Chapitre 1 : Ne pas y croire
Matsuri me regarde angoisser. Elle attrape nos affaires d'une main et de l'autre mon bras pour m'entraîner loin des regards des gens. Je leurs montre mon plus beau sourire suivit de mon majestueux doigt d'honneur. On arrive derrière une cabine de WC et elle me demande:
"- Temari, tu ne serais pas un peu heeu...
- Barbouiller? Étourdi? Morose? Fatiguer? Enrober? Affamée ? Oh oui et si on allait manger? J'ai faim!
-Non, non ! Tu...tu ne serais pas enceinte?"
Je rie nerveusement. Quelle conne cette Matsuri!
- Ahahah...non. Non je ne suis pas enceinte.
- Temari-
- Ce serai absurde voyons!
-Tema-
- En plus je n'ai pas baiser depuis...
- Depuis?
- ...
- Temari? Depuis quoi!?
Je viens de me rendre compte d'une chose. Cela fait, trois mois maintenant que je ne vois aucune trace de saignements. Il est vrai avoir prétendu le contraire à mère, mais je ne pouvais pas non plus lui dire la vérité. Ce ne serais pas la première fois que je passe un mois sans les avoir, mais trois mois... Je devrais m'inquiété? A en juger par sa réaction de tout à l'heure, je ne pouvais tout de même pas lui sortir "Maman je crois que je suis enceinte mais t'inquiète je gère!". Oh non ! Danger! Mais tout de même! Cela voudrais dire que...
Que ce soit à Suna, Konoha, Kumo ou Kiri, nous avons le même calendrier que les japonnais. Pour que vous vous situez: la rentrée c'était le 6 Avril, et je suis partie à Konoha en Mars, il y a quatre mois de cela, nous sommes donc en Juillet et les vacances d'été vont bientôt arriver. Quand je suis partie à Konoha, j'étais chez une amie que je considère comme ma moitié. C'était pour la fête de printemps, la-bàs, comme au Japon, les Sakura fleurissent et les allées en sont bondés. C'est le genre de paysage que nous à Suna n'avons pas! Mon amie, Ino Yamanaka, avait forcé la main à mes parents pour que je vienne. A cette période de l'année, nous fêtons l'arriver du printemps et donc la fin de l'hiver, c'est le Shunbun no Hi. Je suis issu d'une famille très religieuse, et le respect des coutumes des fêtes est aussi précieuse que l'héritage des bijoux. Habiller de vêtements traditionnel, nous devons nous recueillir sur la tombe de nos ancêtres. Mais cette année mon père a accepté que je n'y aille pas, car lui-même n'en avait pas envie.
Ino a du faire des mains et des pieds, et passer des heures au téléphone avec ma mère afin qu'elle puisse accepter que je vienne, car elle bien sûr était contre. Ma mère en avait fait tous un cirque, mais en voyant mes frères déserter la maison et moi faisant de même, elle a accepté, disant ne pas vouloir être la cause de ma perte.
Aller à Konoha est assez compliquer pour quelqu'un qui vient de Suna comparer à une personne qui vient d'Iwa, de Taki, voir de même de Kiri, alors que de Kiri à Konoha il faut prendre un avion ou un bateau. Une haine invisible mais lourde règne entre Suna et Konoha, et cela depuis bien longtemps. Pourtant personne ne sait vraiment pourquoi et encore moins comment tout cela à commencer. Mon père, qui est le maire, n'essaye même pas de régler les comptes de notre ville avec cette bonne femme à la poitrine super développer qui dirige Konoha.
