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Quand tu étais là et que la joie me saisissait le bras,
Je ne pensais pas à la fin.
Croyez-moi, je n'ai nul désir de partir,
Car je redoute ce qui m'attend là-bas.
Mais aucune main ne se tend pour me sauver,
J'aurais pu concevoir mourir de bien des manières,
Par des balles, la maladie, la vieillesse,
Mais jamais par mes propres mains.
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