Chapitre 9
pdv Marinette
Je retournai dans ma chambre dans la nuisette qu'Alya m'avait forcé à porter. Lorsque j'entrée dans la chambre, Chat Noir était de dos et semblait mal à l'aise. Quant à Nino, je lui fis le signe de se taire et de rejoindre Alya. Alors que je me rapprochais doucement de mon Chaton, il se retourna d'un coup.
- Nino, je crois que je...
Sa phrase mourut sur ses lèvres quand il me vit. Il se figea et déglutit péniblement. Il me regardait avec un mélange de surprise, de panique et de...désir ? Je ne saurais le dire. De mon côté je n'en menais pas large. Il avait dû en avoir marre de son costume car il était en tenu civil avec juste un masque et de fausses oreilles de chat sur la tête. Il devait aussi être passé sous la douche car il avait les cheveux humides. Je voulais lui faire peur mais il m'avait surprise en se retournant.
Je rougis face au regard intense qu'il me portait. Jamais un regard ne m'avait paru aussi pénétrant. Sondant mes pensées, me mettant presque à nu devant son propriétaire. Lorsque j'y pensa plus tard, je me rendis compte que j'étais justement casi nu devant lui.
Il finit par prendre la parole pour savoir depuis combien de temps j'étais là et où était passé Nino. Je me reculai et lui répondis aussi calmement que je pus. Le voir ainsi vêtu me déstabilisait plus que de le voir en combinaison moulante. Pourquoi ? Je n'en savais rien. Peut-être que c'était parce que je pouvais décider d'enlever son masque pour découvrir qui s'y cachait derrière. Ou peut-être aussi le fait qu'il me fasse suffisamment confiance pour être détransformer, devant moi, avec un simple masque pour dissimuler son identité. Peu importait. Le fait est qu'il était devant moi en tenu civil et qu'il me déshabillait visiblement du regard. Je devais réagir. Ne surtout pas laisser mes pulsions prendre le dessus.
Je repris mes esprits lorsqu'une image traversa mes pensées. Chat Blanc. Encore. Toujours... Je m'allongeai sur le lit et déclarai que j'allais dormir et que j'étais fatiguée. Il me rejoint après avoir éteint les lumières. Mais impossible pour moi de m'endormir. Il s'en rendit compte et me demanda si ça allait ou si quelque chose me gênait. Je ne pouvais pas simplement lui dire que le fait de le savoir si proche de moi, avec un simple masque pour dissimuler son identité, et que je sois en nuisette m'empêchait de dormir. Ça ne me dérangeait pas. Au contraire, j'avais l'impression que c'était naturel. C'était cette sensation qui me dérangeait. J'aurai dû être horriblement mal à l'aise, voir paniquée. Mais non, je me sentais à ma place, et j'appréciais presque cette situation. Je n'aurais jamais dû apprécier cette situation. Pour la sécurité de tous. Je mettais tout le monde en grand danger avec mes sentiments. Je faisais une piètre héroïne.
Je répondis simplement que j'avais froid. Grave erreur. Il se retourna et me pris dans ses bras pour me réchauffer. Ce qui fonctionna, même un peu trop bien à mon goût. Mon cœur s'emballa, je retenais mon souffle, mes poumons réclamaient de l'air, et mon sang devînt lave dans mes veines. Et lorsque je senti son souffle chaud dans ma nuque, je cru fondre. Je devais résister. Ne pas me laissait aller. A aucun pris. Cette nuit allait être longue.
Le lendemain, c'est entouré de bras musclé et chaud que je me réveillai. Mon dos contre le torse nu de mon partenaire. Attendais. Nu ? Il avait dû avoir trop chaud et avait dû enlever son t-shirt. La sensation de bienêtre se réveilla une fois de plus dans mon cœur. Je l'étouffai tout de suite. J'essayai de me dégager de l'emprise de ce Chat, mais mon mouvement fut interrompu par mon partenaire qui resserra sa pris sur mon corps en poussant un léger grognement de contestation. Agacé mais très amusé je restai dans ses bras. Tikki vint me rejoindre discrètement pour discuter avant son réveil. Puis Plagg se manifesta, me rappelant que Chat Noir était détransformé. Nous discutâmes doucement lorsque je le sentis enfin bouger. J'intimai silencieusement Tikki à se cacher pendant que je continuais à parler avec Plagg. Il relâcha son étreinte et me salua avant de réaliser avec qui je parlais.