J'ai passé une semaines au côté de la famille d'Ino et de ses amis. J'ai eu du mal à m'intégrer je dois l'avouer. Nos habitudes et coutumes sont différentes, les températures aussi: je me sentais tellement ridicule en chandail, alors qu'à Konoha c'était encore l'hiver, et je faisait la femme fière alors que je crevais de froid. Le 20 Mars, soir de la fête du printemps, au lieu de nous parer de nos plus beaux kimonos confectionner par les anciennes des villages situer non loin des montagnes, nous nous étions rendu à une fête. Elle avait lieu dans une petite maison en forêt. C'était un lieu qui rappelait beaucoup les séries américaines pour jeunes adultes. C'était un chalet isolé à côté d'un lac. Bien sûr, ce lac avait son lot d'histoire à dormir debout et tout le tralala. Le lieu était glauque, mais l'atmosphère était festif. Je n'avais jamais autant bu de toute ma chienne de vie, je n'étais plus moi-même à cette fête, et j'avais réussi à me faire accepter sans même dire d'où je venais. Je n'avais pas mentis, mais personne ne m'avait demander où je venais donc...mais ça n'a pas durer.
Les étudiants de Suna ont toujours méprisés ceux de Konoha, et vise-versa. Il y a une rivalité entre ses deux grandes villes, alors que ce sont deux mondes différents! Exemple niveau loisir: A Konoha il y a des grands parcs fleuris et le plus grand parc d'attraction, alors qu'à Suna il y a le plus grand Zoo, et des plages de sables chauds et cocotier à perte de vue sur nos côtes. A Konoha, on voit défiler les quatre saisons, le printemps, l'été, l'automne et l'hiver. A Suna, soit il fait très chaud et la canicule est étouffante, avec le sable environnant et le vent qui s'élève par période, nous devons souvent nous couvrir le visage et les cheveux, soit les températures sont douces et il peux pleuvoir des jours consécutives et sans interruption...
...enfin je m'égare.
J'avais du mal à dire d'où je venais au début...Ici à Suna, nous étions festifs, mais pas au même niveau qu'eux. L'alcool, la drogue et le sexe coulaient à flot. Je tournais la tête à gauche, une meuf se faisait soulever par des gars au dessus d'un fût remplie de bière. Je tournais ma tête à droite, un mec s'injectait une drogue bizarre dans les veines. Je sortais dehors, des trafic se faisaient aux yeux de tous. Je me sentais à la fois, perdu et dans mon éléments. J'étais bien, voir trop bien.
- TEMARI !
J'ai complètement oublier que j'étais avec Matsuri! Je la regarde...mais je ne sais pas quoi lui dire. Je ne contrôle pas la situation. Je la regarde et lui explique avoir eu une aventure avec un gars de konoha et là...elle explose de rire. Je sais pas pourquoi mais j'ai ris avec elle. Surement pour me sentir moins bête. Matsuri me caresse le visage en me disant que c'est une bonne blague, et m'entraîne une seconde fois avec elle, mais vers le parking de la plage. C'est pas juste, on n'a même pas pu profiter de la mer!
Tout le monde ou presque sait que le parking de la plage Des Sables Fin de Suna est peu fréquentable à une certaine heures de la journée: beaucoup de gars pas forcément abordable y squatte un abri normalement destiné à loger des véhicules à deux roues. Devant mon amie, je fais mine de connaître ce monde que par les « On dit », mais c'est bien pire que cela...surtout pour l'unique fille du Maire de Suna...
On arrive devant une bande de gars assez louche, j'en reconnais certain d'entre eux: ils étaient presque tous avec moi en classe ou avec mes frères, on s'entendait bien, plus ou moins. Au moins, quand ils étaient dans les parages, je n'avais jamais d'ennuie. Mes arrières étaient assurées grâce à eux.
