Chapitre 3:Du wisky ou de l'adrénaline?


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Conversation téléphonique

Allongé sur mon lit, en plein milieu de la nuit, mon téléphone se mit à sonner. Je l'attrapai et répondis aussitôt :

Samir : Bébé, tu fais quoi Damian ? On devait sortir en boîte ! Tu te caches, c'est ça ? T'es où, Damian ?

- Arrête de pleurnicher, je suis pas en forme. Viens chez moi si tu veux t'amuser...

Samir : À cette heure-ci ? Miliano m'a dit pour tes parents. Comment veux-tu que je...

- Je t'ai dit de venir, alors sois tu m'écoutes, sois tu ailles te casser les couilles ailleurs ..

Sans attendre sa réponse, je raccroche. Je savais qu'elle viendrait. Elle tombait à pic, j'avais besoin de me détendre.

Je me replongeai dans l'obscurité de ma chambre. Un jour tout ça finirait, mais quand ? Parfois, je rêvais de la mort de ce vieux... mais sans faire de mal à ma mère bien sûr....

Quelques minutes plus tard, on frappa à ma porte. Je me lève pour ouvrir. À ma plus grande satisfaction, elle se tenait là, vêtue de noir, une fine dentelle qui épousait ses jambes délicates. Ses petits seins étaient bien visibles sous la transparence. Elle me fixait, le regard plein de malice. Sans attendre, elle me sauta dessus. Je l'attrapai par la taille d'une main, verrouillant la porte de l'autre. Son corps mince m'appelait à la caresser. Elle me poussa sur le lit, et je l'observai se déshabiller, tout en sensualité. Elle retira son string qu'elle m'envoya d'un geste provocant. Je l'attrapai, reconnaissant cette odeur de laurier qui émanait d'elle.

Elle s'approcha lentement, déposant un baiser sur mes lèvres. Je répondis aussitôt, sentant la chaleur monter en moi. Je l'attrapai, caressant ses seins délicats de ma langue, une main posée autour de son cou, exerçant une pression douce, tandis que l'autre explorait son ventre. Elle gémissait doucement sous mes caresses.

Incapable de rester en place, je descendis lentement, jouant avec mes doigts dans sa vulve, elle murmurait mon nom entre ses gémissements. J'y glissai un doigt, bougeant lentement. Son intérieur brûlait, réclamant plus. J'ajoutai un deuxième doigt, elle coulait abondamment, comme une rivière en crue, me suppliant de la pénétrer. Le plaisir montait en moi.

Je retirai mes doigts, la soulevant pour placer ses jambes sur mes épaules. Sans attendre, je sortis une capote d'un tiroir. Elle souriait, satisfaite. J'enfilai le préservatif et frottai ma bite contre sa chatte, puis d'un coup sec, je la pénétrai. Elle laissa échapper un gémissement aigu, perdu dans le plaisir. Chaque coup de rein changeait l'expression de son visage, la transportant.

Je sentis le plaisir monter en moi, ma bite durcissait à l'intérieur d'elle, ses muscles serrant de plus en plus fort, comme si elle n'en avait jamais assez. Nos corps dansaient ensemble dans un rythme effréné, nos souffles se mélangeaient. Je déposai un baiser humide sur ses lèvres alors que mes coups de rein devenaient de plus en plus puissants. Elle me griffait le dos, ses gémissements résonnant dans la pièce.

Au moment où j'allais jouir, je me retirai pour éviter tout risque. Elle tremblait de la tête aux pieds, mais je continuai avec mes doigts, la menant au bord de l'explosion. Elle éjacula avec force, ses larmes de plaisir ruisselant sur ses joues, tandis qu'elle s'écroulait, épuisée, sur le lit.

Je la rejoignis sous les draps, et nous nous endormîmes dans une étreinte silencieuse.

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Le lendemain matin

Je me réveillai en sursaut. Il était temps de faire partir Samir avant que mes parents ne remarquent sa présence. Sans perdre de temps, je la raccompagnai dehors, et sortis rapidement pour rejoindre mon meilleur pote, Eyro, sur le terrain de basket. Il s'échauffait déjà quand j'arrivai. J'enfilai mes baskets et je le rejoins sur le terrain.

Eyro me battit à plate couture ce matin-là. J'étais complètement à plat, sans doute à cause de la nuit agitée. On alla s'asseoir près des balançoires, et il ne cessa de me taquiner sur ma défaite avec ses 19 points d'avance.

- Ce soir, on sort en boîte, me dit-il. Histoire de se vider la tête.

J'ai pris une cigarette qu'il me tendait et l'écouter raconter ses aventures.

