droit dans les yeux :

" Madame, sachez une chose. Peu de personnes survivent, souvent des hommes, mais jamais des femmes ou enfants. Je dois vous demander une chose, que c'est-il passé ?"


Je put lire sur son visage l'effroi quant à la remémoration de cet événement, elle avait l'air perdue et atrophiée à la fois. Elle entama son récit d'une voix fragile et tremblante. Tout commença un soir d'été, la nui été aussi noire que les entrailles de la terre, la femme et le garçon revenait du marchée nocturne, un marchée réputé dans le Quartier Est. Tout ce passait bien jusqu'à ce que deux yeux brillants se firent remarqués par l'enfant, deux perles blanches brillantes dans cet égout puant. L'enfant était comme attiré vers ces yeux, hypnotisés presque, mais la mère, qui tenait son enfant par la main, ne voulait pas que l'enfant y aille. Mais alors que l'enfant retourna dans les bras de sa mère s'accrochant à ses jambes, qu'elle enlaça de ses maigres bras, le lampadaire fut " éteint". Je l'ai interrompu pour demander ce que signifiait ce "éteint". Elle reprit en disant qu'une sorte de corbeau était sur le lampadaire. Ce dernier semblait instable, on ne voyait pas relief, on aura dit que sa peau était lisse et sans plume, ses yeux était violet et brillait. Puis soudain, une matière semblable à celle qui composait le corbeau recouvra rapidement et faiblement l'ampoule, puis, en une fraction de seconde, comme un clignement d'œil, la matière compressa l'ampoule pour la briser dans un vacarme assourdissant. 

" Mais comment une ampoule qui se brise puisse faire un vacarme assourdissant ? "

Elle expliqua, toujours de sa voix faible, tremblante et fragile qu'un rire se faisait entendre, un rire étouffé mais résonnant dans toute le Quartier Est. Puis lorsque le lampadaire changea automatiquement d'ampoule ( système de sécurité), elle vit le monstre qu'elle a décrit, son enfant agrippé par le cou, la main serrant le cou de petit. La pauvre femme supplia de le lâcher mais il semblait en rage, son visage était celui d'un fou souriant mais son ton était celui d'une bête enragée. Mais alors que tout était perdu, un homme frappa l'arrière de la tête du monstre, celui ci faisant disparaître le sourire pour faire apparaître un visage semblable à son voix. Il jeta loin sur le côté le garçon, mais la mère ne pouvait aller chercher l'enfant, paralysait par l'effroi du monstre, elle regarda l'homme, le héro de la situation. Ce dernier semble peiner à ce battre mais le monstre était trop rapide pour pouvoir observer ses mouvements. L'homme avait saisit un morceau de métal comme bouclier, mais la rapidité du monstre ne faisait que retarder l'inéluctable, les coups provocant des étincelles, le monstre se mit à ricaner, un ricanement si effrayant qu'il donna un frisson dans le dos des victimes. La mère, prise de panique, éclata en sanglot et implora la pitié du monstre. Ce dernier se fichait de la femme, à vrai dire, il ne l'a jamais regardé. Mais alors que le brave homme commençait à faiblir, il été maintenant déséquilibré, un genoux par terre et l'autre contre la plaque, le monstre limite au dessus de l'homme. Mais tout espoir semble perdu quand la main du monstre transperça la plaque et troua le ventre du héros, son cri résonna dans la tête de la femme. Le monstre se retourna vers l'enfant, et de son regard, on devinait facilement ses intentions, la femme le comprit et couru vers lui pour l'interrompre, mais il n' y prêta pas attention.  Les portes que formaient ses côtes et un ensemble informe de tentacules à mâchoires agrippèrent le pauvre jeune homme qui se débattait de toutes ses forces ne résista pas longtemps aux membranes du monstre, son cri se mêlant au bruit de la chair écrasée. Son corps disparaissait peu à peu, puis quelque secondes après, les os du jeune enfant furent recrachés en même temps que la matière gastrique. Hors d'elle,  elle insulta, déversa toute sa colère sur le monstre, il se retourna et s'arrêta dans son action qui semblait être de lui frapper le visage. Il s'arrêta net, comme paralysé, et sin visage semblait éprouvé du remords, du regret dans ses actes d'après la femme. Après un instant, il regarda la femme et baissa les yeux et d'un visage triste, il s'excusa : " pardon pour votre fils, madame, pardon pour ce traumatisme, pardon pour tout, je vous fait la promesse de réparer mes actes ". Après ces paroles étonnantes, venant d'un monstre. Je lui demandais pourquoi il ne l'as pas tué. Elle me répondit qu'il avait dit quelque chose de perturbant. Je lui ai demandé ce que c'était, elle me répondit d'un ton plus gaie :

" Vous ....... ressemblez à ........ ma mère

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top