Je n'oublierai jamais la fois ou l'un de leur bande avait essayé de me toucher dans le coin de notre salle de classe. Il n'avait pas apprécier le faite que je le remette a sa place devant ses potes. Mais je n'avais fais que mon travail de féministe engager ! Mais ce tordu avait attendu la fin des cours, exactement le jour où j'étais responsable du rangement de la salle de classe avec une autre de mes camarades pour agir. Je ne mettais douter de rien, elle n'avait rien laisser paraître, elle était dans le coup, car elle m'avait dit aller chercher de l'eau pour le tableau, alors que le tableau était propre; nous n'étions pas proche donc elle n'avait pas à faire semblant avec moi, juste être elle-même comme le reste de l'année...et cela avait marcher. J'étais dos à la porte d'entrer quand il est rentré, je pensais que c'était elle donc je ne me suis pas retourner. Mais j'aurais du, il m'avait sauvagement attraper par derrière et m'avait projeter contre le mur, quand j'y pense, j'ai encore cette sensation bizarre à l'arrière de la tête, comme-ci je ressentais encore la douleur. Uniforme oblige, il avait glissé sa main sous ma jupe et tirait sur l'élastique de ma culotte...Heureusement, il n'avait pas été plus loi, Gaara lui avait donné un coup de poing dans la mâchoire, et l'avait parsemé de coup, tandis que Kankuro secouait ma camarade de classe comme un cocotier plein de fruit... Depuis ce jour, tous avait peur d'affronter l'arrogante féministe et peureuse No Sabaku. Pas que je faisais peur, non...mais le mot sur cette histoire avait vite fait le tour de la ville, et la réputation de mes frères mêlés à l'influence de mon père jouaient en ma faveur. Le garçon a fini dans un centre pour mineur, et aujourd'hui, il n'es qu'a quelques mètres de moi...
Maintenant j'ai un avenir plus ou moins tracé alors qu'eux ne savent pas si demain ils seront encore en vie.
La rue change les gens...
L'un d'eux me regarde bizarrement, et me fais signe de la tête. Je demande à Matsuri d'allez m'acheter une boisson genre eau pétillante dans une épicerie pas très loin. Elle grogne en me disant que de l'eau, elle en a dans son sac. Bien sûr, je ne veux pas d'eau, j'ai pas soif. Juste que je ne veux pas qu'elle assiste à ce qui va suivre. Elle est trop pur et prude pour cela. Je vois que cela ne la plait pas, et qu'elle sait ce que je vais faire, mais je ne lui donne pas le choix. J'attend qu'elle s'éloigne avant de m'aventurer en terre inconnue. Celui qui m'a interpeller s'avance aussi. Grand, cheveux tiré en arrière de couleur grise, sourire au coin, corps svelte mais musclé, tous pour faire rêver. Je vous présente mon petit copain Hidan. Je ne m'attend pas à avoir un câlin ou je ne sais quoi de romantique, il a une réputation à tenir. Mais en me voyant son premier réflexe est de m'attraper par la taille et me faire dandiner de gauche à droite comme ces motards bizarre dans les films américains. Sur le coup, ça parait mignon, voir même romantique quand il nous manque une case mais pas la. Juste imaginez, un grand gars mince et muscler, avec un haut blanc sur son épaule. Oui, il a chaud, il est torse nu le tee-shirt sur l'épaule, et alors!? Un jogging noir couvert de cendre et des baskets. Avec accrocher a son bras, une fille coiffer de quatre couette blond blé, habiller d'une robe blanche faite en crochet sur un maillot bandeau d'une pièce, vraiment très colorer.
- Bébé, qu'es-tu fous à la plage? T'es trop...trop...trop
- Trop quoi?
- Ecoute, tu peux pas te balader comme ça dans la rue. T'es ma meuf putain, les gars te relook et moi ça me plait pas ok! T'es ma meuf bordel, je t'aime et t'as vue ce que tu me fais! Tu le fais exprès pour m'énerver, c'est ça, t'aime quand je suis énerver Tema!?
- Non, Hidan, non. Je suis avec une amie, on est juste partie à la plage, rien de plus je te jure. Je ne ferais rien qui pourrais-
- Hidan putain! Dépêche-toi! Hurle une voix grasse et grave dans son dos.
- Ecoute ma puce, on se voit plus tard, ok?
- La dernière fois que t'as dit ça t'es aller en prison pendant quatre mois.
- Je, Tema je...Fais pas chier ok! J'fais c'que j'peux! Reprend-t-il quand un de ses "potes" s'approche.