- Hier soir, j'ai encore tapé cette petite sainte de l'an dernier. Maintenant, elle me colle aux basques pour qu'on remette ça, mais sérieux, mec, j'ai besoin de nouvelles saveurs.

Je ris à mon tour et répondis :

- Tout le monde sait que tu changes de fille comme de chemise, chaque année.

- Et toi, Damian, c'est pas comme si ton pantalon ne descendait jamais pour goûter à d'autres culottes.

- Ferme-la, connard. Moi, c'est juste du sexe, rien de sérieux.

- Et Samir, alors ? Elle te chauffe bien, non ?

- On baise, c'est tout. Rien de plus.

Il éclata de rire en me taquinant sur les autres filles que j'aurais soi-disant sur ma liste. Je le bousculai dans le gazon.

- Merde, salaud ! Qui t'a dit que j'étais redevable à Samir ? On baise, c'est tout. Tu veux que je te saute aussi ?

Eyro attrapa mon t-shirt, prêt à me frapper pour rire, quand soudain, il s'arrêta net, un sourire en coin. Je me redressai, curieux de savoir ce qui l'avait stoppé, et là, je la vis. De dos, mais je l'aurais reconnue entre mille. Cette robe moulante noire qui épousait parfaitement ses formes... elle n'était pas ronde, mais bien taillée. Elle marchait, un sac à l'épaule, des écouteurs dans les oreilles. Ses cheveux noirs bouclés attachés négligemment la rendaient encore plus mignonne.

Putain, cette meuf, je la déteste ! Mais quelque chose en elle m'attirait toujours.

Eyro continuait de la dévisager, alors je le frappai légèrement.

- Eyro, tu te perds là. On y va ?

- Tu parles d'une chica ! T'as vu ça ? Espérons qu'on finisse dans le même lycée, parce que je vais me la faire ..
tu t'es vu la dévisager au moins espérons qu'on tombe dans le même lycée je vais me la faire...

Ces paroles me dérange sans savoir pourquoi que je lui ai mis un tabasse dans le dos en l'avertissant que s'il s'approche de la petite mexicaine je lui fais sa peau..

Eyro me lança, son sourire toujours aussi insolent : « Je vois qu'elle est déjà ton prochain défi. Vas-y, mate-la si ça te chante. Après tout, toutes les filles finissent par y passer, non ? »

Sans lui répondre, je rangeais mes affaires. L'envie de lui balancer une réplique cinglante me démangeait, mais à quoi bon ? Je montai en voiture et le déposa chez lui. Mais même après, alors que je rentrais chez moi, je n'arrivais pas à me défaire de l'image d'elle. Cette petite Mexicaine. Il suffisait d'une seule rencontre pour qu'elle prenne une place indésirable dans mon esprit. Pourquoi diable je pensais encore à elle ?

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ARYA

Mon corps était raide, figé par l'idée de ne plus jamais revoir ma mère. Elle me manquait terriblement, mais je savais que si elle refusait la cure de désintoxication, mais je savais que nous ne pourrions plus vivre ensemble si elle n'acceptait pas d'aller en cure de désintoxication. Elle méritait mieux que cette vie chaotique. Même avec la musique à fond dans mes oreilles, ces pensées continuaient de me tourmenter. Je devais me dépêcher, Amri m'attendait pour faire quelques courses.

En marchant, je ne pouvais m'empêcher de remarquer les idiots qui conduisaient toujours comme des fous, comme s'ils étaient trop ivres pour profiter d'une simple promenade. Arrivée à la maison, je franchis la porte du salon et vis Amri, sa mère, et... une silhouette masculine. Mon cœur fit un bond. Je le reconnus immédiatement :

----Fabricio, le grand frère d'Amri. Grand, brun, et encore plus beau que dans mes souvenirs. Son sourire charmeur illumine la pièce. Il se leva, et avant que je ne puisse réagir, il était déjà sur moi, me soulevant dans les airs dans une étreinte puissante.

Ses bras, si forts, si familiers, me serrèrent contre lui. Je laissai échapper un rire nerveux, mais une chaleur douce s'empara de moi. Il me manquait tellement...

Quand il me reposa, son regard ne quitta pas le mien. « T'es encore plus belle qu'avant, toi. Qu'est-ce que tu deviens ? » lança-t-il, sa voix grave résonna en moi.

Nous passâmes un moment à rire et à parler. C'était comme si tout ce bonheur longtemps enfoui refaisait surface. Mais alors que nous plaisantons, Samir eut une idée qui fit briller les yeux d'Amri. « Et si tu nous emmenais au club ce soir, Fabri ? Après tout, Arya et moi, on n'a rien à faire ce soir ! »

Amri, avec son sourire innocent, parvint à le convaincre. Elle sauta dans ses bras, mais Fabricio, en bon grand frère, imposa une condition : ne rien dire à leur mère. Tout ce temps, je sentais ses yeux sur moi, brûlants, me scrutant sans relâche.