- Plagg ? Mais... ?
- Quoi ? Elle connait les kwamis. Je ne fais rien de mal pour une fois.
- C'est pas une raison pour l'embêter.
- Je fais ce que je veux d'abord, Gamin.
Ils continuèrent ainsi durant plusieurs minutes. J'essayais parfois d'intervenir pour contredire l'un ou l'autre, mais aucun des deux me laissait parler ou m'écoutait. J'abandonnai et allai à la douche pour me changer. Malheureusement, j'avais laissé Alya faire du shopping pour moi et je n'avais que des vêtements que je trouvais un peu trop sexy. Tant pis, quand on ne peut pas faire autrement, on ne se pose pas de question. J'enfilais la première tenue qui me passait sous la main. Composé d'un crop top à nouer dans le dos rouge et un short noir. J'aurais pu choisir quelque chose de plus couvert mais autant y aller franchement. Je sortis de la salle de bain et découvris Nino, Alya, Chloé, Luka et Chat Noir en train de discuter tranquillement dans la chambre. Ils se tournèrent tous dans ma direction. Je vis Alya lever les deux pouces en l'air en désignant Chat Noir. Mais ce n'était pas ce qui m'apportait. Je me souvenais clairement que Chat Noir devait me coiffer ce matin. Alors je lui tendis la brosse et les rubans.
- Tu croyais quand même pas que j'allais oublier ? Aller, au travail chaton.
Il regarda tour à tour la brosse puis moi, un air indéchiffrable collé au visage. Alya éclata franchement de rire. Devant le ridicule de la situation. Je pris une chaise et m'assis dessus en attendant qu'il me coiffe. Il s'approcha de moi.
- Tu es sûre de vouloir une tresse ? Je peux très bien te faire une queue de cheval.
- Sûre et certaine. Alya m'a vendu du rêve hier. Assume les conséquences de tes actes et coiffe-moi.
Il s'exécuta sans pour autant pousser un lourd soupir. Les autres s'étaient assis sur le lit pour observer Chat Noir galérer. Malheureusement pour eux et heureusement pour mes cheveux, il se débrouillait comme un chef. A se demander s'il n'était pas fils de coiffeur. Trop curieuse je lui demandai. Il rit légèrement avant de me répondre par la négative. Finalement tout le monde s'ennuyait, alors ils prirent congé, en nous disant qu'ils nous attendaient en bas et qu'on devait être prêts à midi pile pour partir, car notre train ne nous attendrait pas. Il ne restait plus que lui et moi. Ses mains frôlant souvent ma nuque. A croire qu'il faisait exprès. Puis il m'annonça qu'il avait fini. Je me retournai pour le regarder. Son regard à lui était indéchiffrable.
- Alya m'a parlé ainsi qu'aux autres.
- Qu'est-ce qu'elle a dit ?
- Que tu avais dû aider Ladybug à désakumatiser Chat Blanc.
Je soupirai longuement. Alya avait sûrement voulu m'aider, mais je ne voulais pas encore en parler. Surtout pas à Chat Noir. Dans ces yeux se lisait mille et une question, une vive inquiétude, et de la tristesse.
- Je t'ai fait du mal ?
- Ce n'était pas toi.
- Réponds-moi.
- Non... Pas physiquement du moins.
- Pourquoi...pourquoi Ladybug avait besoin de toi ?
- Elle...elle n'avait pas vraiment besoin de moi. J'étais surtout spectatrice. Ecoute, c'était rien.
- Je crois au contraire que c'est important Marinette. Tu sais pourquoi j'ai...euh...été akumatisé ?
- Chat...
- S'il-te plait...
- Je ne sais pas exactement, mais tu...as parlé d'une histoire d'amour entre... je déglutis, je n'étais vraiment pas prête, toi et moi...qui se serait mal passé.