Il s'éloigne après un rapide bisou et part. Je reste debout là et le regarde. Il s'en va avec une bonne partie de ses potes. Mais l'un d'eux me fixe, puis s'en va. J'ai l'impression de l'avoir déjà vu, mais je ne sais pas où. Le klaxon d'une voiture me sort de ma bulle. Enfoirer! Je lui montre un doigt et retrouve Matsuri. Elle me tend une bouteille sans vraiment attendre que la bouteille soit bien dans ma main, et part devant comme-ci elle était venue seule, non mais la blague! Je la rattrape et lui empoigne le bras. Après mon mec, c'est elle qui me fait une scène de film!
- Lâche moi Tèm'!
- Et pourquoi? Qu'es-ce-qui te prend tout d'un coup?
- J'aurais aimé qu'une fois dans ta vie tu sois honnête avec moi! M'avoue-t-elle; Tu m'avais dis que t'était plus avec lui depuis qu'il est partie en taule, et la tu tombe dans ses bras normal! Tu fais que ça, me cacher des trucs alors que t'es ma best.
- Mais qu'es-ce-que tu me raconte là!?
- Tu t'es cassé à Konoha, t'as pas voulue qu'on le sache pour passer un bon séjour avec ta connasse de pote aux extensions bas de gamme, pour pas que les meufs des potes à ton connard de mec te tabasse, pour ensuite me faire chier avec Ino par-ci et Ino-fait-comme-ça. Mais jl'encule bien profond ta pote! Me menace-t-elle de son doigt qui dépasse à peine mon front.
- Matsuri, calme-toi s'il te plait. Dis-je, les deux mains devant moi, en signe de capitulation.
-TU ME COUPE PAS LA PAROLE, PÉTASSE! Va la retrouver d'ailleurs, mais surtout fait gaffe à ce que tu me dira quand tu reviendra t'excuser. Je risquerais de pas pouvoir tenir ma langue.
- Tu ferais pas ce que je pense?
- Ben écoute, au point où on en est, tu me prends pour une conne, tu trompe ton mec, tu...
-Je n'es pas tromper Hidan!
- Ah non...Bien sûr, tu t'es juste TAPER UN MEC DE KONOHA!
- CHUTUTUTUTUUT! On était pas ensemble, et, et il était en prison...et j'étais bourrée.
- Oui c'est ça! Il était en taule, et moi je me demandais où était ma pote, habiller en kimono devant chez elle, alors qu'elle n'était pas là et elle ne me l'avait même pas dis!
- Matsuri...Je...
-C'est bon, laisse tomber. Finit-elle avant de partir.
***
Allonger sur mon lit, je ne sais pas quoi penser de ma situation: je suis jeune, j'ai vingt-et-un ans, je suis à la fin de mon BTS et travaille en tant que réceptionniste dans un spa le week-end. Je n'es pas à me plaindre à vrai dire. Mais par moment, je me demande si j'ai fais les bons choix. Quoi que...non, ma vie n'est pas si rose que cela: mes parents sont très à cheval sur les religions, mon père est le maire de cette ville, mon frère Kankuro est dans la finance, Gaara, lui, suit les traces de notre père. Ma mère est la meilleure botaniste de la région. Je suis dans une famille respectable et respecter, pourtant je fou tout en l'air en sortant avec un délinquant. C'est à croire que j'aime les problèmes. C'est ça ouais, j'aime les problèmes! Et pour couronner le tout, je me suis violemment disputer avec mon amie d'enfance. Je sais pas quoi faire pour qu'on se réconcilie. Elle avait l'air très énerver contre moi et très déçus, et je sens que c'est à moi de m'excuser. D'habitude c'est les autres qui s'excuse, pas moi!
Mais, entre nous, qu'es-ce qui est le plus grave entre cacher une relation à sa famille ultra croyante, être sur le point de perdre une grande amie et sortir avec quelqu'un comme Hidan?
Je ne sais pas.