Il monta prendre une douche pendant qu'Amri m'entraînait dans sa chambre pour choisir nos tenues. Tout cet univers luxueux me paraissait si étranger, si inaccessible,c'était si nouveau pour moi. Une famille aimante, un monde où tout semblait parfait, c'était un univers que je découvrais pour la première fois.. Mais ce soir, je me laissais emporter par cette vie que je n'avais jamais connue.

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Vers 21h

Fabricio nous attendait dans le salon, impatient. Amri descendit la première, vêtue d'une robe en dentelle noire qui épousait parfaitement ses formes. Ses talons scintillaient sous la lumière tamisée, et ses cheveux attachés en queue de cheval lui donnaient un air à la fois angélique et tentateur. Fabricio se leva, son regard rivé sur elle, ébloui.

« Quoi, mon frère, t'as jamais vu ta petite sœur habillée ? » plaisanta Amri, amusée par son silence.

Il s'avança vers elle, déposant un baiser sur son front. « Je t'assure que je vais acheter une arme. Tu es devenue dangereuse, petite princesse. » Son sourire malicieux trahissait sa fierté.

Amri éclata de rire, mais Fabricio détourna soudain son attention en me voyant descendre les escaliers. Je portais une jupe noire moulante qui soulignait mes hanches et un haut dévoilant subtilement mon ventre. Mes lèvres brillaient d'un léger gloss, et mes cheveux étaient relevés en un chignon bas, accentuant la courbe de ma nuque. Le regard de Fabricio me brûlait, me dévorant sans retenue.

Amri, devinant l'intensité de la scène, le pinça pour le ramener à la réalité. Il se rapprocha de moi, ses yeux sombres et profonds comme une promesse silencieuse.
« Tu es... wow. » murmura-t-il, sa voix grave faisant écho dans l'air.

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En descendant les escaliers, je pouvais sentir leurs regards sur moi, comme si chaque pas amplifiait l'intensité du moment. C'était grisant, presque irréel. Pour la première fois, j'allais au club, et l'adrénaline montait déjà en moi. J'avais toujours rêvé de ce moment, et maintenant que j'y étais, tout me semblait démesuré.

Fabricio n'arrêtait pas de me complimenter, et je pouvais sentir une certaine tension dans l'air. Ce soir, j'allais me lâcher, profiter, car bientôt, ce serait la rentrée et tout redeviendrait normal.

Dans la voiture, Amri et moi prîmes des selfies et tournâmes des vidéos. On se sentait belles, confiantes, comme si rien ne pouvait nous arrêter.

Lorsque nous arrivâmes au club, mon cœur battait à tout rompre. Le bâtiment semblait vivant, vibrant sous l'effet de la musique et des lumières. Fabricio nous prit par la main et nous guida à l'intérieur. L'atmosphère était électrique, la musique envoûtante. Nous nous sommes installés à une petite table, et Fabricio commanda à boire. Je choisis du vin, mais Amri opte pour des shots de tequila. La soirée s'annonçait plus intense que je ne l'avais prévu.

Sous l'effet de l'alcool, Amri m'entraîna sur la piste de danse. Les corps se mouvaient autour de nous, créant une ambiance de chaos et de plaisir. Je me laissais porter par la musique, par les lumières clignotantes, par la sensation d'être vivante.

Amri s'éclipsa pour un autre verre, me laissant seule au milieu de cette foule enivrée. Soudain, quelqu'un me bouscula violemment. Je me retournai prête à répliquer, et mon souffle se coupa.

C'était encore lui, ce morveux arrogant que j'avais déjà croiser que malgré tout je n'avais pas oublier . Il me fixait avec un sourire satisfait et se pencha à mon oreille avec sa voix rauque perçant à travers le vacarme malgré le bruit assourdissant.

« T'es encore plus mystérieuse, ma petite Mexicaine. J'adore ça. »mademoiselle Fierté ..

Avant que je ne puisse réagir, il posa sa main sur ma taille, la pression de ses doigts contre ma peau me fit frissonner malgré moi. Son corps contre le mien éveillait quelque chose que je ne comprenais pas, quelque chose de sauvage, de troublant. Mais avant que je puisse m'en défaire, une fille se précipita entre nous, me poussant brutalement.

« Ehh, toi la p*te, ici c'est pas un bordel ! » cria-t-elle, les yeux flamboyants de jalousie.




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