J'avais baissé la tête, incapable de le regarder en face. Il était silencieux. Je continuais donc à lui racontait ce que j'avais vu. Je comprenais son envie d'en savoir plus.
J'avais dit tout ça sans m'en rendre compte, plongé dans mes souvenir les plus terrifiants. Lui, n'avait pas bougé, ni parlé. Je relevai la tête pour vérifier son expression. Il était à la fois horrifié, triste, en colère et inquiet. Il ne me regardait plus. Je me rendis compte que je l'avais sans doute blessé. Je le pris dans mes bras le serrant fort contre moi. D'abord surpris il m'étreignit à son tour.
- Je suis désolée Chat.
- Tu n'as rien à te faire pardonner. C'est plutôt à moi de m'excuser, c'est à cause de moi que tu as vécu tout ça.
- Non, c'est faux. Ce n'était pas toi. S'il y a un responsable c'est le Papillombre.
Il resserra son étreinte autour de moi, enfouissant son visage dans mon cou.
- Alya n'aurait jamais dû t'en parler. C'était à moi de te l'annoncer ou pas. Ça te fait plus de mal que de bien Chaton. J'aurai tellement voulu t'épargner cette histoire.
- Au contraire, elle a bien fait. J'aurais pu nous mettre en danger.
- Comment ça ?
Il ne répondit pas, restant silencieux contre moi. Je me reculai légèrement pour le regarder dans les yeux.
- Qu'est-ce que tu veux dire par là ?
Il ne me répondit toujours pas. Je commençais à m'inquiéter. Il ouvrit la bouche pour répondre, quand Alya entra sans frapper.
- Eh ! Vous deux ! Vous voulez voir un truc trop classe ?
- On arrive dans une minute, Alya.
Voyant qu'elle avait interrompu quelque chose, elle ne chercha pas plus loin et reparti.
- Hum hum... On devrait y aller.
- J'attends une réponse avant. Et tant pis si on ratte notre train, on prendra le prochain.
- Marinette...
Il semblait réticent, comme s'il avait peur. Il fuyait mon regard se recula de quelques pas.
- Chat ? Qu'est-ce que tu allais faire qui nous mettrait en danger ? Tu n'allais tout de même pas me révéler ton identité ?
- Non ! Enfin pas tout de suite en tout cas.
- Bien. Alors ?
Il marmonna quelques mots que je ne pus saisir. Je lui lançai un regard interrogateur. Il releva les yeux pour me regarder en face et répéta plus fort et plus lentement. Mon cerveau arrêta de fonctionner alors que mon cœur alla s'écraser sur ma cage thoracique avant de recommencer à battre dans une course effrénée. Mon expression c'était figé dans une surprise des plus complète. La surprise passé, un sourire lumineux éclaira mon visage. Puis au bout de ce qui me parut une éternité, mon cerveau se remit à fonctionner, me faisant réaliser la situation. Mon sourire s'effaça immédiatement. Les images de Chat Blanc me revinrent en tête. Une expression d'effroi se peignit sur mon visage. Je ne savais plus quoi faire. Il y avait plusieurs possibilités : le rejeter et risquer de le faire akumatiser ou lui déclarer à mon tour mon amour, que ça tourne mal et que l'un de nous se fasse akumatiser.
Pendant que je réfléchissais, Chat Noir s'inquiétait face à ma réaction. Je ne savais pas s'il s'inquiétait de ma réaction ou pour ma santé mentale. Néanmoins il m'interpela plusieurs fois, au bout de la troisième je réagis par surprise et le renversai au sol. Lorsque je réalisai mon geste je m'excusai alors qu'il restait à terre.
- Je suis désolée, Chat. J'ai pas fait exprès, c'est un réflexe de ces derniers temps. Je voulais pas...je suis trop maladroite.
Il répondit en riant. Il ne pouvait plus s'arrêter. Je me renfrognai et fis mine de sortir de la chambre. Il le remarqua et repris son sérieux avant de m'arrêter.
- Attends ! Je suis désolé, c'était surtout un rire nerveux. Et je ne m'y attendais pas. Tu n'as pas vraiment l'air de quelqu'un qui fait des arts martiaux.