Je dirais ex æquo!
Il est bientôt trois heure du matin, j'ai cours dans six heures, et je ne me sens pas bien. J'ai une boule au ventre, et je sens des fourmillement au niveau de ma mâchoire, c'est très désagréable. Je me sens bizarre...
***
- Baby, I'm sorry, Hey I'M SORRYYYY
- Hey! Lovato du désert, ta gueule! Y'en a qui bosse!
- LIBERTÉ d'EXPRESSION Katsuyo.
Je n'es pas eu le temps d'éviter le coussin que m'envoyait mon collègue. C'est pas ma faute si je chante trop bien pour lui. Il est bientôt l'heure pour moi de rentrer. L'institue a fait nocturne aujourd'hui: une fois par mois, nous travaillons un samedi en continue de six heure du matin à deux heures du matin le lendemain, pour permettre aux femmes qui travaillent de nuit, qui finissent tard ou qui commencent très tôt, de pouvoir se faire des soins et autres. Les esthéticiennes se relaient durant la journée, mais moi je suis debout depuis l'ouverture, je n'es personne pour me seconder en dehors de la gérante et je suis lessivée. Mes examens sont dans deux mois, je ne sais pas où sont mes cours de début d'année, je suis épuisée et je ressens de plus en plus une gène au bas du ventre. J'ai cette sensation de ballonnement qui m'empêche de vivre, et j'ai souvent envie d'aller faire pipi! Au moins pour me réconforter, ma copine Ino m'a envoyer plusieurs messages. Je ne pouvais pas les ouvrir mais rien qu'en voyant son nom s'afficher me réchauffais le cœur.
Trois heures trente! ENFIN LIBRE! Non seulement je suis libérée et j'ai quatre jours de congés, mais en plus je suis en vacance scolaire. Je prend un taxi pour rentrer et je consulte mes messages. La plupart sont ceux d'Ino qui me demande de venir passer quelques jours chez elle. L'offre est très tentent, mais je ne peux pas laisser une nouvelle fois Matsuri. Cela fait une semaine qu'elle m'évite et qu'elle ne répond, ni a mes messages, ni à mes appels; même quand je l'identifie sur ma storie Instagram, elle se contente de regarder, c'est tout. Dans mes pensées, j'oublie que je ne suis pas seule dans la voiture et que le conducteur m'adresse la parole.
- Vous ne seriez pas la petite-amie de Hidan Terasoma?
- Co-comment vous savez?
- Les nouvelles vont vites à Suna en ce qui concerne les jeunes délinquants et les personnes influentes tel que vous mademoiselle No Sabaku.
- Vous connaissez mon nom?
- Bien sûr ma jolie! Comme toutes la ville! Vous êtes la seule fille du représentante de cette ville. Vous ne le savez peut-être pas, mais vous êtes constamment interpeller par la presse à scandale depuis votre dispute avec votre copain à la plage
- Je suis traquée comme une maudite proie!?
- Malheureusement... Il faudrait peut-être que vous quittiez la ville quelque temps, mais pas a Konoha bien sur; finit-il par dire en riant de bon cœur.
Quitter la ville, bien sûr. Si c'était simple, je le ferais, et ce n'est pas l'envie qui me manque. Pourtant, je ne pense pas que mère acceptera ce nouveau départ à Konoha. Et puis, il y a Matsuri, que va-t-elle pensée de moi? Que va-t-elle révélée sur moi!? Elle en sait tellement, enfin, elle en sait beaucoup, mais pas autant qu'Ino.
Le chauffeur a bien prit soin de me déposer devant chez moi. Malgré sa bienveillance, j'avais de nouveau cette boule au ventre. Pour la premier fois, je n'arrivais même pas a rentrer chez moi. Il était quatre heure quinze du matin et j'entendais ma mère hurlé mon nom. L'envie de faire demi-tour est grande, pourtant, je ne peux pas. Où irais-je si je ne rentre pas chez moi?
