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L'odeur de ton regard m'enivra,
La tête tournoie, les étoiles s'alignent,
Comme les virages de ta vie, incessamment,
Je n'ai de faiblesse que pour tes yeux céruléens,
Cependant, si je ne peux t'appartenir,
C'est en raison de leur magnificence,
Soutenir l'ardeur de ton regard serait trop accablant,
Mon cœur aurait fléchi, emprisonné par leurs ferveur.
Charles Leclerc.
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