- Il ne faut pas se fier aux apparences, Chaton.
Un silence malaisant s'installa. Aucun de nous ne voulais réellement parler de la déclaration. Finalement, nous commençons en même temps. Il me laissa la parole.
- Je voulais te dire que je ne sais pas quoi penser de la situation. Je crains tellement de revivre ce cauchemar, mais j'ai pas envie de te rejeter. Je ne sais pas du tout quoi faire. On ne sait même pas si c'est réellement notre amour qui t'a akumatisé !
- Nous devrions peut-être nous laisser porter. Ne rien faire. Ne pas réfléchir. Voir ce qu'il se passe.
- Je ne crois pas être capable de laisser faire les choses. Je réfléchis beaucoup trop.
- Tu ne peux pas savoir tant que tu n'as pas essayé.
Il s'était rapproché durant l'échange. Nous étions qu'à quelques centimètres l'un de l'autre. Chat Noir pris ma main dans la sienne. Il s'approcha encore un peu tout en me fixant, guettant le moindre signe de refus de ma part. Puis enfin, il posa ses lèvres sur les miennes. D'abord maladroit (à croire que c'est mon deuxième prénom), le baiser fut par la suite presque magique. Mon cœur, lui, tambourinait dans ma cage thoracique, comme pour s'en échapper pour rejoindre celui de mon amant. Plus rien existé autour de nous. J'avais complètement oublié Chat Blanc, le Papillombre, la situation, et même les miraculous. Tout ce à quoi j'arrivais à penser c'était à Chat Noir, mon chaton.
Sa main avait lâché la mienne pour venir m'étreindre à la taille, tandis que l'autre exerçait une pression dans ma nuque. Les miennes avaient trouvé refuge dans ses cheveux tout ébouriffé. Par ce baisé nous partagions tous nos sentiments, nos rêves, nos peurs, notre amour. Cette sensation était si grisante que pour rien au monde je l'échangerais.
Malheureusement, toute bonne chose à une fin. Les images de Chat Blanc revinrent vite. Je m'éloignais de lui sans rien dire, horrifié de ce j'avais fait. Je m'enfuis de la pièce avant qu'il ne puisse répliquer quoique ce soit. Je rejoignis les autres, Chat Noir à mes talons. Il semblait vouloir discuter et me poser des questions, mais il se retint devant les autres. Un malaise s'installa entre nous. Luka le remarqua et me lança un regard interrogatif. Je lui fis signe de plus tard. Nous nous organisions en vitesse, Chat Noir montrai en dernier et dans un autre wagon que le nôtre pour préserver son identité. Ça m'arrangeait, je n'aurai pas à devoir m'expliquer.
Les personnes qui nous avaient accueilli nous conduire jusqu'à la gare, sauf Sam. Nous nous dîmes au revoir un par un, puis montions dans le train. Avant de m'installer, Luka me demanda à me voir pour parler. On se mit à l'écart.
- Marinette, est-ce que tout va bien avec Chat Noir ? Il s'est passé quelque chose ?
- On s'est embrassé. On aurait jamais dû. On met notre monde en danger. Je n'aurais pas dû écouter mon cœur. C'était idiot.
- La musique que fait ton cœur est pourtant clair. En quoi vous mettriez le monde en sortant ensemble ?
- C'est un super héros ! Si ça se passe mal, le Papillombre pourra l'utiliser et l'akumatiser. Crois-moi, tu ne veux pas voir à quoi ressemblerait le monde s'il se faisait akumatiser.
- De ce qu'Alya nous a raconté c'était comme la fin du monde, mais tu pourras toujours tout réparer avec ton Lucky Charm.
- Pas si je suis morte. Et ça, je pari qu'Alya a oublié de vous le préciser. Et depuis quand tu sais pour moi ?
- Depuis l'exauceur. Mais je trouve vraiment dommage que tu n'écoutes pas ton cœur.