En entrant, l'aura que ma mère dégageait aurait pu faire fuir n'importe qu'elle brute! Je n'avais même pas le courage de lui dire bonjour. J'ai simplement retirer mes chaussures, déposer mon sac et me suis assise sur une chaise. Elle ne prononçait plus aucun mot, mais me regardait comme-ci j'avais commis un crime. Le silence a duré jusqu'à ce que je gémisse pour cause de manque d'air; j'avais retenue ma respiration et mon corps n'en pouvait plus. Puis Paf! Mon regard était tournée vers le salon, ma joue gauche chauffait, picotait, démangeait, et les larmes me montaient aux yeux. Ma mère venait de me donner une gifle. Je n'osais pas la regarder, de peur de croiser son regard et qu'elle ne m'en met une autre. Me mordre la lèvre inférieure était la seule chose que je pouvais faire pour ne pas craquer. Mais je ne comprenais pas son geste, alors...doucement, je me suis retournée, la tête basse, en n'ayant juste le temps de dire maman, avant qu'elle n'entame un monologue.
- Comment tu...Et puis qu'es-ce-que...Et pourquoi tu...Et quand es-ce-que...!?
- Maman je-
- Tais-toi Temari. Je ne veux pas entendre la moindre excuse nourrit de tes mensonges. Tu me déçois à un point! J'espère que tu te rend compte à qu'elle point tu déshonore le nom des No Sabaku! Tu ne manque de rien, ton père et moi avions tous fait pour que tes frères et toi ne manquaient de rien. Et quel est notre récompense!? J'ai surpris tes frères a consommé de l'alcool dans leurs chambres. Je veux bien croire qu'ils sont majeurs, mais s'ils nous cachent cela, que nous dissimulent-ils d'autres!? Et puis il y a toi, qui depuis deux mois tout au plus est bizarre, à le ventre bas du ventre qui gonfle et qui me ment sur la fréquence de ses menstruations! Je ne te reconnais plus Temari
- Maman, je-
- A l'heure qu'il est, tous les journaux locaux sont en pleine imprimerie avec en gros titre: La jeune et Unique No Sabaku amoureuse d'un voyou! Je vois déjà la vielle Chïno me traité de mère indigne! Et toutes ses femmes qui me prennent pour leurs exemples, vont colmater des rumeurs horribles à notre sujets.
- Maman, je-
- S'il te plait tais-toi! Dit-elle en frappant la table de la paume de ses mains. Tu peux remercier la clairvoyance de Matsuri pour être venue me voir! Elle se faisait du sang-d'encre à ton sujet! C'est une vrai amie, Gaara à de la chance de l'avoir pour petite-amie! Mais toi! Il a fallut que tu ailles cherché le plus mal-en-point de la ville. Un briguant, un voyou, un voleur, un moins que rien, un délinquant de la pire espèce! Et pour couronner le tout tu es enceinte de lui Temari.
- Qui t'as dit que j'étais enceinte?
- C'est Matsuri voyons! Elle m'a parlé de votre mésaventure sur la plage, de cette façon grotesque et mal-élever à laquelle ce garçon s'est adressé à toi, en plus du fait que tu l'a traiter elle comme une servante, alors que cette jeune fille à toujours été la pour toi que je sache! Me lança-t-elle la main sur le cœur. C'est bien ta seule amie et tu gâche votre relation!
- Mais c'est totalement faux!
- De quoi Temari!? Ose me dire dans le blanc des yeux que tu n'as pas cacher dans ton paquet de gâteau des tests de grossesse, tous positifs? Insite-t-elle en déballant le dit paquet avec quatre tests de grossesse. S'il te plait, dis moi que tu les as obtenues dans un magasin de farces et attrapes...
Elle me regardait dans le blanc des yeux, elle affichait une mine sévère, pourtant elle pleurait à chaude larmes. Je ne pouvais pas lui mentir, je ne pouvais pas lui dire que ce n'était pas les miens. Je me suis juste contenter de baisser la tête. J'avais honte. Honte d'avoir cru en une personne qui n'avait pas hésité à me vendre aussi facile, parce qu'elle se sentait rejeter par mes actes. Honte, que ma vie privée est été dévoiler à toutes la population Sunalienne. Honte, d'être la cause du déshonneur de ma famille si puissante dans cette ville! Mais honte aussi, que ma mère est osé fouiller dans ma chambre et que ma potentiel grossesse soit associer à un homme aussi détestable qu'Hidan. En voyant la réaction de ma mère, ainsi que ses mots envers lui, je me rend compte qu'il n'avait jamais été fait pour moi car nous ne venons pas du même monde. Ma mère s'est rapprochée de moi, les mains jointes devant elle. Elle avait reprit son sérieux, ses yeux n'exprimait plus aucun sentiment, pas même du dégoût envers moi. Bien droite, je voyais sa poitrine monter et descendre a un rythme qui se voulait régulier, mais des spams le secouait beaucoup trop pour.
- Ton père n'a pas voulue assister à cette discussion, mais il est au courant et tu pense bien que nous avions déjà réfléchi à une sanction pour toi.
- Je m'y attendais, vue la gifle que j'ai reçu.
- Je ne m'excuserais pas pour cela. Mais sache que malgré tout, ton père et moi t'aimons de tous notre cœurs. Mais, tu ne peux plus rester ici.
- Tu, tu me chasse de la maison? Mais où vais-je aller!?
- Oh non, ce serais bien trop facile et risquer! Tu ira a Konoha. La-bas ils ne suivent pas nos infos locaux comme dans les autres villes. Ton père t'a louer un appartement. Tu travaillera avec la famille Yamanaka dans leur boutique pour que tu puisse subvenir à tes propres besoins. Nos payerons le loyer, et l'eau, mais l'électricité sera a ta charge. Tu suivra tes cours par correspondance.
- Vous m'envoyez a konoha?
-Nous n'avons pas le choix, et la maire de la ville,Madame Senju, n'y voit aucune objection. Tu sera surement amener à la voir.
-Mais maman, je...
- En faite. Rajout-elle en partant, me donnant dos. A ton arriver j'espère pour toi que tu te rendra dans une clinique pour te faire avorter de cet enfant qui ne sera, je te le rappel pas accepter ici.
Elle s'éclipsait derrière le mur, mais j'arrivais quand même à l'entendre pleurer jusqu'à ce qu'elle referme la porte. Je m'effondrais, en larmes. Je perdais le contrôle de ma vie, j'étais envoyée en territoire ennemie; et oui, cela allait être différent car j'allais y vivre. J'aurais une boite à lettre en mon nom, la boulangère du coin de la rue retiendra mon visage au bout de trois jours, et au bout de sept en voyant que je ne reviens pas prendre une baguette et un sachet de viennoiserie, appellera la police car "je ne suis pas passer prendre mon pain quotidien". Et mes amis de Suna! Comment vont-ils apprendre mon départ? Que va-t-il se passer? Feront-ils tout pour venir me chercher? Ou débarqueront-ils en criant que c'est du kidnapping? Je ne sais pas à quoi m'attendre.
Il faudrait que j'arrive à ne pas y croire...
*** I'm So Sorry!***
Vraiment! J'ai publier plusieurs ouvrage en pensant pouvoir chevaucher formation et écrire, mais tous s'est enchaîner! J'ai réussi mon examen avec félicitation du jury, ensuite j'ai été prise en CDD puis CDI. Les obligations de mon travail ont fait que j'ai beaucoup moins de temps pour écrire pourtant, j'ai toujours autant d'histoire et de suite de mes fan-fictions qui fusent dans ma tête! J'ai également moins de temps pour vous lire et j'en suis désolée. J'essayerais de corriger cela. Et profite de ce dernier jour de l'année pour publier mon Premier chapitre, ainsi que pour vous souhaitez de bonne fête ainsi qu'une heureuse année 2019.
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