Il partit sans rien dire de plus. Ne m'avait-il pas écouté ? Si j'écoutais mon cœur je mourrais et j'emporterais les chances du monde de s'en sortir avec moi. J'ai l'impression que personne ne comprend réellement le danger. Je pris place dans le train. Heureusement pour moi, mon siège est à l'écart des autres, je ne suis pas d'humeur à parler avec Alya. Je n'avais pas prévu que Chloé vienne me faire la leçon à son tour.
- Ecoute Marinette, je suis tout aussi au courant que les autres de la situation. Et je sais aussi ce que sait d'avoir peur d'être responsable de la fin du monde. Mais ce n'est pas une raison pour te faire du mal. Si tu aimes quelqu'un, tu ne devrais pas hésiter une seule seconde.
- Mais...
- Pas de « mais ». Je ne te laisserai pas souffrir comme ça. Si tu ne fais rien, je le ferai à ta place. Et crois-moi, vous sortirez ensemble quoiqu'il arrive.
Qu'est-ce qu'il leur prend à tous ? Ma vie sentimentale ne les regarde pas. Je suis assez grande pour dire avec qui je veux sortir. Même si mon cœur me dit le contraire, je ne veux pas sortir avec Chat Noir. Mais d'un autre côté si tous mes amis s'inquiètent comme ça, il doit bien y avoir une raison.
Le trajet dura une éternité pour moi, à ressasser encore et encore tous mes problèmes. Lorsque je sortis enfin du train j'étais encore plus épuisé qu'après un énorme combat. Les regards inquiets de mes amis se multiplièrent. Comment un voyage en train de même pas 1 heure 30 pouvait me mettre dans cet état ? Un mystère. Ce qui était sûr, c'était que ça n'arrangeait pas la situation. Je m'éloignai en tête de groupe et cette fois-ci ce fut Nino qui me rejoint.
- Toi aussi tu vas me faire la morale sur ma décision ?
- Non, je vais de faire la morale sur le fait que tu fasses souffrir mon pote. Non mais sérieusement Marinette, tu peux me dire ce que tu fou ? Sous prétexte qu'on a une chance sur je sais pas combien d'avoir un aller simple vers la fin du monde, tu le faire souffrir.
- Ça ne te regarde pas. C'est aussi ma vie sentimentale. Je fais ce que je veux de ma vie.
- Non, tu ne peux si tu fais souffrir des gens.
- Crois-moi, c'est mieux ainsi. Je ne suis pas assez bien pour lui, il trouvera quelqu'un de bien mieux que moi, j'en suis sûre.
- Pourquoi tu te fais du mal comme ça, à toi aussi ? Franchement Marinette je ne te reconnais plus.
Il retourna auprès d'Alya sans un mot de plus.
Nous avions décidé de prendre le portail de Chloé. Chat Noir nous suivait de loin, sur les toits. Arrivé sur place, on se mit à chercher le passage. Nous l'avions trouvé plus vite que le premier. Chat Noir nous rejoignit à ce moment-là, il semblait aussi fatigué que moi. On passa de l'autre côté, encore une fois.
Arrivait de l'autre côté, je reconnue tout de suite le décore apocalyptique. Le cauchemar recommençait.
pdv Alya
La veille, Bunnix m'avait rendu visite. Elle voulait que nos héros puissent être heureux. Son plan était risqué, très risqué. C'était quitte ou double. J'espérais vraiment que ça allait réussir, parce que sinon on était fini. Est-ce-que ça valait le coup ? Je l'espérais vraiment.
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Coucou les gens, j'étais sensé publier plus tôt, je trouvais que le comportement ne collait pas. Donc j'ai essayé de modifier ça, sans grand succès. Me connaissant si je publiais pas ce chapitre 9 dans l'état, vous n'étiez pas près d'avoir la suite. Sachant en plus que j'ai commencé à écrire le chapitre 10, je ne pouvais pas ne pas le publier. Donc le voici avec 3 291 mots et un petit suspense. J'espère vraiment qu'il vous a plus et que la suite vous plaira aussi. J'ai quand même l'impression de m'éloigner de plus en plus du comportement original des personnages du coup. Vous ne trouvez pas ? Quoiqu'il en soit, j'espère terminer le prochain bientôt. A la prochaine !
Lauteur-inconnue
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